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les forces invisibles de l'air et de l'eau
Aujourd'hui, la technologie nous a permis de voir toutes les forces qui étaient jusque-là invisibles et qui influent pourtant d'une façon conséquente sur nos vies.
C'est ainsi que nous vous invitons à travers ce reportage à les découvrir et à comprendre quelles influences celles-ci exercent sur nous.
Le premier élément que nous allons étudier est connu de tous sous un nom qui déplaît à ceux qui entretiennent leur maison. Il s'agit de la poussière, mais pas n'importe laquelle, la poussière céleste. Celle-ci arrive sur notre Terre en provenance de l'espace suite à la destruction de corps situés à des millions de kilomètres de notre planète.
Bien que la plupart d'entre-nous ignorions jusque-là son existence, nous la respirons pourtant à chaque inspiration.
Cette poussière interstellaire est subdivisée en trois principaux types : la poussière d'étoiles, la poussière de comètes et enfin la poussière d'astéroïdes.
Le premier type provient d'étoiles en fin de vie qui émettent des gaz extrêmement chauds qui se refroidissent ensuite lorsqu'ils s'éloignent de l'astre, formant ainsi de minuscules cristaux précieux.
Le second est libéré par les comètes lorsque celles-ci s'approchent d'une étoile.
Cette poussière est extrêmement précieuse pour les scientifiques, puisqu'elle est constituée des matériaux qui ont façonné l'univers.
De façon plus classique, nous retrouvons la poussière de maison, qui est bien entendu composée de celle dont nous venons de parler, mais également de minuscules fragments de peau, de pollen etc...
Ainsi, la majeur partie de l'air que nous respirons est en fait constituée de peau humaine morte !
Les particules qui ne sont pas inhalées se déposent au sol et servent de nourriture à un micro-organisme appelé acarien. Les déjections de cet animal viennent ensuite à leur tour constituer la poussière de l'air que nous respirons, et ce sont elles qui sont responsables de nos allergies à la poussière.
Bien que la poussière est la plupart du temps sans danger, ce n'est cependant pas le cas lorsque des éléments toxiques microscopiques viennent la constituer, comme ce fut le cas par exemple avec le 11 septembre. En effet, la destruction des tours jumelles a entraîné la libération de particules extrêmement fines et dangereuses contenues à l'origine dans l'équipement du bâtiment. Leur taille était d'ailleurs si petite qu'elles passaient totalement inaperçues pour notre barrière corporelle et arrivaient ainsi dans notre circulation sanguine.
L'accumulation de micro-fragments de fer dans le tissu cardiaque pourrait ainsi causer une nouvelle vague de maladies dans quelques temps, à en croire certains spécialistes.
Pourtant, ces particules ultra-fines sont également présentes dans l'air urbain, suite aux émissions faites par les véhicules. Nous ne sommes donc nullement à l'abri des effets néfastes de ces dernières...
D'autres forces destructrices composent notre air. Il s'agit des ondes de chocs qui sont caractérisées par une zone de forte pression propulsée à une vitesse bien supérieure à celle du son. Ce sont ces dernières qui sont responsables des plus grandes catastrophes qui ont eu lieu sur notre planète.
Ainsi, lors de l'explosion d'une bombe atomique, c'est cette force qui cause le plus de dégâts en soufflant tout ce qui se trouve sur son passage.
Pourtant, ces ondes sont encore assez mal connues par nos scientifiques qui s'efforcent de construire des bâtiments capables de résister à celles-ci.
Les turbulences sont quant à elles produites par des masses d'airs allant dans des directions différentes. Pourtant, elles sont également encore très mal comprises par la science qui s'efforce d'en apprendre plus à leur sujet afin de pouvoir éviter certaines turbulences aériennes qui sont extrêmement dangereuses.
Néanmoins, les doplers qui analysent les mouvements de l'eau permettent dans une certaine mesure de prédire les zones à risque.
L'air est également composé de microbes parfois dangereux, qui peuvent voyager sur de grandes distances grâce aux tempêtes de poussière. Il est donc, en théorie possible, qu'une épidémie ayant par exemple émergée en Afrique soit transmise jusqu'aux Etats-Unis par l'intermédiaire de ces phénomènes météorologiques.
Par ailleurs, avec l'émergence des technologies, l'air se voit de plus en plus chargée en radiations dégagées par nos appareils. En effet, ces derniers dégagent des ondes électromagnétiques et leurs effets sont encore sujettes à caution.
Pourtant, les ondes dégagées par les portables sont tellement puissantes qu'elles sont capables de faire chauffer nos tissus, de la même manière qu'un micro-onde, lorsque l'appareil est portée à l'oreille.
Les études actuelles tentent donc de comprendre si ces radiations sont capables de détériorer notre ADN, favorisant de ce fait la formation de cancers cérébraux.
Les lignes électriques seraient également susceptibles de provoquer certaines maladies, comme les leucémies. Mais, encore une fois, ces effets sont encore sujets à controverses.
Par ailleurs, l'air que nous respirons risque dans un futur proche d'être constitué d'éléments artificiels et intelligents. En effet, des études en cours visent à créer une poussière artificielle intelligente qui serait capable de déceler les éléments nocifs contenus dans l'air. Un autre domaine de recherche vise quant à lui à fabriquer une poussière capable d'espionner n'importe qui en passant totalement inaperçu.
Enfin, d'autres chercheurs s'emploient à créer des particules microscopiques capables de tuer tout organisme vivant qui rentrerait en contact avec elle. Fort heureusement, il semblerait que cette technologie ne puisse être opérationnelle avant au moins 200 ans...
Nous allons terminer cette exploration des forces constituantes de l'air en nous attardant sur un sujet un peu plus léger. Il s'agit de l'odeur.
Celui-ci nous dicte tout au long de notre vie quoi aimer ou détester et nous guide même dans nos expériences de séduction. En effet, la zone responsable du traitement des odeurs est directement reliée à la partie de notre cerveau responsable de nos émotions.
Ainsi, dans le domaine de la séduction, l'odeur dégagée à partir des aisselles des hommes seraient génétiquement déterminée, et ceci expliquerait en partie pourquoi une personne du sexe opposé pourrait être attirée ou non par celui-ci en fonction de son patrimoine génétique.
Pourtant, la façon dont nous décodons ces parfums reste encore un mystère..Dans l'air !
Dans l'eau !
Bonne vision
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