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    Qui sont donc ces ETs humano-reptoïdes dont on entend de plus en plus parler ?

    Ils sont cités dans de nombreux témoignages (conscients, enlèvements ETs, voyages astraux…) et leur description recoupe avec celle d’êtres de légendes et de traditions ancestrales… Abordons sérieusement le sujet.

    Témoignages

    Les Watson

    Un matin de juillet 1983, Ron et Paula Watson, de MontVernon dans l’Etat du Missouri (USA), observèrent deux étranges humanoïdes vêtus de combinaison argentées qui se trouvaient dans un champ contigu à leur ferme. Apparemment, ces drôles d’êtres étaient en train d’examiner une vache noire, étendue immobile sur le sol. Les Watson, qui observaient la scène à la jumelle, eurent soudain la surprise de voir la vache et les mystérieux enquêteurs s’envoler dans les airs jusqu’à un grand appareil de forme conique, qui se dressait dans un bosquet voisin. Le couple n’en avait pas fini avec les surprises car deux nouvelles entités bipèdes se trouvaient près de l’engin. D’après les descriptions, l’une était une sorte de grande bête du genre Bigfoot, au corps recouvert de poils hirsutes. Mais le second ressemblait vraiment à un homme-lézard…

    Comme l’expliquèrent les Watson, il mesurait à peu près 1.70 m et avait une peau verte reptilienne, des pieds et des mains palmés, et des yeux rouges de félin aux pupilles verticales. Puis, toujours sous les yeux du couple, les quatre personnages et la vache paralysée entrèrent dans l’appareil, qui ne tarda pas à décoller.

    « JW » enlevé aux Etats-Unis par 5 Lézards (3 mâles et deux femelles)

    Il a décrit ces créatures (dans le vaisseau dans lequel on l’a mené de force) comme ayant « … Des corps humains à l’exception près qu’ils présentaient les caractéristiques de poissons pour les écailles et la queue, comme des reptiles. Ils portaient quelques vêtements. Les parties sexuelles des femelles étaient similaires à celles de femmes humaines. Leurs jambes et leurs bras avaient plus du lézard que de l’homme. Ils avaient des caractéristiques de grenouilles et humaines à la fois. Leurs yeux étaient grands et protubérants. Ils avaient 3 doigts et 3 orteils…

     

    Chris Davis

    Vers 2 heures du matin, le 25 Juin 1988, Chris Davis, un jeune Afro-américain âgé de 17 ans, retournait chez lui en voiture. Passé le marais de Scape Ore, près du village de Bishopville, en Caroline du Sud, il se rendit compte qu’il venait de crever. Ils s’arrêta et changea rapidement de pneu. Il s’apprêtait à reprendre le volant, quand il aperçut un personnage solitaire qui traversait en courant un champ voisin dans sa direction.

    Surpris de voir quelqu’un à cette heure avancée de la nuit, David observa attentivement la silhouette et, alors que l’inconnu s’approchait de lui, il découvrit avec horreur qu’il n’avait jamais vue auparavant. Plus tard, Davis jura que l’apparition, qui selon ses dires mesurait plus de 2 m de haut, ressemblait à un lézard géant à la peau verte et écailleuse, avec des yeux rouges et brillants en amande. Apparemment, la chose n’avait que trois doigts et trois orteils, chacun d’eux se terminant par une griffe noire d’environ 10 cm. Tétanisé, Davis finit par se jeter dans sa voiture. Dans l’intervalle, l’étrange créature avait atteint le véhicule et s’était mise à batailler avec le rétroviseur extérieur comme si elle voulait ouvrir la porte du conducteur. L’homme-lézard était si excité que lorsque Davis accéléra pour échapper à son emprise, il sauta sur le toit de sa voiture et s’y accrocha, alors que l’adolescent fonçait à près de 120 Km/h à travers les étendues marécageuses. Heureusement pour Davis, la créature finit par lâcher prise, tomba du toit et disparut enfin au loin.

    David Icke

    Lors d’un voyage remarquable d’une quinzaine de jours, David Icke (célèbre écrivain, éminent détracteur du Gouvernement Mondial et de l’emprise des ETs Reptiliens sur celui-ci), alors qu’il traversait les Etats-Unis, en 1998, a rencontré séparément plus d’une douzaine de personnes qui lui ont dit avoir vu des humains se transformer en reptiles pour reprendre leur forme, et cela, juste devant leurs yeux. Deux animateurs de télévision auraient eu une expérience identique au moment où ils auraient interviewé un homme qui était en faveur de la centralisation globale du pouvoir, connue sous le nom de « Nouvel Ordre Mondial ». Après l’entrevue en direct, le présentateur aurait dit à sa collègue qu’il avait eu l’expérience d’une vision incroyable durant l’interview. Il aurait vu le visage de l’homme se transformer en une créature ressemblant à un lézard, puis, retourner à son aspect humain initial. Sa collègue lui aurait confié que, quant à elle, ce seraient les mains de l’interviewé qu’elle aurait vu se transformer en celles d’un reptile.

    L’animateur aurait aussi raconté à D. Icke l’expérience vécue par un ami policier alors qu’il aurait effectué une visite de routine dans un immeuble à bureaux situé à Aurora, près de Denver, au Colorado. Le policier aurait fait un commentaire à la directrice d’une des compagnies du rez-de-chaussée concernant l’extrême sécurité dans le bâtiment. Elle lui aurait répondu qu’il devrait visiter les étages supérieurs s’il désirait connaître la véritable ampleur de la situation. Elle lui aurait désigné un ascenseur qui ne s’arrêtait qu’à certains étages au sommet du bâtiment et, tout en bavardant, elle lui aurait dit ce qu’elle avait vu quelques semaines auparavant. Les portes de l’ascenseur se seraient ouvertes et un individu très étrange serait apparu. Il était blanc au point d’en paraître albinos, mais il avait un visage en forme de lézard et ses pupilles étaient verticales comme celles des reptiles. Cet individu-lézard serait sorti de l’ascenseur et serait monté dans un véhicule officiel qui l’attendait dehors. Le policier aurait été si intrigué qu’il aurait utilisé son temps libre pour enquêter sur les compagnies situées au sommet du bâtiment et desservi par les mystérieux ascenseurs. Il aurait découvert qu’elles auraient été toutes des prétextes à la CIA.

    Apparences

    Au-delà de ceux qui pensent que les reptiliens ne sont que des vestiges mémoriels remontant peut-être à plus de 65 millions d’années, quand nos ancêtres (rongeurs), fuyaient les dinosaures. Ou qu’ils ne sont que des hallucinations induites par une activité électrique anormale à l’intérieur du lobe temporal… Il y a ceux qui ont tracé des points communs sur l’aspect physique de ces créatures. Il faut garder à l’esprit qu’il y a aussi plusieurs types de reptoïdes classifiés par castes… Tout en haut on trouve les Dracos (albinos, ailés et plus grands) et au dessous les reptiliens « de base ».

    Portrait robot :

    1. Taille : 1.5 à 3.6m. Il se tient toujours en position bipède. Certains auraient une queue, d’autres non.
    2. Traits particuliers : écailles de lézard lisses.
    3. Couleur : du verdâtre au brunâtre. Blanc pour les Dracos qui sont albinos.
    4. Mains : 4 griffes courtes et émoussées (dont un pouce) avec des palmes brunes.
    5. Visage : humain et reptilien.
    6. Tête : crête allant du haut du crâne à l’arête du nez. Cornes coniques à mi-chemin entre les sourcils et le dessus du crâne.
    7. Bouche : ressemblant plus à une fente.
    8. Torse : des replis de peau au niveau du torse peuvent être visibles. Pour les Dracos, il y a des ailes qui sont des lambeaux de chair soutenues par de longues côtes.
    9. Yeux : ressemblant à ceux d’un chat avec pupille verticale et iris doré.
    10. Sang : froid pour tous les reptiliens.
    11. Effets sur les témoins : dégoût, répulsion, effet de grotesque.
    12. Manières : importun, agressif, dépourvu de sensibilité.
    13. Effets physiques sur l’environnement : de grandes marques de griffes ont pu être photographiées.
    14. Communication : nulle. Le reptoïde ne cherche pas à nouer le contact

    D’où viennent-ils ?

    A ma connaissance, on leur attribue cinq origines possibles.

    Ils pourraient venir de la Terre elle-même !

    C’est en tout cas ce qu’affirme John Rhodes (chercheur et écrivain américain, spécialiste des reptiliens) qui nous a offert dans son ouvrage « Dragons of the Apocalypse » une large description de ce peuple. Ces propos sur l’origine des Lézards sont appuyés par la thèse de l’ufologue David Barclay, dont les travaux tendent à démontrer qu’en 150 millions d’années de « règne », la race des dinosaures aurait pu engendrer un reptile-humanoïde intelligent… Et c’est ce dernier qui aurait été à l’origine de la catastrophe planétaire de la limite Crétacé/Tertiaire (!!), il y a 65 millions d’années, détruisant ainsi les membres de sa propre espèce – en plus de tous les autres dinosaures.

    Barclay reprend qu’un petit nombre de ces créatures auraient échappé à la destruction. Aurait également survécu un « animal familier », créé par les Reptiliens à partir de leur propre souche, et qui allait devenir un jour l’homo sapiens. Au cours de ces derniers millions d’années, cette race auraient fini par évoluer pour se transformer au fil des âges en la race des Gris.

    Cette thèse expliquerait le caractère humanoïde commun aux trois races : les hommes, les Gris et les Lézards.

    D’autres sources tels certains contactés, affirment avoir appris l’origine de l’homme par des membres de la première race humanoïde de la planète bleue : les Reptiliens.

    C’est ainsi le cas d’Ole K., un Suédois affirmant avoir interviewé une Reptilienne en Janvier 2000. Celle-ci lui aurait affirmé que sa race serait native de la Terre. Elle serait apparue il y a 65 millions d’années après une guerre terrible entre deux peuplades Extraterrestres (une reptilienne et une humanoïde) se battant pour la possession de la Terre. La destruction des dinosaures aurait été le point final de cette lutte ne laissant aucun vainqueur… Si ce n’est l’émergence d’une nouvelle race reptilienne : Les fameux Lézards ou plutôt leurs ancêtres. Ils auraient évolué pendant 30 millions d’années d’un animal à un être humanoïde pensant. Il y a 15 millions d’années, 3 sous-espèces de cet ancêtre reptilien auraient évolué jusqu’à atteindre un niveau technologique élevé. Il y a 10 millions d’années, ils auraient modifié génétiquement leur race pour l’améliorer et stopper son évolution. A partir de là, ils auraient colonisé d’autres planètes et construit de grandes cités sur Terre (détruites par les caprices de la nature) . Ils vivraient aujourd’hui sous la surface de la Terre.

    En ce concerne leur location d’origine, c’est toujours la Terre selon beaucoup, mais pas dans cette dimension d’existence ! En effet, ils auraient évolué à l’instar des humains sur Terre mais « en parallèle », sur une seconde Terre qui auraient vécu une histoire différente. Dans celle-ci les Dinosaures ont survécu après la catastrophe de la limite Crétacé/Tertiaire et une race humanoïde de reptile aurait supplanté toutes les autres espèces de dinosaures et de mammifères. Cette thèse s’approche nettement de la précédente à la différence que les Lézards n’ont pas été à l’origine de l’homme dans celle-ci !

    Abordons à présent une approche tout aussi sérieuse menée entre autres par David Icke.

    Nous allons quitter la Terre mais pas le système solaire ! Car à l’intérieur de celui-ci se trouverait une planète inconnue, une dixième planète appelée Nibiru par les Sumériens.

    Cette planète aurait une ellipse particulière qui la ferait s’approcher de la Terre tous les 3600 ans environ. Sur cette planète se serait développé une espèce de type reptoïde de quelques millénaires d’avance sur l’homme.

     

    C’est cet avantage technologique qui aurait permis à cette race de coloniser la lune, Mars puis… Notre belle planète bleue. Ils auraient exploité l’homme (esclavage) après lui avoir donné la vie, en croisant leurs gènes à ceux de l’espèce primitive la plus évoluée de la Terre à cette époque : l’homo erectus. Cet épisode se serait déroulé il y a 200 000 à 300 000 ans et serait représenté dans la Bible comme la Tentation d’Eve et la « Chute » de l’homme éconduit de l’Eden. Selon les Cassiopéens (Entités de dimensions supérieures contactées par channelling), la tentation d’Eve serait la faiblesse de la part intuitive de l’homme, le serpent représenterait la race de ce peuple ; quant à l’Eden il représenterait la Terre lors de l’Âge d’Or des traditions.

    Après ce passage de l’histoire, l’homme (anciennement Néandertalien ou Homo Erectus) se serait retrouvé dans l’acceptation de l’emprise des Lézards sur son espèce. Ils auraient toujours le pouvoir sur notre planète en agissant sur elle à partir de la 4ème dimension d’existence (celle qui est juste supérieure à la nôtre) grâce à leurs activités psychiques et physiques. Cependant les Cassiopéens n’attribuent pas l’origine des Reptiliens à la 10ème Planète mais à la constellation d’Orion semble-t-il…

    Ayant quitté le système solaire pour Orion, nous pouvons maintenant nous rendre sur une planète peu connue de la constellation du Sagitaire d’où les Reptiliens viendraient (selon un texte anglophone issu du site http://www.olywa.net/george/george_egypt.html). Ils auraient en fait été « invité » il y a 26 millions d’années par les Créateurs de la Terre à habiter celle-ci dans la troisième dimension avec un autre peuple sauriens : les ETs dinoïdes. Ces deux races auraient été aidées par une race ET pré-cétacéenne (ancêtres des dauphins et baleines) pour l’apport de nourriture. Il y a 10 millions d’années les sauriens ne se seraient rebellés en décidant à se « séparer » de leurs nourrices.

    Mais avant que les sauriens n’attaquent les pré-cétacéens, ces derniers engendrèrent une énorme explosion planétaire qui détruit la majorité des reptiliens. Les survivants se réfugièrent sur Tiamat. Quant aux pré-cétacéens, ils se scindèrent en deux groupes : l’un retournant sur leur planète d’origine et l’autre restant dans les océans de la Terre pour se transformer progressivement en cétacés, fuyant la technologie. Les créateurs de la Terre assumèrent leur erreur et se remirent en quête d’une nouvelle race pour la Terre. Ils la trouvèrent dans le système de Vega : une espèce primitive qui commençait à sortir des océans (cf thèse qu’on retrouve dans le dossier sur la création de l’humanité). Avec l’accord des dirigeants spirituels de Vega, ils confièrent la Terre à ces hommes. Mais les Lézards préparaient leur vengeance, qu’ils appliquèrent en dirigeant une comète vers la Terre qui anéantit tous les hommes (il y a 1 million d’années). A cette déclaration de guerre, le Conseil des Mondes ordonna le passage de Nibiru dans l’axe de rotation de Tiamat : ce qui détruit à jamais cette planète et ses habitants. L’homme fut remis sur Terre et le peuple des Lézards vit toujours.

    Je pense comme John Winston que les lizzies (leur petit surnom en Anglais) sont peut-être à l’origine de l’homme en tant qu’homo sapiens, mais que tout le reste de la création de l’homme sur Terre a été accompagnée d’amour et effectuée par des groupes ETs pacifiques. Les lizzies ne seraient donc intervenus que sur le tard pour achever la création de l’homme en gâchant le potentiel énorme l’âme humaine !!

    Et pour conclure, il est utile de préciser que :

    Les traditions d’Orient soutiennent que l’humanité avait des ancêtres reptiliens (contrairement à l’image anthropomorphique du Dieu de l’Occident)

    • Les premiers empereurs chinois proclamaient qu’ils descendaient des dragons
    • Il existe toujours en Inde des familles de haute caste affirmant que leurs ancêtres sont des Dieux serpentiformes hindoues appelées « Nagas »
    • Les Dogons du Mali, aux connaissances astronomiques extraordinaires, prétendent que leur science leur vient de leurs ancêtres venus du ciel et à l’aspect de reptiles (« nommos »)
    • Les Egyptiens avaient leur dieu serpent, Kneph, et les pharaons étaient souvent représentés avec des serpents
    • Les cultures d’Amérique centrale avaient leur dieu Quetzalcoatl : un serpent ailé
    • Les Indiens Hopi ont un dieu nommé Baholinkonga : un serpent à plumes
    • Les Phéniciens avaient Agathodémon, une représentation ophidienne
    • Les adeptes du Vaudou ont un dieu qu’ils appellent Damballah Wedo et qui est dépeint comme un serpent
    • Les Hébreux ont un Nakhustan, le serpent d’airain.
    • L’ancien dieu britannique, connu comme le maître dragon du monde, était appelé HU.
    • Le premier autal érigé aux cyclopes à Athènes était dédié à Ops, le dieu-serpent
    • Les Aborigènes d’Australie possèdent aussi leur mythe du Dieu-Serpent…

    Destins Croisés

    Les activités des Reptiliens semblent innombrables tellement on les accable de l’entière responsabilité de divers événements. Pour garder une certaine cohérence, nous allons étudier leur influence sur l’humanité de manière chronologique.

    Ils seraient à l’origine de la disparition des dinosaures il y a 65 millions d’années (selon John Rhodes entre autres). Ils auraient en tous les cas survécu à cette catastrophe, selon « Lacerta File », et ce pour voir l’homme évoluer du simple primate arboricole à ce qu’il est de nos jours : nos ancêtres auraient même été leurs bêtes de zoo.

    Ils auraient colonisé (selon D. Icke et « Lacerta File ») Mars puis la Lune (ainsi que d’autres planètes de notre système solaire) avant la venue de l’homme sur Terre.
    Toujours avant l’arrivée de l’homme, selon les Zetains, un roi reptilien aurait construit les sites mégalithiques tels Stonehenge et Avenbury.

    Selon différentes sources (Cassiopéens, Tablettes Sumériennes), ils seraient à l’origine de la transformation de l’homme en homo sapiens (homme imparfait car régit par la peur et le désir) sachant que l’homme existait déjà. Les reptiliens seraient les Annunaki venus de Nibiru (selon D. Icke).

     

    Les Cassiopéens les mentionnent déjà lorsqu’ils parlent de l’Atlantide. En effet, les Atlantes seraient arrivés à leur niveau de technologie seuls… mais aidé par des forces extérieurs : les Lézards. Une partie de ce peuple en tout cas, avide de conquêtes et de technologie (les fils de Belial mentionnés dans les lectures d’Edgar Cayce et représentant tout d’abord une ethnie puis par la suite un groupe idéologique) ont accéléré la fin de toute leur civilisation.

    Ils sont de nouveau cités par les Cassiopéens, il y a environ 8000 ans av. JC, lorsqu’ils sont venus aider l’homme à reconstruire des civilisations grâce à leur connaissance léguée aux descendants des Grandes civilisations telles l’Atlantide, la Lémurie, la Grande Egypte, les Mayas…

    La tour de Babel, ou la déroute des langages, était un outil qui avait pour but d’altérer l’esprit des masses pour une unification spirituelle. Les « dieux » qui « regardaient » du haut de la tour, qui en avaient l’utilité et qui ont détruit leur travail… sont les Lézards (Cassiopéens).

    La destruction de Sodome et Gomorrhe est due à une explosion nucléaire couplée à des vibrations electro-magnétiques par les reptoïdes (Cassiopéens) pour imposer la peur et l’obéissance. C’est aussi ce qu’a essayé de démontrer D. Icke.

    Selon les Cassiopéens, les « Bigfoot » sont en quelque sorte les esclaves, les « animaux domestiques » des Lézards. Ce sont ces Sasquatch qui auraient habité la planète Mars (NDLR : Le visage de Mars n’est-il pas plus proche de celui d’un primate que celui d’un homme ?). Ils y ont été déposés et retirés par leurs maîtres reptoïdes. Se rapporter au premier témoignage où un « Bigfoot » est aperçu aux côtés de reptiliens…

    Selon Michael Relfe (The Mars Records) l’état du Missouri aux Etats-Unis serait un haut-lieu de l’activité reptilienne. Le premier témoignage a lieu à Mont Vernon dans… le Missouri !

    Les premiers aryens (la race blanche souche qui serait le vecteur principal des Lézards dans notre dimension) auraient émergé en Perse (connu comme l’empire aryen dans les anciennes traditions) et y auraient été amenés d’une autre planète du système solaire (Mars pour D. Icke et Tiamat pour les Cassiopéens) par les Lézards. Edgar Cayce, le prophète endormi, déclare (lors de la lecture d’une de ces vies antérieures) avoir été incarné dans le premier aryen, né de l’Union d’une perse et des « dieux » des monts iraniens… Pour les ethnologues, la race blanche trouverait effectivement son origine en Perse.

    Dans les années 80/90, nombreux furent les séries ou les films à faire intervenir des Lézards d’origine extra-terrestre.

    Le meilleur exemple de série TV est « V » (qui ne dura malheureusement qu’une saison). Cette série traitait de la cohabitation ET/Humain après l’arrivée d’un peuple de l’espace sur notre belle planète. Les premières « cibles » d’atterrissage des vaisseaux -mères ET étaient les capitales et leurs premiers soutiens étaient les dirigeants des grands pays de la Terre. L’aspect des ET était humain, mais ce n’était en fait qu’un masque de latex qui cachait une apparence de reptile. Des reptiles qui se nourrissaient la plupart du temps de chair fraîche (comme des rongeurs : pauvres ancêtres !) et à l’occasion d’êtres humains dont ils faisaient le stock dans leurs immenses embarcations interstellaires… Concernant le cinéma, c’est Stargate qui fit la part belle aux Reptiliens. Le film les décrit comme des parasites s’insinuant dans le corps humain pour le posséder et comme les instaurateurs des grandes civilisations humaines – et de l’évolution de l’homme en général. Ces deux exemples ne sont pas sans rappeler, le serpent de la Bible, à l’origine de l’évolution de l’homme ou encore le caractère vampiro-parasitaire de la race reptilienne (dépeint de si nombreuses fois) associée au pouvoir de l’élite mondiale.

    D. Icke décrit le lieu de résidence des Reptiliens principalement dans des bases sous-terraines. Comme le témoignage apporté dans « The Mars Records ». C’est encore sous Terre que les Amérindiens situent les forces obscures reptiliennes. Dans « Lacerta File », Ole K., a interviewé une reptilienne affirmant que ses ancêtres ont été longtemps (et le seraient toujours) réfugiés sous Terre. Quant aux Zétains, ils localisent aussi une race reptilienne dans les profondeurs de la planète.

    Les Indiens Hopis, selon leurs légendes, auraient vécu à l’intérieur de la Terre et auraient été nourris et vêtus par un peuple de fourmis, probablement les extraterrestres connus comme étant les Gris. Les Hopis font référence à leurs ancêtres comme à leurs « frères serpents » et le plus sacré de leurs rituels souterrains est la danse du serpent. Les Hopis disent qu’un jour, sous les ordres de leur déesse, la Femme Araignée, ils sont remontés à la surface et ont émergé de leur caverne qu’ils ont appelé le Sipapuni. Une histoire à peu près similaire est décrite par un récit des Cassiopéens dans lequel les Hopis sont sauvés des eaux et transférés d’un lieu à un autre (sous Terre ?)… Par la volonté des Lézards. Le rapprochement des Gris et des Lézards est de plus en plus conséquent.

    Etats des Lieux

    Les Reptoïdes agiraient d’une dimension d’existence imperceptible aux sens communs des hommes. Ils se situeraient peut-être dans le bas-astral, d’où proviennent les esprits ou démons que l’homme invoque.

    Pour les chamans amazoniens, les Méso-américains précolombiens, les néos shamans, les « contactés », comme pour les enseignements télépathiques reçus par certains :

    Des entités – qui sont vues en transe chamanique comme des créatures noires ressemblant à des dragons, voire à des insectes géants – disent avoir été chassées de leur propre planète par une force supérieure contre laquelle ils étaient rebelles – et avoir pris possession de la terre il y a des éons de cela, bien avant l’apparition des hommes dont par ailleurs elles se prétendent (mensongèrement disent les indiens) les créateurs.

    Ces entités sont perçues par les chamans comme étant localisées dans les ténèbres les plus profondes, sous terre ; elles se nourriraient des énergies négatives provenant des comportements mauvais qu’elles induisent en nous.

    Toutefois ces mêmes chamans disent qu’il ne faut pas exagérer leurs pouvoirs qui seraient limités contrairement à ce qu’elles affirment.

    Elles seraient selon certains « contactés » combattues par d’autres forces galactiques opposées au service des Ténèbres et nous ferions donc les frais d’être placés sur un champ de bataille cosmique entre ces deux énergies.

    Ces entités seraient donc la cause réelle des maux qui affectent toutes les civilisations terrestres.

    Plusieurs autres sources prétendent que les Lézards occuperaient des bases souterraines sur toute la surface du globe, en accord avec le Nouvel Ordre Mondial.

    Dans les traditions, les Lézards seraient associés aux dragons présents chez tous les peuples de la Terre, aux vampires (car ils partagent avec les congénères de Dracula le besoin de sang, le fait de se nourrir de l’énergie du sexe et de la peur des « mortels »), aux chuppacabras (ou suceurs de chèvres) issus du folklore hispanique dont l’aspect serait celui d’un gros lézard qui attaque les animaux pour les vider de leur sang… L’énergie absorbée par les Lézards ne serait que négative et leur servirait (D’après M. Relfe dans The MarsRecords) à faire du « troc » avec des forces démoniaques supérieures. Bien que la majorité des Lézards aient du dédain pour les hommes, il en existerait des très bons et généreux, ne cherchant qu’à aider les hommes (mais ils sont rares !).

     

    Le premier vecteur d’action à travers lequel les Lézards agiraient sur la planète Terre serait la race aryenne (race issue d’un croisement des lignées royales des reptiliens, les dracos, et d’êtres humains). Les blancs d’aujourd’hui n’en serait que la descendance. C’est de par leur nature que les blancs seraient plus aisément manipulables ou « possédables » par les Lézards. C’est pourquoi les lignées plus « pures » des descendants des aryens continueraient de se reproduire entre elles (familles royales…etc).

    Les Lézards agiraient principalement sur notre planète à travers la manipulation organisée depuis des milliers d’années et qui a commencé avec l’instauration de religions (à commencer par le christianisme, issu de la religion essénienne, elle-même inspirée de la religion egyptienne dans laquelle on retrouve les cultes concernant le soleil, le feu et le serpent… qui soit-disant auraient déjà été des symboles d’adoration d’une idéologie atlante) et qui a continué avec la mise en place de sociétés secrètes gérées par des lignées plus « pures » issues de croisement génétiques entre des Lézards et des hommes (blancs principalement).

    A l’instar des Gris, les Lézards auraient peut-être eux aussi cherché à se croiser génétiquement avec des hommes. Ces êtres auraient même fait une apparition dans les livres d’histoire sous le nom de Cagots ou Chrestians : hybrides humano-reptiliens d’aspect et de comportement.

    Le Nouvel Ordre Mondial qui agirait en coulisse et qui serait aux commandes du monde, serait géré par les descendants des membres des anciennes sociétés secrètes… Membres manipulés (consciemment ou inconsciemment) voire même « possédés » par les reptoïdes.

    En effet, les reptiliens ne s’incarnent que rarement dans notre dimension car la matérialisation d’un corps à long terme est épuisante. Ils s’incarnent donc en des corps humains « propices » à cela génétiquement parlant (blancs majoritairement). Ils font aussi intervenir d’autres matérialisations : celles des MIB (Men In Black ou hommes en noir) d’après D. Icke et les Cassiopéens, et celles des gris (ou ET de type « Roswell) qui ne seraient que des robots biologiques, des Formes Pensées (Ou FP) utilisés pour les « tâches courantes » des reptiliens (enlèvements, accords militaires, mutilations animales).

    Une des raisons pour lesquelles les reptiliens continueraient de vouloir posséder la Terre, c’est pour l’acquérir. Bien que théoriquement il la posséderait déjà ! Cependant ils ne peuvent réellement et « physiquement » en prendre possession qu’au terme du changement de dimension que devrait vivre la Terre et l’humanité d’ici quelques années. En effet, lors de ce « passage » dans la dimension d’existence supérieure, les reptiliens en profiteraient pour asservir « physiquement » l’humanité.

    Cependant il ne faut pas céder à la panique ! Il ne faut pas non plus diaboliser ces créatures (D. Icke le dit lui même malgré ses accusations) : une partie d’entre eux est assez bonne pour prendre soins d’Indiens ou pour s’entretenir pacifiquement avec un Suédois le temps d’une brève interview. Et puis il nous reste toujours notre meilleure arme : l’Amour ! En effet, même si -soi-disant- les écritures saintes telles la Bible ont été manipulées par les Reptiliens ou leurs représentants terrestres, il ressort des enseignements tels ceux du Christ une énorme vague d’Amour ! Les Lézards auraient-ils été maladroits au point de léguer aux humains l’arme permettant de s’affranchir de leur emprise ? Concluons simplement sur cette note positive : ces créatures vont droit à leur perte parce que l’être humain est en devenir.

    La véritable origine de l’humanité … Le secret le mieux gardé de l’Église …

     

    Il y a beaucoup de cultures qui nous parlent de l’existence d’êtres Reptiliens, considérés comme des dieux: Les Anunnakis. Il y a beaucoup d’indices, de traces que ces êtres ont laissé dans notre histoire.
    Les anciens signalèrent et représentèrent ces dieux dans leurs peintures, leurs écrits, et surtout, leurs constructions, lesquelles sont impossibles à reproduire aujourd’hui.

    Leurs connaissances tant technologiques que de conscience de l’univers influencèrent notre histoire… même jusqu’à nos jours…

    Vous ne serez plus jamais le même après avoir connu les secrets de ce livre …

     

     


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    Un certain nombre de cultures anciennes croyaient en un cycle des âges du monde dans lequel nous descendons progressivement d’un état de perfection spirituelle et d’abondance matérielle à un état d’ignorance et de rareté. Dans l’Inde ancienne, cela s’appelait le cycle Yuga.

    La doctrine du cycle Yuga nous dit que nous vivons maintenant dans le Kali Yuga; l’âge des ténèbres, lorsque la vertu morale et les capacités mentales atteignent leur point le plus bas dans le cycle.

    Le Mahabharata décrit le Kali Yuga comme la période où «l’âme du monde» est de couleur noire; il ne reste qu’un quart de la vertu, qui diminue lentement jusqu’à zéro à la fin du Kali Yuga. Les hommes se tournent vers la méchanceté; la maladie, la léthargie, la colère, les calamités naturelles, l’angoisse et la peur de la pénurie dominent. Pénitence, sacrifices et observances religieuses tombent en désuétude. Toutes les créatures dégénèrent. Le changement passe sur toutes choses, sans exception.

    Le Kali Yuga (âge du fer) a été précédé par trois autres Yugas: Satya ou Krita Yuga (âge d’or), Treta Yuga (âge d’argent) et le Dwapara Yuga (âge du bronze).

    Dans le Mahabharata , Hanuman donne la description suivante du cycle Yuga au prince Pandava Bhima:

    Le Krita Yuga a été ainsi nommé parce qu’il n’y avait qu’une seule religion, et tous les hommes étaient saints: ils n’étaient donc pas tenus d’accomplir des cérémonies religieuses… Les hommes n’achetaient ni ne vendaient; il n’y avait ni pauvres ni riches; il n’y avait pas besoin de travailler, parce que tout ce dont les hommes avaient besoin était obtenu par le pouvoir de la volonté…

     

     

    Le Krita Yuga était sans maladie; il n’y avait pas de diminution avec les années; il n’y avait ni haine, ni vanité, ni aucune pensée mauvaise; pas de chagrin, pas de peur. Toute l’humanité pouvait atteindre la béatitude suprême. L’âme universelle était blanche… l’identification de soi avec l’âme universelle était toute la religion de l’âge parfait.

    Dans le Treta Yuga, les sacrifices ont commencé et l’âme du monde est devenue Rouge; la vertu a diminué d’un quart. L’humanité cherchait la vérité et accomplissait des cérémonies religieuses; ils ont obtenu ce qu’ils désiraient en donnant et en faisant.

    Dans le Dwapara Yuga, l’aspect de l’âme du monde était jaune: la religion diminuait de moitié. Le Veda était divisé en quatre parties, et bien que certains connaissaient les quatre Vedas, d’autres n’en connaissaient que trois ou une. L’esprit s’est atténué, la vérité a décliné et il y a eu le désir, les maladies et les calamités; à cause de ces hommes ont dû subir des pénitences. C’était un âge décadent en raison de la prévalence du péché.

    Nous vivons maintenant dans les temps sombres du Kali Yuga, où la bonté et la vertu ont pratiquement disparu du monde. Quand le Kali Yuga a-t-il commencé et quand se termine-t-il?

    Malgré le cadre théologique élaboré du cycle Yuga, les dates de début et de fin du Kali Yuga restent entourées de mystère. La date communément acceptée pour le début du Kali Yuga est 3102 avant notre ère, trente-cinq ans après la conclusion de la bataille du Mahabharata. On pense que cette date est basée sur une déclaration faite par le célèbre astronome Aryabhatta dans le texte sanscrit Aryabhatiya, où il écrit que:

    Quand soixante fois soixante ans (soit 3 600 ans) et trois quarts de Yugas s’étaient écoulés, vingt-trois ans s’étaient alors écoulés depuis ma naissance.

    Cela signifie qu’Aryabhatta avait composé le texte quand il avait 23 ans et que 3600 ans du Yuga actuel s’étaient écoulés. Le problème ici est que nous ne savons pas quand Aryabhatta est né, ni quand il a composé l’Aryabhatiya. Il ne mentionne même pas le Kali Yuga par son nom, et déclare simplement que 3 600 ans du Yuga s’étaient écoulés.

    Les érudits supposent généralement que le Kali Yuga avait commencé en 3102 avant notre ère, puis utilisent cette déclaration pour justifier que l’Aryabhatiya a été composée en 499 CE. Cependant, nous ne pouvons pas utiliser la logique inverse, c’est -à- dire que nous ne pouvons pas dire que le Kali Yuga doit avoir commencé en 3102 avant notre ère puisque l’Aryabhatiya a été composé en 499 EC, car nous ne savons pas quand Aryabhatta a vécu ou achevé son travail.

    Une autre source importante est l’ inscription Aihole de Pulakesin II de Badami, qui a été incisée à l’expiration de 3 735 ans après la guerre de Bharata et 556 ans des rois Saka.  Si nous prenons le début de l’ère Saka comme 78 CE, alors la guerre de Bharata a eu lieu en 3102 avant notre ère, puis le Kali Yuga, qui a commencé 35 ans après la guerre de Bharata, a commencé en 3067 avant notre ère. Mais nous devons nous rappeler qu’il existe également une ancienne ère Saka , dont la date de début est contestée, et pour laquelle diverses dates ont été proposées par des savants allant de 83 avant notre ère à 383 avant notre ère.  Si l’inscription Aihole se réfère à l’ancienne ère Saka, alors l’ère Kali commence quelques centaines d’années avant 3102 avant notre ère.

    La vérité est qu’il n’y a pas de texte ou d’inscription qui nous donne une date sans ambiguïté pour le début du Kali Yuga. Bien que la date communément acceptée soit 3102 avant notre ère, il n’y a aucune base astronomique pour cela.

    On prétend que le calcul était basé sur la conjonction des cinq «  planètes géocentriques  » (c’est-à-dire les planètes visibles à l’œil nu) – Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne – à 0 ° Bélier au début du Kali Yuga comme mentionné dans le Surya Siddhanta . Mais le Surya Siddhanta déclare explicitement que cette conjonction de planètes à 0 ° Bélier a lieu à la fin de l’âge d’or. 5En outre, les simulations modernes indiquent que les 17 et 18 février 3102 avant notre ère, les cinq planètes géocentriques occupaient un arc d’environ 42 ° dans le ciel, ce qui ne peut en aucun cas être considéré comme une conjonction.

    Par conséquent, il n’y a pas non plus de base astronomique pour la date de début, et nous n’avons aucune preuve qu’Aryabhatta ou tout autre astronome ait calculé la date. Avant le 6 e siècle de notre ère, la date n’apparaît dans aucun texte ou inscription sanskrit. Il aurait pu être inventé par des astronomes plus tardifs ou adopté à partir d’un autre calendrier. Le flou entourant l’origine de ce marqueur chronologique très important rend sa validité hautement suspecte.

    La tâche de déterminer la date de début du Kali Yuga à partir des anciens textes sanskrits, cependant, est semée d’embûches, car un certain nombre d’inexactitudes se sont glissées dans les informations du cycle Yuga qu’elles contiennent.

    Dans de nombreux textes sanskrits, la durée de 12 000 ans du cycle Yuga a été artificiellement gonflée à une valeur anormalement élevée de 4 320 000 ans en introduisant un facteur de multiplication de 360, qui était représenté comme le nombre d’«  années humaines  » qui constitue une «  année divine  ». .

    Dans le livre The Arctic Home in the Vedas (1903), BG Tilak a écrit que:

    Les écrivains des Puranas, dont beaucoup semblent avoir été écrits au cours des premiers siècles de l’ère chrétienne, n’étaient naturellement pas disposés à croire que le Kali Yuga était décédé… Une tentative a donc été faite pour prolonger la durée de le Kali Yuga en convertissant 1.000 (ou 1.200) années humaines ordinaires de celui-ci en autant d’années divines, une seule année divine, ou une année des dieux, égale à 360 années humaines … cette solution de la difficulté fut universellement adoptée, et une Le Kali de 1 200 années ordinaires s’est aussitôt changé, par cet ingénieux artifice, en un magnifique cycle d’autant d’années divines, soit 360 × 1 200 = 432 000 années ordinaires.

    Cycle Yuga de 24000 ans

    Cependant, certains textes sanskrits importants tels que le Mahabharata et les lois de Manu, qui, selon les érudits, ont été composés avant les Puranas, conservent toujours la valeur originale du cycle Yuga, soit 12 000 ans. Le Mahabharata mentionne explicitement que la durée du cycle Yuga est basée sur les jours et les nuits des êtres humains. Les zoroastriens croyaient également en un cycle des âges de 12 000 ans.

    La Grande Année ou Année Parfaite des Grecs était diversement représentée comme étant d’une durée de 12 954 ans (Cicéron) ou 10 800 ans (Héraclite). Certes, le cycle Yuga ne peut pas être de durées différentes pour différentes cultures.

     

     

    Dans le livre The Holy Science (1894), Sri Yukteswar a précisé qu’un cycle Yuga complet prend 24000 ans et comprend un cycle ascendant de 12000 ans lorsque la vertu augmente progressivement et un cycle descendant de 12000 ans supplémentaires, au cours desquels la vertu diminue progressivement. Par conséquent, après avoir terminé un cycle descendant de 12 000 ans de Satya Yuga -> Kali Yuga, la séquence s’inverse, et un cycle ascendant de 12 000 ans commence qui va de Kali Yuga -> Satya Yuga. Yukteswar déclare que «Chacune de ces périodes de 12 000 ans apporte un changement complet, à la fois extérieurement dans le monde matériel et intérieurement dans le monde intellectuel ou électrique, et est appelée l’un des Daiva Yugas ou couple électrique.

    La durée de 24 000 ans du cycle Yuga complet se rapproche étroitement de l’année de précession de 25 765 ans, qui est le temps mis par le soleil pour «précesser», c’est-à-dire reculer, à travers les 12 constellations du zodiaque.

    Fait intéressant, le Surya Siddhanta spécifie une valeur de 54 secondes d’arc par an pour la précession, contre la valeur actuelle de 50,29 secondes d’arc par an. Cela se traduit par une année précessionnelle d’exactement 24 000 ans! Cela signifie que la valeur actuelle de précession observée peut simplement être un écart temporaire par rapport à la moyenne.

    Le concept d’un cycle ascendant et descendant de Yugas est toujours répandu parmi les bouddhistes et les jaïns. Les Jaïns croient qu’un cycle temporel complet (Kalachakra ) a une moitié progressive et une moitié régressive. Au cours de la moitié progressive du cycle ( Utsarpini ), il y a une augmentation graduelle des connaissances, du bonheur, de la santé, de l’éthique et de la spiritualité, tandis que pendant la moitié régressive du cycle ( Avasarpini ) il y a une réduction graduelle de ces qualités. Ces deux demi-cycles se succèdent dans une succession ininterrompue pour l’éternité, tout comme les cycles du jour et de la nuit ou le croissant et le déclin de la lune.

    Les Grecs de l’Antiquité semblent également avoir cru en un cycle des âges ascendant et descendant. Le poète grec Hésiode (vers 750 avant notre ère – 650 avant notre ère) avait donné un récit des âges du monde en œuvres et en jours , dans lequel il inséra un cinquième âge appelé «l’âge des héros», entre l’âge du bronze et l’âge du fer.

    Dans Cosmos d’Hesiod , Jenny Strauss Clay écrit:

    S’appuyant sur le mythe de l’ homme d’ État de Platon , Vernant a également affirmé que le cadre temporel du mythe hésiodique, c’est-à-dire la succession des races, n’est pas linéaire mais cyclique; à la fin de l’âge du fer, qu’il divise en deux, le cycle des races recommence avec un nouvel âge d’or ou, plus vraisemblablement, un nouvel âge des héros, alors que la séquence se renverse… Vernant lui-même propose une solution quand il remarque qu ‘«il n’y a pas en réalité un âge de fer mais deux types d’existence humaine».

    C’est très intéressant. Jean-Pierre Vernant, qui est un spécialiste très acclamé de la culture grecque antique, estime que le cycle des âges se renverse selon le récit d’Hésiode. Non seulement cela, il déclare que l’âge du fer a deux parties, ce qui correspond à l’interprétation de Yukteswar dans laquelle le Kali Yuga descendant est suivi par le Kali Yuga ascendant. On peut supposer, dans ce contexte, que «l’âge des héros», qui a immédiatement suivi l’âge du bronze dans le récit d’Hésiode, doit être le nom attribué par Hésiode au Kali Yuga descendant .

    Les preuves provenant de différentes sources appuient la notion d’un cycle Yuga complet de 24 000 ans, comprenant un cycle ascendant et descendant de 12 000 ans chacun. Cela nous amène à la question des durées relatives des différents Yugas dans le cycle Yuga, et des périodes de transition, qui se produisent au début et à la fin de chaque Yuga, et sont respectivement connues sous le nom de Sandhya (aube) et Sandhyansa (crépuscule). Les valeurs du tableau suivant sont fournies dans les textes sanskrits pour la durée des Yugas et leurs aurores et crépuscules respectifs:

     

     

    Yugas d’égale durée?

    Puisque tant d’inexactitudes se sont glissées dans la doctrine du Cycle Yuga, comme le soulignent Yukteswar et Tilak, nous devons également remettre en question l’exactitude des durées relatives des Yugas mentionnées dans les textes sanskrits. Si le Cycle Yuga est évoqué dans les récits mythiques d’une trentaine de cultures anciennes, comme le décrit Giorgio de Santillana, professeur d’histoire des sciences au MIT, dans le livre Hamlet’s Mill (1969), on trouve très peu d’informations sur les durées relatives des différents âges de ce cycle.

    Dans les quelques récits où les durées des Yugas sont spécifiées, nous constatons que chaque âge du cycle Yuga est de la même durée. Par exemple, les zoroastriens croient que le monde dure 12 000 ans, qui sont divisés en quatre âges égaux de 3 000 ans chacun.

    Une source mexicaine connue sous le nom de Codex Rios (également dénommé Codex 3738 et Codex Vaticanus A) déclare que chaque âge dure respectivement 4 008, 4 010, 4 801 et 5 042 ans pour un total de 17 861 ans. Nous pouvons voir que dans ce cas également la durée de chaque âge est à peu près la même.

    Par conséquent, les durées des quatre Yugas mentionnés dans les textes sanskrits (soit 4 800, 3 600, 2 400 et 1 200 ans) s’écartent de la norme. La durée de chaque Yuga, dans cette séquence, diminue de 1 200 ans par rapport à la précédente. Il s’agit d’une progression arithmétique qui est rarement, voire jamais, trouvée dans les cycles naturels. Se pourrait-il que les durées des Yuga aient été délibérément modifiées à un moment donné dans le passé afin de donner l’impression que la durée de chaque Yuga diminue parallèlement à la diminution de la vertu d’un Yuga à l’autre?

    Voici le fait le plus surprenant: deux des astronomes les plus célèbres de l’Inde ancienne, Aryabhatta et Paulisa, croyaient que le cycle Yuga était composé de Yugas de durée égale ! Au 11ème siècle, le savant médiéval Al-Beruni avait compilé un commentaire complet sur la philosophie, les sciences et la culture indiennes intitulé L’Inde d’Alberuni, dans lequel il mentionne que la doctrine du cycle Yuga était basée sur les dérivations de l’astronome indien Brahmagupta, qui en son tour a dérivé sa connaissance des textes sanskrit Smriti . Il fait une déclaration intéressante à cet égard:

    De plus, Brahmagupta dit que «Aryabhatta considère les quatre yugas comme les quatre parties égales du caturyuga (cycle de Yuga). Ainsi, il diffère de la doctrine du livre Smriti , que je viens de mentionner, et celui qui diffère de nous est un adversaire. 

    Le fait qu’Aryabhatta croyait que les quatre Yugas étaient d’égale durée est extrêmement pertinent! Al-Beruni le réaffirme en termes non équivoques: «Par conséquent, selon Aryabhatta, le Kali Yuga a 3 000 années divya…. chaque deux yugas a 6 000 années divya… chaque trois ans a 9 000 années divya. Pourquoi Aryabhatta souscrirait-il à une telle croyance? At-il eu accès à des sources d’informations qui nous sont désormais perdues?

    Paulisa, un autre astronome célèbre de l’Inde ancienne, a également souscrit à l’idée de Yugas de durée égale. Alberuni dit que, tout en présentant les calculs pour la durée d’un kalpa, «il (Pulisa) n’a pas changé les caturyugas en yugas exacts , mais les a simplement changés en quatrièmes parties, et a multiplié ces quatrièmes parties par le nombre d’années d’un seul. quatrième partie. »

    Ainsi, deux des astronomes les plus respectés de l’Inde ancienne, Aryabhatta et Paulisa, croyaient en un cycle Yuga comprenant 4 Yugas d’une durée égale de 3000 années divines chacun. Cependant, leur opinion a été éclipsée par la vision contradictoire de Brahmagupta. Il s’est insulté contre Aryabhatta et les autres astronomes qui avaient des opinions divergentes et les ont même abusés.

    Al-Beruni dit à propos de Brahmagupta:

    Il est assez grossier pour comparer Aryabhatta à un ver qui, mangeant le bois, y décrit par hasard certains caractères sans les comprendre et sans avoir l’intention de les dessiner. «Cependant, celui qui connaît ces choses à fond, s’oppose à Aryabhatta, Srishena et Vishnucandra comme le lion contre les gazelles. Ils ne sont pas capables de lui laisser voir leurs visages. En des termes aussi offensifs, il attaque Aryabhatta et le maltraite.

    Nous pouvons maintenant comprendre pourquoi l’opinion de Brahmagupta a finalement prévalu sur celle des autres astronomes de son temps, et elle n’avait certainement rien à voir avec la solidité inhérente à sa logique, ou l’authenticité de ses sources.

    Il est temps pour nous d’arrêter de nous opposer à Aryabhatta, Paulisa, Srishena, Vishnucandra et d’autres comme le «lion contre les gazelles», et plutôt prendre conscience de la possibilité très réelle que les Yugas dans le cycle Yuga soient de durée égale, et la séquence 4: 3: 2: 1 des Yugas peut avoir été une manipulation mathématique qui s’est glissée dans la doctrine du cycle Yuga quelque temps avant 500 EC.

    Il est possible que cette manipulation ait été introduite parce que les gens étaient enclins à croire que la durée d’un Yuga devrait diminuer parallèlement à la diminution de la vertu et de la longévité humaine d’un Yuga à l’autre. Une formule claire a été conçue dans laquelle la durée totale des Yugas s’est ajoutée à 12 000 ans. Cependant, il y avait un problème. Si le Kali Yuga dure 1 200 ans, il aurait dû être achevé plusieurs fois, depuis son début proposé en 3102 avant notre ère. Afin de contourner cette situation potentiellement embarrassante, une autre complexité a été introduite. Chaque «année» du cycle Yuga est devenue une «année divine» composée de 360 ​​années humaines. Le cycle Yuga s’est gonflé à 4 320 000 ans (12 000 × 360) et le Kali Yuga est devenu égal à 432 000 ans (1 200 × 360). L’humanité a été condamnée à une durée interminable d’obscurité.

    Cycle Yuga original codé dans le calendrier Saptarshi

    La doctrine originale du cycle Yuga semble avoir été très simple: une durée du cycle Yuga de 12 000 ans, chaque Yuga s’étalant sur 3 000 ans. Ce cycle est codé dans le calendrier Saptarshi qui est utilisé en Inde depuis des milliers d’années. Il a été largement utilisé au cours de la période Maurya au 4 e siècle avant notre ère, et est encore en usage dans certaines régions de l’ Inde.

    Le terme Saptarshi fait référence aux «  Sept Rishis  » ou aux «  Sept Sages  » représentant les sept étoiles de la constellation de la Grande Ourse ( Ursa Major).

    Ils sont considérés comme les rishis éclairés qui apparaissent au début de chaque Yuga pour répandre les lois de la civilisation.

    Le calendrier Saptarshi utilisé en Inde avait un cycle de 2 700 ans; on dit que la constellation de la Grande Ourse reste pendant 100 ans dans chacun des 27 Nakshatras (astérismes lunaires), ce qui représente un cycle de 2700 ans. 14 Le cycle de 2700 ans était également appelé ère Saptarshi ou Saptarshi Yuga.

    La constellation de la Grande Ourse (Ursa Major) est clairement visible dans le ciel nordique tout au long de l’année. Les sept étoiles proéminentes représentent les Sept Sages (Saptarshi), chacun représenté dans le tableau.

     

     

    Si le cycle de 2700 ans du Calendrier Saptarshi représente la durée réelle d’un Yuga, alors les 300 années restantes sur la durée totale du Yuga de 3000 ans représentent automatiquement la «  période de transition  », avant que les qualités du Yuga ultérieur ne se manifestent pleinement.

    La durée totale du Cycle Yuga, hors périodes de transition , est égale à (2700 × 4), soit 10800 ans, la même que la durée de la «Grande Année d’Héraclite» dans la tradition hellénique! Cela indique clairement que la base sous-jacente du cycle des âges mondiaux en Inde et en Grèce était le cycle de Saptarshi de 2 700 ans.

    Il est convenu par les historiens que le calendrier Saptarshi, utilisé pendant la période Maurya dans le 4 e BCE siècle, a commencé en 6676 avant notre ère.

    Dans le livre Traditions of the Seven Rsis , le Dr JE Mitchiner confirme ceci:

    Nous pouvons conclure que l’ancienne version et originale de l’ère des Sept Rsis a commencé avec les sept Rsis à Krttika en 6676 avant notre ère … Cette version a été utilisée dans le nord de l’ Inde depuis au moins le 4 e BCE siècle, comme en témoignent les déclarations de Écrivains grecs et romains; c’était aussi la version utilisée par Vrddha Garga, vers le début de l’ère chrétienne.

    En fait, la chronologie enregistrée des rois indiens remonte à plus de 6676 avant notre ère, comme l’ont documenté les historiens grecs et romains Pline et Arrian. Pline déclare que «Du père Liber [Roman Bacchus ou grec Dionysos] à Alexandre le Grand (mort en 323 avant notre ère), les Indiens comptent 154 rois, et ils comptent (le temps comme) 6 451 ans et 3 mois.»

     

     

    Arrian met 153 rois et 6462 ans entre Dionysos et Sandrokottos (Chandragupta Maurya), à la cour duquel une ambassade grecque a été envoyée en 314 avant notre ère. 17 Les deux indications s’additionnent à une date d’environ 6776 avant notre ère, qui est 100 ans avant le début du calendrier Saptarshi en 6676 avant notre ère.

    Il est évident d’après les récits de Pline et d’Arrien qu’ils ont dû identifier un roi spécifique dans la liste des rois indiens qui correspondait au grec Dionysos ou à Roman Bacchus, et dont le règne s’était terminé vers 6776 avant notre ère. Qui cela aurait pu être? Selon le célèbre savant et orientaliste Sir William Jones, Dionysos ou Bacchus n’était autre que le monarque indien Rama.

    Dans son essai «Sur les dieux de la Grèce, de l’Italie et de l’Inde» (1784), Sir William Jones considère que Rama est le même que le Grec Dionysos, qui aurait conquis l’Inde avec une armée de satyres, commandée par Pan; et Rama était aussi un puissant conquérant, et avait une armée de grands singes ou satyres, commandée par Maruty (Hanuman), fils de Pavan. On trouve également que Rama ressemble, sur d’autres points, au Bacchus indien.

    Sir William Jones souligne également que,

    Les Grecs disent que Meros était une montagne de l’Inde, sur laquelle leur Dionysos est né, et que Meru est aussi une montagne près de la ville de Naishada, ou Nysa, appelée par les géographes grecs Dionysopolis, et universellement célébrée en sanskrit.

    L’identification de Dionysos avec Rama nous offre de nouvelles perspectives. Selon la tradition indienne, Rama a vécu vers la fin du Treta Yuga (âge d’argent), et le Dwapara Yuga (âge du bronze) avait commencé peu après sa disparition. Cela implique que la date de 6676 BCE pour le début du Calendrier Saptarshi, qui est 100 ans après Dionysos, c’est-à-dire Rama, indique le début du Dwapara Yuga dans le cycle descendant.

    Un calendrier Saptarshi ultérieur, toujours en usage en Inde, a commencé à partir de 3076 avant notre ère. Mais, comme le souligne le Dr Subhash Kak, «le nouveau décompte qui remonte à 3076 avant notre ère a été lancé plus tard pour le rapprocher le plus possible du début de l’ère Kali.

    Dans le livre Traditions des Sept Rsis , le Dr Mitchiner dit que le Calendrier Saptarshi pour le Kali Yuga (le Cachemire Laukika Abda ) a commencé lorsque les Saptarshis étaient à Rohini. Puisque les Saptarshis étaient à Rohini en 3676 avant notre ère, cela implique que le cycle de Kali Yuga doit avoir commencé en 3676 avant notre ère.

    À la recherche de la véritable date de fin du Kali Yuga actuel

    Maintenant, c’est là que ça devient intéressant. Une ère Saptarshi a commencé en 6676 avant notre ère, et un autre cycle a commencé exactement 3000 ans plus tard en 3676 avant notre ère. Mais le cycle de Saptarshi dure 2700 ans. Pourquoi l’ère Saptarshi pour le Kali Yuga a-t-elle commencé 3000 ans après le cycle précédent?

    Cela signifie qu’une «période de transition» de 300 ans doit avoir été ajoutée à la fin du cycle précédent! Cela prouve clairement l’hypothèse que le cycle de Saptarshi de 2700 ans, avec une période de transition de 300 ans, était la base calendaire originale du cycle de Yuga.

    Si nous utilisons la date de 6676 avant notre ère comme le début du Dwapara Yuga dans le cycle descendant, et le cycle de Saptarshi de 2700 ans avec une période de transition de 300 ans comme base du cycle de Yuga, alors la chronologie entière du cycle de Yuga est démêlé.

    Cette chronologie du cycle Yuga prend le début de l’âge d’or à 12676 avant notre ère, plus de 14500 ans avant le présent, lorsque la Grande Ourse était dans le Shravana nakshatra (la Grande Ourse progressera de 3 nakshatras dans chaque Yuga en raison de la transition de 300 ans période). Cela s’accorde très bien avec la tradition indienne, puisque le Mahabharata mentionne que, dans l’ancienne tradition, le Shravana nakshatra avait la première place dans le cycle du nakshatra.

     

    Selon cette interprétation, le Kali Yuga se termine en 2025, suivi d’une période de transition de 300 ans menant au Dwapara Yuga ascendant.

     

     

    La chronologie indique également que le Kali Yuga ascendant, qui est l’époque actuelle dans laquelle nous vivons, se terminera en 2025 CE.

    La manifestation complète du prochain Yuga – le Dwapara ascendant – aura lieu en 2325 de notre ère, après une période de transition de 300 ans.

    Le Dwapara Yuga ascendant sera ensuite suivi de deux autres Yugas: le Treta Yuga ascendant et le Satya Yuga ascendant, qui complète le cycle ascendant de 12 000 ans.

    Le texte sanskrit Brahma-vaivarta Purana décrit un dialogue entre le Seigneur Krishna et la déesse Ganges.

    Ici, Krishna dit qu’après 5 000 ans de Kali Yuga, il y aura l’aube d’un nouvel âge d’or qui durera 10 000 ans (Texte 50, 59). Cela peut être immédiatement compris dans le contexte de la chronologie du cycle Yuga décrite ici. Nous terminons maintenant le Kali Yuga, près de 5 700 ans depuis son début en 3676 avant notre ère. Et la fin du Kali Yuga sera suivie de trois autres Yugas s’étalant sur 9 000 ans, avant la fin du cycle ascendant.

    Témoignages archéologiques et historiques

    Selon la doctrine du cycle Yuga, les périodes de transition entre les Yugas sont associées à un effondrement des civilisations et des catastrophes environnementales ( pralaya), qui effacent pratiquement toute trace de toute civilisation humaine.

    La nouvelle civilisation qui émerge dans le nouveau Yuga est guidée par quelques survivants du cataclysme, qui portent avec eux les connaissances techniques et spirituelles de l’époque précédente.

    De nombreuses sources anciennes nous parlent du groupe énigmatique des «Sept Sages» («Saptarshi») qui apparaîtraient au début de chaque Yuga et promulgueraient les arts de la civilisation. Nous les retrouvons dans les mythes du monde entier – en Sumer, en Inde, en Polynésie, en Amérique du Sud et en Amérique du Nord. Ils possédaient une sagesse et un pouvoir infinis, pouvaient voyager sur terre et sur l’eau et prenaient diverses formes à volonté. Le calendrier Saptarshi de l’Inde ancienne semble avoir été basé sur leur apparition périodique au début de chaque Yuga.

    Comme nous le verrons, la chronologie du Cycle Yuga proposée ici est en très forte corrélation avec les événements cataclysmiques majeurs qui impactent périodiquement notre planète, et avec un certain nombre de dates importantes enregistrées dans divers calendriers et écritures anciens.

    La planète a été soumise à des impacts soudains et destructeurs de comètes océaniques en eau profonde pendant la période de transition de 300 ans à la fin du dernier âge d’or, vers 9600 avant notre ère.

     

     

     

    La première période de transition dans le cycle descendant de Yuga de 12 000 ans est la période de 300 ans à la fin de l’âge d’or de 9976 avant notre ère à 9676 avant notre ère. C’est le moment où la dernière période glaciaire a pris fin soudainement; le climat est devenu très chaud assez brutalement et il y a eu une inondation mondiale catastrophique. De nombreuses légendes anciennes font référence à cette période.

    Dans le Timée, Platon nous parle de l’île mythique de l’Atlantide qui a été engloutie par la mer en «un seul jour et nuit de malheur» vers 9600 avant notre ère. Les Zoroastriens croient que le monde a été créé par Ahura Mazda vers 9600 avant notre ère (soit 9 000 ans avant la naissance de leur prophète Zoroastre vers 600 avant notre ère).

    Cet événement a également été enregistré dans les mythes d’inondation de nombreuses cultures anciennes, qui parlent presque uniformément d’énormes murs d’eau qui ont submergé toute la terre jusqu’aux plus hauts sommets des montagnes, avec de fortes pluies, des boules de feu du ciel, un froid intense et de longues périodes. de l’obscurité.

    L’archéologue Bruce Masse du Laboratoire national de Los Alamos au Nouveau-Mexique a examiné un échantillon de 175 mythes sur les inondations provenant de différentes cultures du monde entier et a conclu que les aspects environnementaux décrits dans ces événements, qui sont également cohérents avec les données archéologiques et géophysiques, ne pouvaient avoir que été précipité par un impact destructeur de comète océanique en eau profonde

    Ces dernières années, une équipe de scientifiques internationaux a trouvé des preuves convaincantes que la Terre avait été bombardée par plusieurs fragments d’une comète géante il y a près de 12800 ans, déclenchant le début d’une période de refroidissement rapide et intense appelée Younger Dryas, qui a duré près de 1200 ans jusqu’à vers 9700 avant notre ère.

    La force de l’impact de la comète, combinée à la vague de froid vicieuse qui a suivi, a provoqué l’extinction d’un grand nombre de mégafaune nord-américaine, y compris des mammouths laineux et des paresseux géants, et a mis fin à une civilisation préhistorique appelée la culture Clovis – les premiers habitants humains. du Nouveau Monde.

    Ce graphique de température montre le refroidissement soudain au début des Dryas plus jeunes et un réchauffement tout aussi soudain à la fin des Dryas plus jeunes.

    Le jeune Dryas s’est terminé aussi brusquement qu’il a commencé, pour des raisons mal comprises.

    Les géologues de l’Institut Niels Bohr (NBI) de Copenhague ont étudié les données des carottes de glace du Groenland et ont conclu que l’ère glaciaire s’est terminée exactement en 9703 avant notre ère.

     

     

    Le chercheur Jorgen Peder Steffensen a déclaré que «dans la transition de l’ère glaciaire à notre période interglaciaire chaude actuelle, le changement climatique est si soudain que c’est comme si un bouton était enfoncé.

    La date de 9703 avant notre ère pour le changement climatique soudain s’inscrit dans la période de transition de 300 ans à la fin de l’âge d’or de 9976 avant notre ère à 9676 avant notre ère, et en tant que telle, elle fournit la première validation importante de la chronologie du cycle Yuga identifiée ici.

    Catastrophe de la mer Noire et inondations mondiales

    La période de transition de 300 ans entre le Treta Yuga (âge d’argent) et le Dwapara Yuga (âge du bronze) de 6976 avant notre ère – 6676 avant notre ère coïncide également avec un événement environnemental important – la catastrophe de la mer Noire – récemment datée de 6700 avant notre ère.

    La mer Noire était autrefois un lac d’eau douce. C’est-à-dire jusqu’à ce que la mer Méditerranée, gonflée d’eaux glaciaires fondues, franchisse un barrage naturel et traverse l’étroit détroit du Bosphore, inondant de manière catastrophique la mer Noire. Cela a élevé les niveaux d’eau de la mer Noire de plusieurs centaines de pieds, inondé plus de 60000 miles carrés de terres et élargi considérablement le littoral de la mer Noire (d’environ 30%).

    Cet événement a fondamentalement changé le cours de la civilisation en Europe du Sud-Est et en Anatolie occidentale.

    Les géologues Bill Ryan et Walter Pitman de l’Observatoire de la Terre Lamont-Doherty à New York, qui ont d’abord proposé l’hypothèse de la catastrophe de la mer Noire, sont allés jusqu’à la comparer au déluge de Noah .

    La catastrophe de la mer Noire, avant et après. L’eau de la mer Égée traversait une gorge étroite (détroit du Bosphore) et plongeait dans la mer Noire créant une gigantesque cascade.

    Des inondations majeures similaires ont eu lieu dans de nombreuses régions du monde, lorsque d’énormes lacs glaciaires, gonflés par les eaux de la fonte des glaces, ont brisé leurs barrières de glace et se sont précipités dans les zones environnantes.

    Entre 6900 avant notre ère et 6200 avant notre ère, la calotte glaciaire laurentidienne s’est désintégrée dans la baie d’Hudson et une énorme quantité d’eaux glaciaires du lac intérieur Agassiz / Ojibway s’est déversée dans la mer du Labrador. Il s’agissait peut-être de «la plus grande inondation de la période quaternaire», qui aurait pu à elle seule faire monter le niveau mondial de la mer d’un demi-mètre.

    La période entre 7000 BCE et 6000 BCE a également été caractérisée par les occurrences de tremblements de terre gigantesques en Europe. Dans le nord de la Suède, certains de ces tremblements de terre ont provoqué des «vagues au sol» de 10 mètres de haut, appelées «tsunamis de roche». Il est possible que la chaîne mondiale des événements cataclysmiques au cours de cette période de transition ait été déclenchée par une seule cause sous-jacente, que nous devons encore découvrir.

    La période de transition entre le Dwapara Yuga et le Kali Yuga, de 3976 avant notre ère à 3676 avant notre ère, a été à nouveau marquée par une série de cataclysmes environnementaux, dont la nature exacte reste un mystère.

    Il est appelé en géologie l’ événement de 5,9 kilo et est considéré comme l’un des événements d’aridification les plus intenses de la période de l’Holocène. Il s’est produit vers 3900 avant notre ère, mettant fin au sous-pluvial néolithique et a initié la plus récente dessiccation du désert du Sahara.

    Dans le même temps, entre 4000 avant notre ère et 3500 avant notre ère, les plaines côtières de Sumer ont subi de graves inondations, qui «étaient l’effet local d’un épisode mondial d’inondations rapides à relativement court terme connu sous le nom de transgression flandrienne- qui a eu un impact significatif non seulement le long des rives du Golfe, mais également dans de nombreuses autres régions d’Asie.

    Cet événement catastrophique d’inondation a conduit à la fin de la période Ubaid en Mésopotamie, et a déclenché une migration mondiale vers les vallées fluviales. Peu de temps après, nous trouvons l’émergence des premières colonies de vallée fluviale en Égypte, en Mésopotamie et dans la vallée de l’Indus en 3500 avant notre ère.

    Cette période de transition entre les Yugas est également enregistrée dans les calendriers anciens.

    Pendant très longtemps, il y avait une croyance répandue dans le monde occidental que le monde a été créé en 4004 avant notre ère. Cette date nous vient des généalogies de l’Ancien Testament. La date est juste 28 ans avant la fin du Dwapara et le début de la période de transition.

    L’année de la création du monde dans le calendrier religieux juif est 3761 avant notre ère, qui se situe au milieu de la période de transition.

    Âges sombres grecques et grands bouleversements

    Selon les anciennes traditions, le Kali Yuga descendant, qui a été appelé par Hésiode l ‘«âge des héros», a pris fin avec la bataille menée dans les plaines de Troie. La chronologie du cycle Yuga indique que la période intermédiaire de 300 ans entre le Kali Yuga descendant et ascendant s’étendait de 976 avant notre ère à 676 avant notre ère; et très intéressant, cela chevauche la période de 300 ans de 1100 avant notre ère à 800 avant notre ère, que les historiens appellent l’âge des ténèbres grecs !

    Les historiens considèrent l’âge des ténèbres grecs comme une période de transition entre la fin de l’âge du bronze et le début de l’âge du fer.

    Robert Drews écrit que:

    Dans une période de quarante à cinquante ans à la fin du XIIIe et au début du XIIe siècle (vers 1200 – 1100 avant notre ère), presque toutes les villes importantes du monde méditerranéen oriental ont été détruites , beaucoup d’entre elles ne seront plus jamais occupées .

    Carte de l’effondrement de l’âge du bronze tardif en Méditerranée orientale avec les mouvements de personnes.

    Cette perturbation soudaine et violente a plongé l’ensemble des régions du Proche-Orient, de l’Afrique du Nord, du Caucase, de la mer Égée et des Balkans dans un âge sombre qui a duré trois cents ans et qui a été caractérisé par de grands bouleversements, la famine, la dépopulation et des mouvements massifs de personnes.

    Presque toutes les villes situées entre Pylos et Gaza ont été violemment détruites et beaucoup ont été abandonnées. Les économies de palais de Mycènes et d’Anatolie se sont effondrées et les gens vivaient dans de petites colonies isolées.

    En Égypte, la période allant de 1070 avant notre ère à 664 avant notre ère est connue comme la «troisième période intermédiaire» au cours de laquelle l’Égypte a été envahie par les dirigeants étrangers. Il y eut désintégration politique et sociale et chaos, accompagnés d’une série de sécheresses paralysantes.

    En Inde, la civilisation de la vallée de l’Indus s’est finalement terminée vers 1000 avant notre ère, et après un écart de près de 400 ans, nous voyons l’émergence des 16 grands royaumes (Mahajanapadas) dans les plaines gangétiques vers 600 avant notre ère.

    La catastrophe a également frappé la civilisation olmèque de la Méso-Amérique à cette époque. Une destruction totale de nombreux monuments de San Lorenzo s’est produite vers 950 avant notre ère et le site a été abandonné vers 900 avant notre ère. Les chercheurs pensent que des changements environnementaux drastiques pourraient avoir été responsables de ce changement dans les centres olmèques, certaines rivières importantes changeant de cap.

    Lorsque le Kali Yuga ascendant a commencé en 676 avant notre ère, une grande partie des connaissances, des traditions et des compétences du Kali Yuga descendant ont été oubliées.

    Peut-être en réponse à cette grave crise sociale, un certain nombre de philosophes et de prophètes sont apparus à cette époque, essayant de redécouvrir la sagesse perdue et de la répandre parmi les masses ignorantes. Parmi eux, Bouddha (623 avant notre ère), Thales (624 avant notre ère), Pythagore (570 avant notre ère), Confucius (551 avant notre ère), Zoroastre (600 avant notre ère) et Mahavir Jain (599 avant notre ère).

    Mais une grande partie de la connaissance sacrée a été irrémédiablement perdue. Par exemple, les Vedas originaux étaient composés de 1 180 sakhas (c.-à-d. Branches), dont seulement 7 ou 8 sakhas (moins de 1%) sont maintenant mémorisés. Diverses erreurs, omissions et interpolations se sont également glissées dans les textes anciens au fur et à mesure de leur révision et de leur rédaction. Les erreurs de la doctrine du cycle Yuga en étaient quelques-unes.

    Les chronologies du cycle Yuga proposées ici reflètent fidèlement les catastrophes environnementales mondiales qui accompagnent les périodes de transition entre Yugas.

    Tous les 2700 ans, notre planète est touchée par une série d’événements cataclysmiques pendant une période de quelques centaines d’années, ce qui entraîne un effondrement total ou quasi total des civilisations à travers le monde.

    Dans tous les cas, cependant, la civilisation redémarre immédiatement après la période de destruction. Les quatre périodes de transition clés, depuis la fin de l’âge d’or, sont résumées dans le tableau ci-dessous.

    Il est évident que le cycle Yuga était suivi à l’aide du calendrier Saptarshi. Il était d’une durée de 12 000 ans, composé de quatre Yugas d’une durée égale de 2 700 ans chacun, séparés par des périodes de transition de 300 ans. Le cycle Yuga complet de 24 000 ans était composé d’un cycle Yuga ascendant et descendant, qui se succédaient pour l’éternité comme les cycles du jour et de la nuit.

    Depuis 2700 ans, nous traversons le Kali Yuga ascendant, et ce Yuga touche à sa fin en 2025.

    Les périodes de transition entre Yugas

    Conformément à la convention, la période transitoire de 300 ans après 2025 peut être divisée en deux périodes de 150 ans chacune.

    La première période de 150 ans – le «  Crépuscule de Kali  » – est celle où les structures de Kali Yuga peuvent s’effondrer en raison d’une combinaison de guerres, de catastrophes environnementales et de changements cosmiques, tandis que la deuxième période de 150 ans – «  l’aube de Dwapara  » – C’est le moment où les systèmes et les philosophies spirituellement évolués du Dwapara Yuga peuvent commencer à émerger.

    Il est cependant probable que les deux processus d’effondrement et d’émergence progresseront simultanément tout au long de la période de transition de 300 ans, bien qu’à des intensités différentes.

    La montée actuelle des activités tectoniques et des phénomènes météorologiques extrêmes d’une part, et les signes initiaux de l’éveil d’une conscience plus élevée parmi l’humanité d’autre part, peuvent indiquer que les effets de la période de transition sont déjà en cours.

     

     

    Nous devons être conscients de ces cycles temporels plus longs qui régissent la civilisation humaine et des changements qui se profilent à l’horizon.

    Auteur : Bibhu Dev Misra
    Bibhu Dev Misra est diplômé de l’Indian Institute of Technology et de l’Indian Institute of Management, et travaille comme consultant en technologies de l’information. Il est un chercheur indépendant et un écrivain sur les civilisations anciennes, les mythes, les symboles, la science et la religion.


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    Les humains étaient en Amérique bien avant qu’on nous le dise, et les aborigènes australiens ont un lien génétique avec l’Amazonie qui avait autrefois de grandes villes.

    Malgré les avancées scientifiques, les origines de l’humanité restent couvertes de zones d’ombres. De l’Amazonie encore inexplorée au célèbre site d’Angkor Wat, des lignes de Nazca à Stonehenge, des terrassements américains aux pyramides égyptiennes, Graham Hancock part à la découverte des mystères qui entourent la Préhistoire et les premiers peuplements, accompagné des plus grands spécialistes. Attentif à ne pas laisser les idées préconçues entraver sa recherche, il remet en cause les vérités établies et ouvre la porte à de nouvelles possibilités.

    FRANK JOSEPH se penche sur les nouvelles découvertes du livre de Graham Hancock :

    En tant qu’ancien rédacteur en chef (1993 à 2007) et écrivain permanent pour Ancient American – un magazine américain examinant l’impact de l’Ancien Monde sur le Nouveau Monde avant 1492 – des documents récemment publiés concernant les possibilités précolombiennes me viennent souvent. J’ai été surpris, cependant, de constater que le dernier tome de Graham Hancock, America Before, se compare remarquablement à Before Atlantis (2013), mon propre livre, publié six ans plus tôt, en plus d’un titre.

    Les deux travaux portent sur la théorie du pont terrestre de Béring, les alignements mégalithiques avec la constellation du Cygne, le moai de l’île de Pâques , Gobekli Tepe, les découvertes d’Albert Goodyear, le Stonehenge du Brésil, l’abri de Meadowcroft Rock, les Néandertaliens, la première controverse de Clovis, Pedra Furada, etc. ., etc.  Les autres sujets abordés dans le livre de Graham Hancock – Grand monticule de serpent de l’Ohio, terrassements nord-américains, l’oiseau de Piasu, Cahokia, et al. – ont également été décrits en détail dans mes versions précédentes.

     

     

    America Before se joint également à Before Atlantis pour souligner «un cataclysme mondial survenu vers la fin de l’ère glaciaire il y a environ douze mille huit cents ans. Une comète en désintégration a traversé l’orbite de la Terre et a bombardé notre planète d’un «essaim» de fragments. »

    En 1997, ils ont présenté des preuves indéniables sous la forme d’anneaux de croissance annuels dans les tourbières irlandaises et les forêts de chênes, les dépôts de cendres des carottes de glace du Groenland, les lignes d’impact faites par les vagues colossales le long des rives du Maroc, les changements brusques du niveau des lacs de l’Europe occidentale à Amérique du Sud et petites sphérules vitreuses qui résultent spécifiquement de collisions cométaires soumettant la roche à une chaleur intense. Les brosses périodiques de la Terre avec des bouleversements célestes appartiennent à un modèle d’interface astronomique avec notre planète qui a brusquement mis fin à l’ère glaciaire…

    Enterrée dans le sol du lac Cuitzeo se trouvait une fine couche sombre contenant des preuves sans équivoque d’un grand corps cosmique qui a frappé le centre du Mexique juste au moment où la période du jeune Dryas s’est ouverte avec une telle violence.

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    Des strates de sédiments pratiquement identiques datées de la même période ont déjà été localisées à de nombreux endroits en Amérique du Nord, au Groenland et en Europe occidentale. Selon Science Daily , «les données suggèrent qu’une comète ou un astéroïde – probablement un gros corps auparavant fragmenté, de plus de plusieurs centaines de mètres de diamètre – est entré dans l’atmosphère à un angle relativement peu profond. La chaleur lors de l’impact a brûlé la biomasse, fait fondre les roches de surface et provoqué des perturbations environnementales majeures. »

    Le cratère résultant est devenu le lac Cuitzeo, mesurant douze milles et demi de diamètre, avec une profondeur moyenne de quatre-vingt-dix pieds.

    Le Dr James Kennett, professeur de sciences de la terre à l’Université de Californie (Santa Barbara), a déclaré aux Actes de la National Academy of Sciences: «Ces résultats sont cohérents avec les découvertes précédemment rapportées à travers l’Amérique du Nord sur les changements brusques de l’écosystème, l’extinction de la mégafaune et changement culturel et réduction de la population.

    Ces changements étaient importants, brusques et sans précédent, et avaient été enregistrés et identifiés par les premiers enquêteurs en «temps de crise». Le moment de l’impact a coïncidé avec les changements biotiques et environnementaux les plus extraordinaires au Mexique et en Amérique centrale au cours des quelque vingt mille dernières années, comme d’autres ont été enregistrés dans plusieurs gisements lacustres régionaux. »

    Le fond du lac Cuitzeo est riche en sphérules formées lorsqu’elles se sont heurtées à haute vitesse pendant le chaos tourbillonnant d’un impact extraterrestre. Ils sont rejoints par de nombreux spécimens de lonsdaleite – une configuration identifiable que les nanodiamants supposent lorsqu’ils sont sous la pression de grandes collisions de météorites – et de suie aciniforme , l’aspect acnéique de résidus de poussière résultant de la même cause.

    «Ces matériaux ne se forment que par impact cosmique», a expliqué Kennett, et non par des processus volcaniques ou autres processus terrestres naturels. Dans l’ensemble des données géologiques, la seule autre couche continentale connue avec des pics abondants de lonsdaleite , des sphérules d’impact et de la suie aciniforme se trouve dans la couche limite Crétacé-Paléogène vieille de soixante-cinq millions d’années qui a coïncidé avec l’extinction des dinosaures.

    Preuve d’un établissement humain précoce

    «Des découvertes récentes montrent que l’Amérique du Nord a été peuplée pour la première fois il y a au moins cent trente mille ans», selon Hancock, «plusieurs dizaines de milliers d’années avant l’établissement des établissements humains en Europe et en Asie.»

    Homo sapiens-sapiens? Oui, mais le continent européen a en fait été colonisé cent soixante-dix mille ans plus tôt par les Néandertaliens. En fait, la preuve la plus ancienne de proto-humains en Europe remonte à 1,3 million d’années.

    «Au moins» est un peu un euphémisme pour l’établissement humain dans le Nouveau Monde, car avant l’Atlantide décrit comment le préhistorien Juan Armena Camacho a découvert des instruments lithiques à Hueyatlaco, à soixante-dix miles au sud-est de Mexico. Selon le géologue américain Virginia Steen-McIntyre, «les dates radiométriques utilisant des méthodes identiques à celles utilisées en Afrique pour dater les premiers sites là-bas placent les outils en pierre de Hueyatlaco à un peu plus d’un quart de million d’années».

    Une trentaine d’années avant la découverte de Camacho, un site encore plus ancien a été découvert à un mile au nord de la ville de Frederick dans l’Oklahoma, sur une crête de dix miles de long et d’un demi-mile de large. Dix à vingt-cinq pieds sous la surface de ce dépôt de gravier se trouvent des dizaines d’instruments de pierre bien conçus cimentés en place dans des couches communes avec les os d’animaux disparus fermement datés d’il y a sept cent cinquante mille ans.

    CN Gould, directeur de l’Oklahoma Geological Survey, a déclaré: «Il ne fait aucun doute que les artefacts se trouvent dans la fosse près de la partie basale, au même niveau que les restes fossiles. Un examen de la face intacte de la fosse, immédiatement au-dessus de la position des découvertes, a montré des strates ininterrompues, presque horizontales au-dessus. Dans l’état actuel des choses, il semble que les artefacts soient de la même antiquité que les animaux fossiles.

    Depuis que Gould a publié son rapport en 1929, des enquêtes ultérieures sur la fosse Holoman, comme on l’appelle localement, ont confirmé à plusieurs reprises que les outils en pierre ne sont pas des inclusions ultérieures, mais ont en effet été posés en même temps que les os d’animaux ont été stratifiés, trois quarts d’un il y a des millions d’années.

    Pas plus tard qu’en 2005, l’archéologue Silvia Gonzalez de l’Université John Moore de Liverpool en Angleterre a découvert une ligne d’empreintes humaines datant d’il y a quarante mille ans près de Puebla, au Mexique.

    Les érudits conventionnels, convaincus qu’aucun humain n’avait mis les pieds en Amérique centrale avant il y a douze mille ans, ont cherché à démystifier la période hérétique dont elle avait attribué la preuve en envoyant une équipe de géologues de premier plan dirigée par Paul R. Renne, directeur du Berkeley Geochronology Center de Californie, à la site.

     

     

    Une fois sur place, ils ont effectué des tests d’argon répétés pour étudier l’empreinte magnétique de la roche magmatique imprimée au pied, ainsi que d’autres procédures de pointe. Renne a annoncé leurs résultats dans la revue scientifique Nature , déclarant que la roche contenant les empreintes de pas n’avait pas quarante mille ans après tout. Il était, au contraire, vieux de 1,3 million d’ années.

    Au début du 20 e siècle, l’archéologue Carlos Ameghino (1865 à 1936) dirigea des équipes de fouilleurs le long de la côte argentine au sud de Buenos Aires après avoir détecté des indices sur un site d’habitation précoce à Miramar. En 1914, il découvrit de nombreux outils en pierre cimentés dans les strates de l’ère pliocène. Comme Silvia Gomez l’a vécu au siècle suivant, les critiques d’Ameghino ont chargé un groupe de géologues professionnels de démystifier son affirmation. Au lieu de cela, ils l’ont vérifié, déclarant que les artefacts avaient été déposés il y a entre deux millions et trois millions d’années. Bien que leur analyse ait été publiée par le prestigieux Anales del Museo de Historica Natural de Buenos Aires , elle a depuis été ignorée par les archéologues du monde extérieur.

    Australie-Amazonie: une découverte inattendue

    «Certaines tribus de la jungle amazonienne», déclare le texte de couverture de America Before , «sont étroitement liées aux aborigènes australiens. Comment ce signal ADN extraordinaire, inattendu et extrêmement ancien est-il arrivé en Amazonie? » Cette question élève le livre de Hancock avec de nouvelles découvertes qui menacent de secouer l’establishment scientifique en son cœur en ouvrant un théâtre d’opérations archéologique entièrement nouveau et révolutionnaire.

    La vaste région amazonienne a longtemps été rejetée par les érudits traditionnels comme étant autrefois sous-peuplée et stérile de toutes les cultures autochtones, sauf les plus arriérées, hermétiquement isolées par la nature du monde extérieur.

    Hancock écrit: «en septembre 2015, Pontus Skoglund, son collègue principal, le professeur David Reich du département de génétique de la Harvard Medical School, et d’autres experts de premier plan dans le domaine, ont annoncé dans les pages de Nature qu’ils avaient trouvé de nouvelles preuves en Amérique du Sud. , et en particulier dans la forêt amazonienne, cela a appelé à repenser. « 

    Les chercheurs ont cartographié les similitudes dans les gènes, les mutations et les morceaux d’ADN aléatoires de tribus d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud avec des groupes dans d’autres parties du monde, dont l’Australie.

    Les couleurs plus chaudes indiquent les affinités les plus fortes. Selon le chercheur Skoglund, «un signal statistiquement clair reliant les Amérindiens de la région amazonienne du Brésil aux Australo-Mélanésiens et aux insulaires d’Andaman d’aujourd’hui» a été confirmé. (Crédit graphique: Pontus Skoglund, Harvard Medical School)

    Il cite «les données génomiques de Skoglund pour montrer que certains Amérindiens d’Amazonie descendent en partie d’une population fondatrice amérindienne qui portait une ascendance plus étroitement liée aux Australiens autochtones, aux Néo-Guinéens et aux insulaires d’Andaman qu’aux Eurasiens ou aux Amérindiens actuels», et sont, selon les termes de Hancock, «plus étroitement liés aux Papous mélanésiens et aux aborigènes australiens qu’à toute autre population amérindienne».

    « Nous avons passé beaucoup de temps à essayer de faire disparaître ce résultat », a expliqué Skoglund, « mais il est devenu plus fort. » En fin de compte, «un signal statistiquement clair liant les Amérindiens de la région amazonienne du Brésil aux Australo-Mélanésiens et aux insulaires d’Andaman d’aujourd’hui» a été confirmé.

    «Nous savons également qu’il doit être précolombien», a ajouté le professeur Eske Willerslev du Centre danois de géo-génétique de l’Université de Copenhague.

    D’autres études de Willerslev et de ses collègues «ont trouvé de l’ADN australien déjà présent dans des restes squelettiques de Lagoa Santa, au Brésil, datés d’il y a 10 400 ans, et ont confirmé la suspicion des chercheurs selon laquelle le signal génétique anormal devait avoir atteint l’Amérique du Sud au Pléistocène tardif – c’est-à-dire vers la fin de la dernière période glaciaire, [quand] un groupe de personnes porteuses de gènes australo-mélanésiens se sont installés dans ce qui est maintenant la jungle amazonienne.

    Le titre de l’édition d’octobre / novembre 2010 du magazine Cosmos et la ligne d’accompagnement, augmentée d’une photographie d’un crâne américain (Luczia) présentant une morphologie qui ressemble étroitement aux aborigènes australiens.

    Le plus ancien crâne humain découvert dans les Amériques a des caractéristiques crâniennes similaires à celles des aborigènes australiens.

    Une autre preuve anormale pointant vers une histoire humaine ancienne, mais largement ignorée car elle contredit la théorie scientifique officielle.

    C’est sans aucun doute l’une des révélations les plus frappantes jamais faites dans toute l’histoire de l’archéologie, aussi inexplicable qu’étonnante. Cela ne signifie pas que quelques naufragés australoïdes se sont accidentellement échoués sur les côtes péruviennes, puis ont traversé les redoutables montagnes des Andes et sont descendus dans la jungle totalement différente, mais non moins interdite du Brésil, où ils ont cohabité avec quelques individus indigènes.

    Les preuves ADN signifient plutôt une migration massive d’Australo-Mélanésiens vers l’Amazonie, où ils se sont croisés avec des peuples autochtones à une telle échelle il y a dix siècles et demi, l’empreinte génétique est encore perceptible.

     

     

    Leur voyage transpacifique épique de 12 940 kilomètres vers la côte péruvienne et leur randonnée subséquente de 1 890 kilomètres vers la forêt tropicale brésilienne ont été réalisés avec succès à un moment où l’homme d’Europe occidentale luttait pour survivre au difficile paléolithique supérieur, ou âge de pierre tardif.

    La culture matérielle contemporaine de l’Australie était elle-même beaucoup trop sous-développée pour entreprendre quoi que ce soit s’approchant d’une traversée océanique d’une telle ampleur, non seulement en termes de distances extrêmes concernées, mais surtout en ce qui concerne le grand nombre de personnes participant à l’expédition, ou expéditions.

    Les exigences technologiques maritimes nécessaires à la conduite d’une opération de portée transpacifique excluent à elles seules toute possibilité de responsabilité australoïde.

    De plus, quelle motivation imaginable aurait pu les avoir pour tenter une entreprise aussi gigantesque?

    Hancock se demande si un tiers était impliqué – une culture différente, sans rapport, inconnue, bien que beaucoup plus élevée qui, pour des raisons encore plus obscures, a transporté les Australo-Mélanésiens en Amazonie.

    Des spéculations comme celle-ci commencent à évoquer la Lémurie «  légendaire  », la civilisation pré-polynésienne qui a atteint des sommets antiques de grandeur technologique et de domination impérialiste du royaume du Pacifique, avant de succomber à une catastrophe naturelle suffisamment puissante pour ébranler les fondations mêmes de la Terre elle-même. . Hancock, cependant, évite toute connotation lémurienne.

    L’Amazonie antique émerge des forêts défrichées

    Néanmoins, la contribution la plus précieuse et la plus originale de America Before à notre compréhension approfondie de l’Antiquité est son enquête sur l’Amazonie, une région du monde jusque-là négligée par les chercheurs conventionnels et alternatifs. Ils ont traditionnellement travaillé en supposant que la forêt tropicale du Brésil était toujours beaucoup trop hostile à l’environnement pour que la civilisation s’y soit implantée.

    Hancock cite le point de vue académique «selon lequel l’Amazonie n’aurait pu être habitée que pendant environ 1000 ans, et seulement par de très petits groupes de chasseurs-cueilleurs, car la jungle était« pauvre en ressources ».»

    Parmi les très rares archéologues qui ont personnellement contesté ce paradigme dominant, il y avait Percy Harrison Fawcett. Sa disparition à la recherche de la ville perdue de Z en 1925 semblait confirmer l’opinion générale selon laquelle aucun endroit de ce genre ne pourrait exister dans la jungle brésilienne, et America Before est négligent de ne pas correctement créditer ou même mentionner au passage le colonel britannique, dont le soi -sacrificiel, si l’effort perceptible préfigurait les découvertes mêmes que Hancock décrit dans les chapitres 11 à 17.

    Avec les deux chapitres précédents détaillant le lien génétique de l’Amazonie avec l’Australie de l’ère glaciaire, ils se combinent pour représenter la valeur la plus élevée du livre. Nulle part ailleurs, les lecteurs ne peuvent en apprendre davantage sur la richesse archéologique autrement inconnue du bassin amazonien.

    La conception d’un artiste montre un village Xinguano de l’Amazonie brésilienne tel qu’il aurait pu apparaître avant 1492.

    Un exemple de la façon dont l’Amazonie était autrefois probablement habitée par des centaines de milliers de personnes dans de nombreuses villes, villes et villages bien gérés. Les archéologues ont trouvé des traces de larges routes en bordures et de parcs aménagés.

    Il raconte comment les premiers Européens modernes parcourant le fleuve Amazone de l’Équateur à son estuaire sur la côte atlantique du Brésil ont vu de «grandes villes» qui «scintillaient en blanc» (suggérant une construction en calcaire, comme celle privilégiée par les ingénieurs mayas) pendant leurs 7 000- kilomètre, voyage de dix-sept mois.

    Certains de ces centres urbains étaient «à plus de vingt kilomètres d’un bout à l’autre, à peu près la longueur de Manhattan… d’énormes étendues étaient consacrées à une agriculture productive, et il y avait partout des signes de systèmes politiques et économiques vastes et bien organisés liés à des États centralisés. capables de déployer des armées disciplinées de milliers de personnes.

    Hancock cite le chroniqueur espagnol de l’expédition du milieu du XVIe siècle, le frère dominicain Gaspar de Carvajal, concernant une «villa indigène abandonnée, dans laquelle se trouvaient une grande quantité de porcelaine de différentes marques, des pots et des pichets, de très de plus de vingt-cinq arrobas [cent gallons] et autres petits morceaux tels que des assiettes, des bols et des candélabres de cette porcelaine du meilleur jamais vue dans le monde, car celle de Malaga [centre espagnol de production de poterie] n’est pas son égal, car ce la porcelaine que nous avons trouvée est toute émaillée et embellie de toutes les couleurs, et si brillante, que ces couleurs étonnent, et, plus que cela, les dessins et les peintures qu’elles y font sont si précisément travaillées qu’on se demande comment avec la seule habileté naturelle ils fabriquent et décorent toutes ces choses en les faisant ressembler à des articles romains. La porcelaine indigène d’une telle qualité n’apparaît pas dans l’archéologie brésilienne.

     

     

    La plus grande ville natale que Carvajal et ses compagnons ont vue faisait plus de vingt kilomètres, avec une population de vingt mille habitants ou plus. Leur chef, Machiparo, régnait également sur «de nombreuses colonies et de très grandes, qui, ensemble, contribuent à des fins de combat à cinquante mille hommes…»

    Deux expéditions ultérieures, vingt ans plus tard et 1637-38, respectivement, appuyèrent le rapport de Carvajal. Hancock cite le professeur David Wilkinson de l’UCLA, «une autorité sur les phénomènes à long terme et à grande échelle dans la politique mondiale [qui] a fait une étude spéciale du niveau de civilisation en Amazonie avant le contact européen.

    Sur la base d’un rapport de la fin du 17 e siècle selon lequel l’une des villes natales du Brésil pouvait aligner 60 000 guerriers, Wilkinson a découvert que «les normes civilisationnelles comparatives impliquaient une population urbaine de 300 000 à 360 000 habitants».

    Il poursuit en décrivant «plus de 30 épidémies – variole, rougeole et autres flambées – certaines à grande échelle – en Amérique du Sud du XVIe au XVIIIe siècle.» Avec des conséquences fatales dans le quatre-vingt-dix centile supérieur, les zones métropolitaines amazoniennes se sont littéralement éteintes par le dépeuplement.

    «Une fois laissées désertes», explique Hancock, «les grandes villes et monuments et autres travaux publics de toute hypothétique civilisation amazonienne auraient rapidement été empiétés et bientôt complètement cachés par la jungle…» Ils n’ont commencé à réapparaître qu’en 1977, «lorsque Des terrassements géants et géométriques ont été découverts dans la région de Rio Branco, dans l’État brésilien d’Acre, dans le sud-ouest de l’Amazonie.

    C’était le premier des nombreux sites connexes qui ont été découverts depuis, y compris une paire de carrés parfaits – 200 mètres et 100 mètres de large – reliés par une chaussée de 20 mètres de large et 100 mètres de long.

    Les archéologues estiment que «jusqu’à 1 500 géoglyphes pourraient finalement être trouvés».

    Severino Calazans, la plus grande structure amazonienne du genre étudiée à ce jour, «délimitée par un fossé d’enceinte de douze mètres de large, mesure 920 mètres». Cet emplacement particulier et d’autres conceptions surdimensionnées «ont depuis été révélés par le défrichement massif de la forêt pour l’industrie bovine, devenant ainsi visibles, en particulier du ciel, au cours des 30 dernières années. En effet, la taille énorme des géoglyphes permet de distinguer plus facilement leur forme et leur configuration d’un point de vue aérien, qu’au niveau du sol… »

    Les groupes sont composés principalement de cercles, d’ellipses et de rectangles, suggérant des orientations célestes possibles.

    Hancock écrit que «parce qu’ils offrent une vue dégagée sur l’horizon, de tels emplacements sont aussi très souvent ce que les anciens astronomes recherchaient lorsqu’ils posaient des monuments au sol – alignés, par exemple, sur le coucher du soleil du solstice de juin ou sur le lever du soleil de l’équinoxe de mars. Sans une étude archéo-astronomique à grande échelle des géoglyphes amazoniens », cependant, leur signification céleste présumée reste à prouver.

    Leur ressemblance avec les sites de l’âge de pierre de l’Ancien Monde inspire néanmoins des comparaisons provocantes.

    Hancock raconte comment «le fossé carré de l’enceinte de Severino Calazans partage le plan au sol, le diamètre de base et la cardinalité [orientation vers les quatre directions cardinales] de la grande pyramide d’Égypte.

    Cette époque, en outre, vers 2500 avant JC, coïncide et chevauche avec l’époque mégalithique en Europe, donc une autre curiosité est la façon dont les géoglyphes circulaires de l’Amazonie ressemblent à des henges – les remblais circulaires avec de profonds fossés internes qui entourent les grands cercles de pierre des îles britanniques.

    L’échelle est très similaire et la ressemblance est si évidente que même les archéologues les plus sobres, généralement méfiants à l’égard des comparaisons interculturelles, sont prêts à en faire la remarque.

     

     

    Le site de Severino Calazans, formé par un seul fossé de forme carrée, est coupé et partiellement détruit par la route BR-317. Une ferme a été construite à l’intérieur de la zone délimitée par le fossé. Les peuples autochtones considèrent les sites de terrassement comme sacrés et ne les utilisent pas pour se loger.

    Quelles que soient les critiques peuvent faire de ce livre, ils ne peuvent pas nier que la discussion sur la civilisation perdue de l’Amazonie, ainsi que des révélations sur le patrimoine ahurissants de ses descendants actuels du 9 e millénaire avant notre ère en Australie, ouvre de nouvelles perspectives de l’antiquité, ainsi que de ses pionniers, car ils sont vraiment intrigants.

    Frank Joseph a publié plus de livres (huit) sur la civilisation perdue de l’Atlantide que tout autre écrivain de l’histoire. Ceux-ci et ses vingt autres titres traitant d’archéologie, d’histoire militaire et de métaphysique ont été publiés dans trente-sept éditions étrangères à travers le monde. Il a été rédacteur en chef de Ancient American, un magazine scientifique populaire, depuis sa création en 1993 jusqu’à sa retraite quatorze ans plus tard. Il vit aujourd’hui avec sa femme, Laura, dans la haute vallée du Mississippi aux États-Unis.
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