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    Quand le cerveau nous trompe

     

     

    Nous savons que nous n'utilisons qu'une petite partie de notre cerveau et nous savons également que notre esprit est doté d'incroyables capacités. Mais savez-vous que ce dernier peut également nous tromper en permanence ? C'est ce que des spécialistes vont vous démontrer dans cette émission.

    Dans un premier temps, nous voyons le docteur Richard Wiseman faire léviter un cube et il explique qu'en fait, il a été filmé allongé et que le cube était attaché à un fil. Tout cela provoque une véritable illusion d'optique et ce qui prouve qu'on peut facilement duper le monde.

    Mais comment discerner le vrai du faux ?

    Une des plus belles illusions d'optique est celle de la célèbre photo du monstre du Loch Ness. Celle-ci a été prise en noir et blanc et on constate un gigantesque animal dessus sortir un long cou de l'eau. Le cliché a traversé le monde entier et pour beaucoup, c'était la preuve que le monstre existait bel et bien. Il est vrai que lorsqu'on regarde attentivement cette image, on a l'impression de voir un animal immense qui sort la tête de l'eau. Cette dernière a été prise par le docteur Wilson et il a expliqué qu'il l'avait prise de nuit, alors qu'il rentrait avec un ami. Celle-ci a même été analysée par des spécialistes et tous ont confirmé qu'il s'agissait bien de Nessie. Sa taille a également été évaluée à 10 ou 20 mètres de long.

    Mais à la fin des années 80, la photo originale a été retrouvée et le fameux monstre a soudainement réduit des trois quarts. En effet, en s'attardant sur celle-ci, on remarque qu'il s'agit en fait d'un petit animal. La comparaison des deux photos nous démontre que notre cerveau interprète différemment les tailles suivantes les éléments qui se trouvent autour. Grâce à un test, nous comprenons ce phénomène facilement et c'est ce qu'on appelle une illusion visuelle. En effet, notre cerveau se trompe en fonction de ce qui se trouve autour. De ce fait, nous comprenons que la légende du Loch Ness a été bâtit sur une fausse interprétation, mais cela ne veut pas dire non plus qu'il n'existe pas.

    La magie fait aussi preuve de notre étrange perception de la réalité. Les illusionnistes se servent de nos défaillances cérébrales. En effet, nous nous focalisons sur les détails au lieu de regarder l'ensemble. Encore une fois, notre cerveau nous dupe.

    Aujourd'hui, 16 millions d'américains pensent que l'atterrissage sur la lune était une mise en scène dans un studio à cause d'une mauvaise interprétation des images. Beaucoup ont relaté que ces dernières provenaient d'un film à cause du drapeau qui flotte au vent. En effet, nous savons que cela est impossible sur la lune, car celle-ci ne contient pas d'atmosphère, donc pas de vent. D'autres photos sont aussi remises en causes, car on ne voit aucune étoile. C'est toutes ces informations qui ont poussé certains à penser que le premier pas sur la lune était un complot monté de toute pièce.

    Une expérience nous montre qu'en nous focalisant sur un détail, on oublie le reste et on a une mauvaise interprétation de ce que l'on voit. C'est ce qu'on appelle la perception amorale.

    En ce qui concerne le drapeau, c'est simplement le fait qu'il était maintenu par une tige en métal que nous pensons qu'il flotte. En ce qui concerne les étoiles, c'est parce que les photos ont été prises de journée. Avec ces éléments, nous pouvons être sûrs que l'homme a bien été sur la lune.

     

    Notre cerveau est capable de voir des choses qui n'existent pas à cause d'illusion. La croyance de la vie sur Mars en fait partie. Tout commence au 19 ème siècle quand un astronome italien a braqué son télescope sur la planète rouge. Il a cru voir un océan et de canaux. C'est à cause de cela qu'il en a déduit qu'il y avait de la vie sur Mars. De plus, d'autres astronomes ont confirmé par la suite cela et c'est ainsi que la légende des petits hommes verts martiens a vu le jour. Aujourd'hui, nous savons que cela est faux, mais comment expliquer que cet astronome en ait été aussi sûr. C'est grâce à une expérience que nous comprenons que les apparences sont souvent trompeuses. Notre cerveau interprète faussement certaines choses et c'est ce qui s'est passé au 19ème siècle. L'astronome a été victime d'une illusion visuelle.

     

    Notre cerveau nous dupe régulièrement et il est très difficile de discerner le vrai du faux. Comme pour ce président américain qui pensait que la terre était creuse.

    Le président John Quincy Adams a pensé que notre planète était creuse et qu'elle était habitée et il avait même commencé à organiser une exploration. S'il pensait cela, c'est à cause de John Cleves Symmes Junior qui a parcouru la terre en affirmant que celle-ci était creuse. Même sans aucune preuve scientifique, beaucoup l'ont cru dont le président.

    Grâce à une expérience, nous comprenons comment notre cerveau fonctionne pour faire confiance ou non aux gens. C'est suite à l'analyse du physique de ces derniers que nous pensons pouvoir ou non leur faire confiance. En résumé, plus la personne en face de vous à un beau physique et plus vous lui ferez confiance. C'est ce qu'on appelle l'effet de halo et explique pourquoi ce président a cru à une chose aussi absurde.

     

     

    Une autre histoire prouve que notre perception n'est pas forcément la bonne. Rappelez-vous de la lecture du roman « La guerre des mondes » en 1938 par Orson Wells à la radio. Ce dernier a semé la panique dans tous les États-Unis et a dû présenter des excuses publiques. Cette mauvaise interprétation a créé une hystérie collective. Une autre lecture a été faite en 1949 et elle a fait le même effet. Ces deux phénomènes permettent de démontrer que nous sommes incapables de discerner le vrai du faux à cause du sérieux de la personne en face de nous. En effet, l'apparence et l'environnement dans lesquelles sont données ces informations jouent beaucoup sur notre perception de ce qu'on entend et plus la personne a l'air sérieuse, plus vous croirez ce qu'elle raconte.

    Cette émission nous prouve que notre cerveau est capable de nous duper en permanence. Alors, méfiez-vous des apparences, elles ne sont pas toutes vrais.



    Bonne vision glasses

     

    Quand le cerveau nous trompe

     


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  • Je vous ai parlé que le slogan  de Charlie était un égrégore,

    alors voilà ce qu'est un égrégore !

     

    Nous connaissons l'inconscient collectif, la mémoire collective ou encore les archétypes décrits par Jung. De bien des manières, nous nommons déjà ce phénomène mal connu et pourtant inscrit en nous : l'égrégore.

    Mais si nous sommes capables de générer ensemble cette conscience partagée, elle aussi a le pouvoir d'agir sur nous...

    lien pour le comprendre également en pratique :

    http://chezlaly.eklablog.net/comprendre-le-chiffre-11-a114269964


    Les égrégores par alalumieredunouveaumonde

    Un égrégore est produit par un puissant courant de pensée collective. Lorsque plusieurs personnes se focalisent ensemble sur un même objet, avec une même intensité, ils développent une énergie commune. Nous connaissons tous cet effet stimulant, éprouvé lorsque l'on partage avec d'autres un projet passionnant ou un moment fort. L'activité concentrée rassemble les intentions de chacun en une conscience collective, qui semble porter le groupe. Mais derrière l'impression personnelle, un processus réglé se déroule entre nous.

    Une émotion active les atomes de nos cellules, transformant le corps en une pile électrique, capable de fabriquer sa propre énergie. Ainsi, par la seule force d'une émotion mutuelle et sans même s'en rendre compte, nous connectons nos sources d'énergie et en créons une plus grande, globale. Comme branchés les uns sur les autres, nous vibrons sur la même longueur d'onde. La tension est alors assez haute pour qu'émerge un esprit de groupe.

    « Le biochimiste Rupert Sheldrake parle de champ morphogénétique.

    Le ressenti d'un individu exerce une force sur celui de l'autre.

    Ce mouvement, par résonance, va influencer leurs comportements et leurs pensées »,   explique Rosa Claire Detève, formatrice en psychologie quantique.

    Mais cet esprit de groupe n'est pas que la résultante passive d'un instinct grégaire.

    Pierre Mabille, médecin et anthropologue, proche des artistes du surréalisme, considérait que l'égrégore possède « une personnalité différente de celles des individus qui le forment ».                     A l'échelle individuelle par exemple, nous savons qu'une pensée enracinée depuis longtemps finit parfois par nous dépasser.

    Elle est en quelque sorte devenue autonome et agira sur nous aussi longtemps que nous l'alimenterons par nos croyances. De la même manière, l'égrégore est une entité vitalisée.

    Il agit comme un accumulateur d'énergies, nourri par les sentiments, les désirs, les idéaux ou les peurs de ses membres.

    Plus ces derniers sont nombreux, plus l'égrégore se renforce jusqu'à influencer leurs existences.

    Une connexion héritée

    « Dès lors qu'au moins deux personnes partagent une vision, elles forment un égrégore. Certains auront une durée de vie courte, d'autres traverseront les siècles : une histoire d'amour peut durer quelques jours, l'égrégore de l'église catholique a plus de 2000 ans », nous dit Alain Brêthes qui a beaucoup écrit sur le phénomène. L'auteur a répertorié les égrégores en trois catégories. Les égrégores neutres sont les plus nombreux. Ce sont les amicales de quartiers, les cercles professionnels ou les groupes d'amis de longue date.

    Ces égrégores ne sont pas très inductifs sur le plan de la pensée. Les gens partagent des choses mais vivent leur quotidien sans que cela n'ait de réelle incidence sur leur psyché.

    Ensuite, nous trouvons les égrégores dits « limitatifs » ; ce sont les égrégores de l'égo. L'individu se doit d'adopter les croyances et schémas comportementaux du groupe. C'est le cas des partis politiques, des religions. Ces dernières sont sans doute les égrégores les plus puissants car les plus longuement et largement partagés. L'égrégore s'appuie souvent sur une représentation. Et, de tous temps, les sociétés ont associé leur conviction à une symbolique forte. Or, le symbole c'est justement l'être humain qui projette sa pensée. Il est la manifestation formelle d'une énergie latente dirigée vers son accomplissement. Typiquement, l'étoile de David, la croix latine ou le yin et le yang servent de support de visualisation et de point de contact entre les membres, qui, célébrant leur foi, cultivent ainsi leur égrégore. A l’extrémité de cette catégorie, on trouve les radicaux, les gangs et les sectes.

    Enfin, les égrégores « féconds » sont ceux qui élèvent la conscience, qui s'efforcent d'unir et de rassembler, qui expriment des valeurs de justice, d'équité et de bienveillance. Ce sont des énergies utiles à la communauté mondiale, qui prennent la forme de courants de psychologie humaniste, d'associations humanitaires ou de mouvements spirituels contemporains.

    Tout est égrégore

    « Observez un dîner entre amis, il y a toujours celui qui fait rire, celui qui râle etc. Chacun joue un rôle qu'il quitte une fois rentré chez lui. Ils entretiennent leur égrégore. Un match de foot avec son équipe préférée, la rentrée des classes de son enfant ou un déjeuner dans la maison de famille... Nous évoluons en permanence parmi ces zones sociales invisibles, très conditionnantes.

    Même quelqu'un qui voudrait échapper à ce phénomène en partant vivre sur une île déserte, se relierait encore à l'égrégore des gens qui aspirent à s'isoler sur une île déserte », plaisante l'auteur. Parfois trop forte, l'empreinte peut néanmoins donner cette impression d'être englué dans l'existence d'un autre. « Pour autant, souligne Kaly, magnétiseur, il ne faut pas confondre égrégore et possession.

    On sort d'un égrégore en quittant les gens ou les idées qui nous y rattachent. Cela peut être difficile mais il n'y a que ça à faire ». Dans ce cas, la psychothérapie peut être un moyen pour prendre conscience du parasitage « énergétique » qu'exercent les valeurs de notre cercle ou de notre communauté.

    Mais quitter un égrégore n'est jamais que l'occasion d'en intégrer un autre. Un cheminement de vie clairvoyant permettra simplement de choisir ses sources d'inspiration, toujours avec le cœur. « Car, insiste Alain Brêthes, on ne peut pas y échapper.

    Tout est égrégore, c'est l'archétype universel, ce qui vient conditionner nos représentations ». Lorsque l'enfant qui naît prend son premier inspire, il se relie déjà à l'égrégore de la famille dans laquelle il arrive, mais également à l'égrégore de son pays et de l'histoire de son pays. Il inhale une quantité d'énergie collective qui ne lui appartient pas en propre et qu'il va faire sienne.                        « L'égrégore est la contrepartie psychique d'un groupe humain », ajoute-t-il.

    Il vit donc à la fois sur un plan physique, au travers des êtres qui le portent et sur un plan astral. Celui-ci est un espace intermédiaire, une sorte de canal qui nous relie à notre dimension éthérique, ultra-profonde.

    C'est par lui que communiqueraient les énergies subtiles des uns et des autres qui, unifiées, forment l'égrégore. Nul besoin donc d'être physiquement ensemble ; l'égrégore est comme le négatif de notre expérience vécue, une réalité alternative dans laquelle nous sommes en présence les uns des autres.

    Le rapport entre le caractère invisible, impalpable de cette énergie et son pouvoir bien tangible a très tôt fait sa dimension sacrée. Dans certains courants occultes, l'égrégore est un véritable support rituel. Les premiers à avoir exploré leur potentiel  égrégorique  furent les francs-maçons, reliés à travers le monde et les époques par leurs codes et initiations mystérieuses. Les écoles ésotériques utilisent l'égrégore comme un puissant outil divinatoire. Le chamanisme fait également de la transe et des cérémonies collectives une porte d'accès vers l'énergie universelle. Mais aujourd'hui, notre sacro-sainte science moderne tend elle aussi à s'emparer du phénomène.

    Aura universelle

    Depuis un peu plus de quinze ans, une théorie discrète est en train de révolutionner toutes nos connaissances sur la conscience humaine. Le Global Consciousness Project (Projet de Conscience Globale) est une expérience parapsychologique débutée en 1998 au sein de la prestigieuse université de Princeton, aux États-Unis. L'initiative, qui réunit scientifiques et ingénieurs, cherche à établir l'existence d'une activité énergétique universelle, grâce à un générateur aléatoire de nombres, un petit boîtier conçu au départ pour détecter les mouvements de pensées d'un cobaye.

    Après en avoir éprouvé l'efficacité sur une seule personne à la fois, l'appareil, baptisé Egg, est testé sur un groupe. On réunit une trentaine de personnes et on les invite à parler et à bouger comme bon leur semble. L'appareil de mesure, placé dans un coin de la pièce, ne réagit pas.

    Mais quand on demande ensuite au groupe de s'asseoir et de méditer ensemble, l'appareil semble capter une synergie et amorce une courbe. La découverte fait l'effet d'une bombe dans la communauté scientifique. Bientôt, des dizaines d'autres boîtiers Egg sont envoyés aux quatre coins du globe, de l'Alaska aux Fidji, avec une question précise : est-il possible de détecter un émoi collectif à l'échelle planétaire ? Les premiers résultats sont étonnants : lors des funérailles de Lady Di, les boîtiers enregistrent jusqu'en Chine une variation du champ psychique.

     

     

    A ce jour, 65 générateurs sont positionnés dans presque autant de pays, dont deux en France. Tous reliés en réseau, ils archivent en continu l'encéphalogramme terrestre. Chaque fois qu'un événement mondial se produit, des fluctuations sont enregistrées. Plus il est fort et médiatisé, plus elles sont importantes. L'informaticien Pierre Macias héberge l'un des deux Egg français à Toulouse : « Le flot de données des capteurs tend à s'éloigner des valeurs attendues lorsque se produit un événement public qui concentre les pensées et les émotions d'un grand nombre de gens. Le jour de l'attaque terroriste du 11 septembre 2001, la probabilité pour que les capteurs enregistrent une telle variation ''par hasard'' fut de l'ordre de 1 pour 1 million... Nous ne savons pas encore comment expliquer ces relations subtiles entre des événements d'importance pour les hommes et les données obtenues mathématiquement, mais elles sont indéniables aujourd'hui. Ces résultats montrent à l'évidence que le monde physique et le monde de l'esprit humain sont liés d'une relation encore inconnue ».

    J'espère qu'avec ce lien qui me vient de : 

    http://alalumieredunouveaumonde.blogspot.fr/

    vous aurez une meilleur vision des choses , un meilleur éclairage !

    Qu'est-ce qu'un égrégore ?

     

    Pour en savoir un peu plus avec cette vidéo 

     

    Qu'est-ce qu'un égrégore ?


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    Dans la médecine des sens ,le médecin Olivier Soulier

    avec son site nous propose cette vidéo de réflections

     

    J'ai mis par ailleurs quand ces meurtres ont commencés,

    un message du docteur sur le blog de loisirs et partages,

    il  nous parlait du film

    "La naissance du mal" ,vous trouvez ce film entier sur you tube.

    Nous en sommes là, je crois !

     

    CE QUE BORIS CYRULNIK PENSE DE LA TUERIE DE CHARLIE HEDBDO

     

    On a l'impression d'être libre , mais est-ce bien vrai !

    Nous ne pouvons plus, nous servir de notre propre banque avec le traité de Rome de la CEE ,

    donc plus de démocratie , d'ou moins de liberté !

    50 millions de déplacés dans le monde et surtout en Afrique.

    CE QUE BORIS CYRULNIK PENSE DE LA TUERIE DE CHARLIE HEDBDO

    A Calais , vous avez des réfugiés qui vivent dans un état extrême, pas d'eau, pas d'électricité, il vivent dans des abris de fortune qu'ils ont fabriqués.

    Ou sont les droits de l'homme ?

    Nous serons libre quand ces réfugiés le seront, pas avant !

    Nous serons libre quand nous auront vaincu la faim et la soif dans ce monde !

    Pour l'instant ce sont les pauvres qui nourrissent les riches.

     

    Alors mettons nous en route , au nom d'une vraie liberté !

     


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