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    Qu’est-ce qui a été révélé dans les briefings sur les OVNIS classés au Congrès et au Pentagone?

    Le 23 juillet, le New York Times a publié un article décrivant des séances d’information classifiées sur les OVNIS présentées au Congrès américain et au Pentagone par le Dr Eric Davis, un astrophysicien de premier plan, faisant des recherches sur des phénomènes scientifiques «prêts à l’emploi» depuis 1996.

    Les auteurs, Leslie Kean et Ralph Blumenthal, a fourni peu de détails sur les briefings autres que l’affirmation sensationnelle de Davis selon laquelle les OVNIS (alias UAP) impliquaient «des véhicules extraterrestres qui ne sont pas fabriqués sur cette terre».

    L’article du New York Times a été rapidement repris par d’autres grands médias tels que le Huffington Post , Popular Mechanics et des sites d’actualités populaires qui incluaient Yahoo News. Plus récemment, Scientific American c alled pour une reprise des études scientifiques sur les ovnis dans un signe très révélateur que les scientifiques traditionnels reçoivent enfin de l’attention.

    Le sénateur Marco Rubio a été informé de la séance d’information classifiée donnée par le Dr Davis aux membres du personnel du Comité spécial du Sénat sur le renseignement, que Rubio dirige actuellement. Il s’est ensuite arrangé pour que son comité donne un vote bipartisan d’approbation (14-1) pour que la communauté du renseignement rédige un rapport complet sur les ovnis / UAP dans les 180 jours après l’adoption du projet de loi.

     

     

    De manière significative, le directeur du renseignement national a reçu pour instruction que «le rapport doit être soumis sous une forme non classifiée, mais peut inclure une annexe classifiée». Cela signifie que le rapport est destiné à être rendu public.

    Ce qui manque dans l’article du New York Times et dans les reportages ultérieurs, ce sont les détails précis de ce que Davis a informé les membres du Congrès et les responsables du Pentagone. On peut supposer que les briefings impliquaient des informations dérivées d’une transcription/résumé de 15 pages divulgués d’une conversation du 16 octobre 2002 entre le Dr Davis et le vice-amiral Thomas Wilson, qui a pris sa retraite en tant que directeur de la Defense Intelligence Agency, seulement quelques mois avant la réunion.

    En termes simples, le document a révélé les efforts ratés de Wilson en 1997 pour accéder à un programme d’accès spécial non reconnu, dont il avait appris qu’il impliquait une société étudiant un OVNI/vaisseau extraterrestre récupéré.

    Wilson avait espéré que Davis pourrait faire la lumière sur ce qui se passait dans le programme de rétro-ingénierie d’entreprise.

    Bien qu’il soit très probable que des parties du document de 15 pages aient été incluses dans les briefings confidentiels de Davis aux membres du Congrès et aux responsables du Pentagone, nous ne savons pas à quelles conclusions Davis était arrivé sur ce que Wilson avait partagé confidentiellement avec lui. Le document divulgué se concentrait sur les expériences de Wilson, plutôt que sur ce que Davis savait sur le sujet.

    Par conséquent, une interview donnée par Davis le 10 mai 2019, cinq mois avant son briefing aux membres du Congrès, où il a donné son évaluation des ovnis et de la vie extraterrestre devient très significative. L’interview nous donne une très bonne idée de ce que Davis a dit au Congrès et au Pentagone, qui est maintenant devenu une question d’importance nationale en raison de l’ histoire du New York Times et du rapport imminent de la communauté du renseignement destiné à émerger au début de 2021.

    En fait, on peut faire valoir que les briefings de Davis seront utilisés comme point d’appui d’un récit de divulgation d’OVNI / UAP qui émergera au début de 2021 avec la publication du rapport UAP des renseignements non classifiés au Congrès.

    C’est là où il y a beaucoup de choses dans ce que Davis a dit aux membres du personnel du Congrès et aux fonctionnaires du Pentagone qui soulèvent des drapeaux rouges alarmants qu’un « hangout limité » est en cours de préparation sur des programmes classifiés impliquant la récupération et l’ingénierie inverse d’OVNIS écrasés.

    Alors que la vérité sera dite sur l’origine non terrestre de certains OVNI récupérés, la rétro-ingénierie réussie de ces engins par les grandes sociétés aérospatiales sera cachée au public, ainsi que l’existence de visites de la vie extraterrestre.

    Ce qui suit est mon analyse des commentaires de Davis dans l’interview qu’il a menée avec Alejandro Rojas d’Open Minds TV, qui est disponible à la fois sous forme audio sur YouTube et sous forme de transcription approximative d’une traduction automatique. J’ai corrigé la transcription approximative de Rojas en utilisant l’interview originale dans mes extraits ci-dessous, qui incluent les horodatages YouTube [YT].

    En discutant des origines des trois vidéos montrant des engins OVNIS enregistrés par des pilotes de la Marine en 2004 et 2015, et officiellement reconnus comme authentiques par le Département de la Marine, Davis déclare qu’une telle technologie avancée n’a été développée par aucun gouvernement ou nation:

    [ 29:28 YT ] En l’espace de trois à cinq secondes, vous ne parlez pas essentiellement de technologie humaine. Il n’y a ni russe, ni chinois, ni nord-coréen, ni iranien, ni personne d’autre. Non, l’OTAN ou tout autre pays de l’Alliance, ou non-Alliance, les pays non alliés disposent de toute sorte de technologie qui peut fonctionner comme ces Tic Tac se sont avérés performants….

    Les choses que nous voyons ne sont pas façonnées de la manière habituelle que nous, les humains, les façonnerions. Donc vous, vous devez proposer une autre hypothèse et la seule hypothèse est quelque chose d’inconnu. Et puis il y a de bonnes chances qu’il ne s’agisse pas de technologie humaine….

    Davis poursuit en affirmant que les OVNIS fonctionnent sur une nouvelle physique et que l’humanité n’a actuellement pas les moyens de reproduire ceci:

    [ 37:44 YT ] En d’autres termes, ils ne le font pas, les objets ne suivent pas les règles aérodynamiques de l’ingénierie. D’accord, ils ne le font pas. D’accord, et c’est motivé par la physique. Et ils ne disent pas qu’ils enfreignent les lois de la physique. Donc, ne me citez rien qui ait à voir avec pourquoi ils opèrent sur une nouvelle physique, nous avons un événement, ou non, ils enfreignent les lois de la physique, il est possible d’opérer sur la physique que nous n’avons pas. t inventé ou pas encore découvert. C’est possible, on ne sait pas. Donc, de toute façon, le fait est que ces choses fonctionnent là-bas, vous sortez bien de l’enveloppe de nos technologies d’ingénierie et de physique. Et, et je peux vous garantir qu’aucune loi de la physique n’est enfreinte.

    Davis déclare que les OVNIS et leurs capacités de vol avancées ne sont pas quelque chose qui peut être fabriqué étant donné le niveau actuel de développement technologique sur Terre:

     

    [ 38:58 YT ] Et ces choses ne ressemblent à rien de ce que nous pouvons fabriquer sur Terre. Nous n’avons donc pas la technologie de fabrication ou industrielle pour cela. Nous n’avons pas d’ingénierie pour cela. En d’autres termes, les plans et les dessins pour obtenir quelque chose … en forme de morceau de bonbon à la menthe de la taille d’un avion de combat et le faire voler dans les airs de manière stable. Et faites les choses merveilleuses qu’ils ont faites au cours des années rapportées par les pilotes de F-18 associés au Nimitz Carrier Strike Group.

    Davis est alors interrogé sur la véracité des rapports d’accidents d’OVNI et si l’engin a été récupéré pour des études classifiées. Il répond:

    [1:14:32 YT] Oui, il y a eu des plantages. Les super puissances sur Terre ont eu leur part d’accidents. Et ils ont récupéré les véhicules de leurs accidents.

    Davis poursuit en expliquant comment la vérité sur les études classifiées de vaisseaux spatiaux extraterrestres récupérés est cachée à la plupart des fonctionnaires:

    [ 1:15:30 YT ] Alors oui, ils ont cette technologie. Nous aussi. Et c’est un sujet très sensible. Parce que c’est quelque chose que vos auditeurs, vous allez probablement être choqué … probablement une fraction de minute, c’est comme moins de 1 / 1000e ou 1/100 000e des personnes avec l’accès «besoin de savoir», «ont besoin de savoir «L’autorisation et les habilitations de sécurité pour participer à ce type de travail sont les seules à savoir. La grande majorité du reste du gouvernement ne le sait vraiment pas. Et c’est pourquoi une main, comme la main droite ne sait pas ce que fait la main gauche…

    Davis faisait probablement référence au processus par lequel même des hauts responsables militaires comme l’amiral Wilson, avec des autorisations de sécurité de haut niveau et une autorisation de «besoin de savoir», se voyaient toujours refuser l’accès aux études classifiées de vaisseaux spatiaux non terrestres récupérés.

    Davis explique la complexité du système d’habilitation de sécurité pour trouver la vérité sur ce qui se passe dans les programmes d’accès spécial non reconnus:

    [ 1:16:16 YT ] À cause du truc de la cuisinière qui se passe dans les programmes compartimentés… vous ne pouvez tout simplement pas frapper aux portes et dire: Hé, voici qui je suis… J’ai des autorisations, mais pas les bonnes. Je n’ai pas besoin de savoir. Mais je veux savoir, alors pouvez-vous me dire…. On va vous mentir, parce que c’est, c’est la règle. Vous ne voulez rien dire à l’ennemi, quand ce type frappe à votre porte pour vous poser des questions sur les crashs d’OVNIS, cela pourrait être un atout pour l’Union soviétique ou la Fédération de Russie, ou l’APL chinoise, ou les nincompoops en Iran et Corée du Nord et ainsi de suite.

    Donc, vous savez, même si c’est un Américain, vous ne voulez toujours pas répondre à cette question parce que vous ne savez pas qui ils sont. Et vous n’êtes pas censé révéler cette information. Il faut donc beaucoup de suivi et de fouille après avoir travaillé. Et cela peut prendre des années, des années et des années. Et puis vous développez les habilitations de sécurité et l’autorisation pour que vous sachiez cela de manière appropriée… vous permettez d’accéder à ces informations, puis vous découvrez hé, oui, c’est là, c’est vrai.

    D’un autre côté, parfois, l’information sort d’elle-même. Mais cela ne sort pas de la manière dont UFOlogy aime fantasmer à ce sujet. Cela ne concerne que des personnes spécifiques, qui ont des talents ou des compétences spécifiques, qui ont des autorisations de sécurité, qu’elles n’ont peut-être pas besoin de savoir. Mais ils pourraient avoir besoin de savoir si cette exigence leur était présentée.

    À ce stade de son entretien, Davis commente les témoins du Disclosure Project que le Dr Steven Greer s’est arrangé pour manifester en 2001 lors d’une conférence de presse révolutionnaire. Selon Davis, la plupart des témoins de Greer étaient des cinglés et juste du «bruit» lorsqu’il s’agissait d’identifier le signal authentique dans les informations publiques disponibles sur les OVNIS récupérés:

    [ 1:21:05 YT ] Une bonne majorité d’entre eux étaient des cinglés, c’étaient des imposteurs. Mais il y avait un petit nombre d’entre eux qui étaient la vraie affaire. Il en a donc réussi à en ramasser un très petit nombre et à obtenir des informations. Et maintenant, quant à la véracité et la qualité de ces informations. C’est une autre histoire.

    Mais il a obtenu des informations intéressantes… l’information n’était pas… vérifiable. En d’autres termes, une fois que les gens ont examiné la question, ils ont dit, oui, c’est réaliste. Alors qu’une bonne partie, une bonne partie de ses témoins de divulgation. Vous savez, ils avaient des gars du milieu de la route, ils avaient des informations, mais c’était trop violet. C’était juste anecdotique.

    Et puis vous aviez les gars qui étaient de vrais menteurs. Il a un tas de menteurs là-bas… Je ne sais pas combien d’efforts il a dépensé pour contrôler l’une de ces personnes. Et je ne vais pas nommer de qui ils sont. Ce n’est pas important, parce que… le fait qu’ils n’aient pas d’informations réelles signifie que c’est du bruit. Nous avons affaire au signal, nous nous intéressons aux spécialistes du signal et de la science, pas au bruit. Vérifiez le bruit.

    Ensuite, Davis a poursuivi en développant les témoins de Greer qui affirmaient avoir une connaissance de première main des opérations de récupération des accidents:

    [ 1:22:25 YT ] Donc, il a eu un petit signal de personnes qui avaient des informations vérifiables…. Ils se sont avancés, ils lui ont donné des informations qui lui ont été librement communiquées. Mais c’était après coup, on ne s’attendait jamais à ce qu’on puisse y donner suite. Les personnes qui lui ont donné des informations… n’étaient pas du tout directement impliquées dans la récupération de l’accident. En fait, ils étaient soit périphériques, soit ils l’ont entendu de quelqu’un de fiable. Les informations verticales étaient donc de haute qualité, mais ce n’étaient pas des personnes de première main.

    Davis suggère ici, par exemple, que Clifford Stone, un vétéran de l’armée américaine de 22 ans, qui a été interviewé par Greer et a affirmé avoir eu une connaissance de première main de plusieurs ovnis écrasés récupérés par l’armée américaine, était un cinglé et un menteur. Il existe de nombreuses raisons de contester les informations de Davis en ce qui concerne le témoignage de Stone qui a été interviewé avec succès à plusieurs reprises pendant plusieurs décennies et qui a maintenu la même histoire avec cohérence et sincérité.

    Davis ne fournit aucune preuve que Stone ou d’autres témoins de Disclosure Projects mentent ou sont des fous, par conséquent, ses affirmations doivent être considérées comme non vérifiées ou mal informées. C’est un drapeau rouge majeur que le témoignage de Davis peut faire partie d’un «lieu de rencontre limité» qui est dévoilé au public américain et mondial par le New York Times , sans doute l’organe médiatique le plus important de la CIA et du Deep State.

     

    L’aspect le plus significatif de l’interview de Davis est son affirmation selon laquelle les récupérations de crashs d’OVNIS faisaient partie d’un petit programme infructueux qui s’est terminé en 1989, à peu près au moment où le célèbre lanceur d’alerte, Bob Lazar, a émergé avec ses expériences affirmant que quelque chose de très similaire s’était produit pendant son temps. à l’installation S-4 de la zone 51.

    Hangout limité vs divulgation complète du vaisseau spatial extraterrestre de conception inverse

    Les briefings classifiés donnés aux membres du personnel et aux fonctionnaires du Congrès américain et du Pentagone par le Dr Eric Davis sur les rapports d’OVNIS / UAP ont pris une grande importance suite à l’article du 23 juillet dans le New York Times.

    Davis a parlé du manque de succès des scientifiques dans la rétro-ingénierie des «véhicules hors du monde» en raison des difficultés à comprendre la nouvelle physique opérant dans l’engin récupéré. Il convient de noter en particulier sa conviction que le programme de rétro-ingénierie souffrait d’un manque de financement, qu’il a expliqué comme suit:

    [ 1:23:43 YT ] Voici donc ce que vous devez savoir, c’est que le programme de récupération des plantages est un tout petit programme. Ce n’est pas une infrastructure gouvernementale massive et énorme…. C’est un programme très mal financé et il n’a pas, probablement, d’argent depuis un certain temps.

    Le commentaire de Davis s’aligne sur les révélations de Bob Lazar, qui dit qu’il a été recruté à la fin de 1988 pour un programme de rétro-ingénierie dans l’installation éloignée S-4 de la zone 51 sur un engin de soucoupe volante d’origine extraterrestre d’environ 50 pieds de diamètre et 20 pieds de haut.

    Dans Dreamland: An Autobiography (2019), Lazar a écrit sur sa surprise face au manque de personnes travaillant sur le projet hautement classifié, appelé Galileo, par rapport à des projets importants similaires au laboratoire national de Los Alamos:

    Je me suis demandé brièvement pourquoi ce qui me semblait être un groupe de personnes relativement restreint travaillait sur un projet qui avait le genre d’implications que celui-ci avait. Los Alamos et le projet de production de bombes nucléaires impliquaient un nombre énorme de personnes et de ressources… Pour autant que je sache, il y avait des équipes partout dans le pays qui travaillaient sur ce même projet que Barry et moi. Au moins je voulais le croire. Je n’étais pas assez égoïste au point de croire que j’étais l’un des rares à travailler sur quelque chose d’aussi important que celui-ci. [ Dreamland: une autobiographie , p. 58]

    Les commentaires de Davis et Lazar semblent étranges étant donné ce que l’on sait du «budget noir profond» créé par la CIA en 1949 pour financer secrètement des projets de technologie avancée liés aux extraterrestres. Comme je l’ai montré dans mon rapport sur le budget noir de 2004 , le financement disponible pour de tels projets est en fait massif, dépassant plus d’un billion de dollars par an, dépassant largement le budget total du Pentagone selon les estimations couvrant les années 1997-2000.

    De toute évidence, les énormes sommes allaient ailleurs, comme le soupçonnait Lazar, plutôt que le ou les projets d’ingénierie inverse que Davis et Lazar exposaient. Cela soulève le soupçon que le projet de Lazar, ainsi que celui sur lequel l’amiral Thomas Wilson avait tenté d’en savoir plus, étaient en fait des distractions, conçues pour désinformer les chercheurs sur les ovnis et le grand public lorsqu’ils en ont entendu parler.

    Ce qui renforce une telle suspicion, c’est ce que Davis avait à dire à propos de la fin du programme d’ingénierie inverse en 1989, la même année où Lazar est devenu un dénonciateur. Cela rend presque certain que Davis faisait référence au projet Galileo, le programme même auquel Lazar avait participé à l’installation S-4.

    Selon Davis, les scientifiques ont été incapables de communiquer suffisamment pour comprendre la nouvelle physique derrière l’engin en raison des procédures de sécurité de compartimentation qui étaient en place:

    [ 1:24:00 YT ] Je sais que le programme a été arrêté en 1989 faute de progrès dans la rétro-ingénierie de tout ce qu’ils possédaient, de tout le matériel dont ils disposaient, et de temps en temps, tant d’années passent, et ils essaieront à nouveau. Et ils ne réussissent tout simplement pas parce que la compartimentation est un tueur. Les scientifiques ne peuvent pas communiquer avec d’autres scientifiques pour obtenir de l’aide.

    Davis a souligné que les difficultés rencontrées par les scientifiques travaillant dans le programme de récupération des accidents sont courantes dans les projets compartimentés où les scientifiques sont empêchés de partager leurs problèmes avec des experts extérieurs qui sont normalement appelés dans des situations similaires dans le monde open-source:

     

    [ 1:25:44 YT ] Ce n’est donc pas seulement unique au programme de récupération des plantages. Ce type de problème est unique à tous les programmes noirs que le DoD a, le DHS a, et les branches des services militaires les ont, le Département de l’Énergie a leurs propres versions…. Le but d’un programme noir avec un rap de sécurité de programme d’accès spécial, est de limiter les informations et l’exposition à l’information au moins de personnes possible afin de produire la protection de sécurité maximale contre l’espionnage par l’ennemi. Et pour que les limites avec lesquelles vous pouvez travailler, cela soit également clair. Cela limite le nombre d’experts que vous pouvez avoir avec vous.

    Et bon sang, vous savez, si votre petit groupe d’experts est perplexe, vous êtes foutu, parce que vous ne pouvez pas appeler vos copains ou quelqu’un que vous connaissez, ou quelqu’un que vous connaissez, qui est un expert meilleur que vous … un plus grand expert sur le sujet dans une université près de chez vous ou dans une université à travers le pays, vous ne pouvez pas appeler ces gars-là. Vous ne pouvez même pas les lire parce que vous n’êtes pas censé reconnaître certains de ces programmes noirs, la plupart de ces programmes noirs, ils ne sont pas censés être reconnus.

    Pas par hasard, Lazar a fait la même critique sur le manque de progrès dans le projet Galileo:

    Le système dans lequel nous fonctionnions, la façon dont Naval Intelligence (ou toute autre agence a véritablement guidé ces efforts) insistaient sur le cloisonnement et le secret nous empêchaient tous de faire notre travail facilement et de manière productive. Étant donné qu’il y avait un groupe de métallurgie fonctionnant quelque part sur la base où Barry et moi avions travaillé, vous penseriez qu’il serait facile d’obtenir un annuaire de l’entreprise, de composer cette ligne (c’était avant Internet, donc pas de courrier électronique) et demandez la réponse à notre question. Parce que tous nos efforts étaient tellement séparés et que les connaissances n’étaient pas partagées, cela nous était impossible à faire. Je peux citer une demi-douzaine d’exemples ou plus de la façon dont ce système inefficace a joué contre nos efforts pour être productifs, mais celui-là devrait suffire. ( Dreamland: une autobiographie , p. 66).

    Par conséquent, la déclaration de Davis de tels programmes se terminant en 1989 en raison d’un manque de succès est conforme aux révélations de Lazar.

    Dans l’autobiographie de Lazar , il a écrit sur ce qu’il avait lu sur les échecs de tentatives antérieures d’ingénierie inverse dans un document d’information qui lui avait été remis à son arrivée à S-4 pour son premier jour de travail en janvier 1989:

    Bien qu’aucune date n’ait été donnée, il était clair pour moi que le projet n’en était pas à ses débuts. Certaines références ont été faites à des tentatives passées pour comprendre la nature du système de puissance et de propulsion. Plusieurs tentatives avaient été faites pour reproduire le type de système qui leur était venu, mais sans succès…. J’ai ensuite lu qu’une précédente tentative de démontage de l’un des systèmes de propulsion existants avait provoqué une explosion accidentelle. ( Dreamland: une autobiographie , p. 44)

    Depuis que Lazar est apparu publiquement, il a révélé dans de multiples entretiens comment le projet de rétro-ingénierie souffrait du financement, avait relativement peu de scientifiques qui y travaillaient et comment les scientifiques étaient incapables de faire des percées en raison de contraintes de sécurité étouffantes.

    Les révélations de Lazar correspondent étroitement à ce que Davis a révélé dans son interview et à ce qu’il a ensuite partagé avec les membres du personnel du Congrès et les responsables du Pentagone à propos de l’échec du projet d’ingénierie inverse.

    Une fois de plus, les observations de Davis et de Lazar semblent en contradiction avec ce que d’autres ont prétendu sur la base du témoignage direct de témoins oculaires de la soucoupe volante de l’ingénierie inverse.

    Par exemple, l’un des témoins du projet de divulgation du Dr Greer, Mark McCandlish, a déclaré qu’en 1988, la même année, Lazar a été recruté pour travailler au S-4, un spectacle aérien hautement classifié comportant trois soucoupes volantes à rétro-ingénierie a eu lieu à la base aérienne d’Edwards. Les trois engins ont été aperçus par un illustrateur de brevets, Brad Sorenson, qui dit que l’engin avait été construit par une grande entreprise aérospatiale sans nom, qui hébergeait l’une des installations de développement d’entreprise à Edward’s Plant 42.

    En tant qu’illustrateurs de brevets professionnels, Sorenson et McCandlish sont des experts dans la réplication des conceptions de vaisseaux aérospatiaux avancés. McCandlish a fourni l’illustration suivante de ce que Sorenson avait vu.

    Droits d’auteur Mark McCandlish 2014

    Le témoignage de McCandlish est cohérent avec le témoignage d’autres témoins crédibles, dont j’ai longuement discuté dans le programme spatial secret de l’ US Air Force (2019). Ils ont évoqué le succès des efforts de rétro-ingénierie concernant les soucoupes volantes et d’autres technologies aérospatiales de pointe remontant aux années 1950.

    Ben Rich, l’ancien directeur de Lockheed Martin’s Skunkworks, a fait référence à plusieurs reprises au fait que Lockheed avait la technologie «pour ramener ET à la maison». À la fin des conférences publiques, il terminerait avec une diapositive montrant une soucoupe volante et disant: «Nous avons maintenant la technologie pour ramener ET à la maison».

    Son commentaire a toujours fait rire son public qui était fan du film, ET, mais en privé, Rich a partagé avec ses collègues ce qui se passait vraiment dans les programmes classifiés dans lesquels Skunkworks était impliqué:

    Nous avons déjà les moyens de voyager parmi les étoiles, mais ces technologies sont enfermées dans des projets noirs et il faudrait un acte de Dieu pour les sortir au profit de l’humanité…. Tout ce que vous pouvez imaginer, nous savons déjà comment le faire.

    Si l’on accepte les informations fournies par McCandlish, Rich et d’autres selon lesquelles les engins en forme de soucoupe volante ont été rétro-conçus, construits et déployés avec succès, où cela nous laisse-t-il avec les témoignages fournis par Eric Davis et Bob Lazar?

    Il est tout à fait exagéré de croire l’affirmation de Davis, qui est corroborée par les expériences de Lazar, selon laquelle les efforts de rétro-ingénierie se sont effectivement arrêtés en 1989 en raison des revers, des difficultés posées par le processus de compartimentation et du manque de financement. Le prétendu manque de financement est manifestement absurde étant donné l’énorme «budget noir» qui est généré chaque année par la CIA et acheminé vers le Pentagone pour des programmes d’accès spécial non reconnus.

    Une conclusion plus raisonnable est que de tels efforts d’ingénierie inverse ont été menés ailleurs que dans l’installation S-4 de la zone 51 – comme Lazar lui-même le soupçonnait. Contrairement au S-4, qui était davantage un musée conçu pour tromper les visiteurs en leur faisant croire que des soucoupes volantes avaient été récupérées mais étaient beaucoup trop avancées pour réussir à procéder à la rétro-ingénierie, la véritable rétro-ingénierie était secrètement menée ailleurs.

    Des installations aérospatiales d’entreprise bien financées telles que la division Skunkworks de Lockheed située à l’usine 42, Edwards Air Force Base, sont parmi les candidats les plus probables, en particulier compte tenu de ce que McCandlish, Rich et d’autres ont partagé.

    Plus récemment, des témoignages ont montré que le Tic Tac aperçu par les pilotes de la Marine en 2004, avait été construit à l’usine 42 pour le compte de l’US Air Force.

    Le fait que le New York Times ait couvert de manière proéminente le briefing de Davis auprès des membres du personnel du Congrès et des responsables du Pentagone, à peu près au même moment où le témoignage de Lazar est de plus en plus exposé au public en raison d’un nouveau film et d’un livre autobiographique, soulève des questions légitimes sur la question de savoir si tout cela en fait partie. d’un hangout limité.

     

    Davis et Lazar semblent être des pions involontaires dans une opération psychologique sophistiquée qui remonte au moins à 1989, qui a commencé avec Lazar. Le but du psyop semble être très transparent. 

    Tromper le public sur la rétro-ingénierie réussie des soucoupes volantes et d’autres technologies aérospatiales antigravité dans les installations des entreprises, et détourner le public en se concentrant sur les installations gérées par le gouvernement telles que le S-4, qui ont échoué dans leurs efforts d’ingénierie inverse.

    J’explorerai le scénario ci-dessus en profondeur dans mon prochain webinaire du 22 août,

     » Full Disclosure vs. Limited Hangouts « , qui explorera également les efforts contemporains pour dépeindre les OVNIS comme des menaces extraterrestres.- Michael Salla

    Le but ultime est de préparer le terrain pour un événement extraterrestre sous faux drapeau –

    soit une invasion extraterrestre comme l’ont supposé beaucoup dans le passé; ou la possibilité encore plus intrigante, étant donné une série croissante de catastrophes mondiales prévues sur le point de se produire, d’un «sauvetage extraterrestre»!

    ÉCRIT PAR LE DR MICHAEL SALLA

     


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  • Les documents Takenouchi et les recherches de James Churchward

    Sur les traces de MU

    A propos de la gouvernance mondiale :

    Les découvertes de James Churward nous donnent des précisions sur le sujet :

     

     

    « … Beaucoup d’étudiants de l’Antiquité ont remarqué que les rois et les empereurs des temps anciens adoptaient le titre de « Fils du Soleil », mais ils ont toujours été incapables d’en donner la raison.

    Pour trouver cette raison, nous devons remonter au premier empire de la terre, l’Empire du Soleil, la Mère-Patrie de l’homme, pour lequel un emblème royal fut inventé. »

    Le Blason de MU

    L’emblème royal de Mu, Empire du Soleil, n’était pas un simple dessin conçu par hasard, car chaque trait avait une signification profonde, comme l’indiquent le déchiffrage et sa traduction.

    A) La forme de l’écusson représente la lettre stylisée M, une des lettres de l’alphabet hiératique (conforme aux normes d’une tradition liturgique) de Mu. C’était sa lettre symbolique et, en fait, c’était même son nom, car cette lettre se prononçait Mu (ou Mou).

    B) Ce hiéroglyphe est la figurine centrale de l’écusson et se lit « U-lou-om-il », ce qui veut dire : Empire de.

    C) Le cercle autour de ce hiéroglyphe est une image du soleil, si bien qu’ensemble ils se lisent : l’Empire du Soleil. La forme de l’écusson étant un préfixe, cela fait : Mu.

    D) Le soleil a huit rayons, symbolisant les huit points cardinaux, signifiant ainsi que la terre entière est dominée par Mu.

    E) Le trait encerclant les rayons est un symbole de l’univers, l’univers étant appliqué à l’homme, c’est-à-dire la terre. Les rayons de l’influence de Mu, donc touchant toute l’humanité. Ainsi le blason royal de Mu nous révèle que toute l’humanité de la terre était sous sa domination. Mu était maîtresse de tout le globe.

    Les traditions nous apprennent que lorsque Mu devint un empire, le chef hiératique fut choisi pour devenir roi, ou empereur. Le chef hiératique représentait la Divinité, dans l’enseignement religieux. Le soleil, appelé Ra, était le symbole collectif, et le plus haut, de la Divinité et, par conséquent, le symbole du Roi des Rois.

    Choisi pour être roi, le chef hiératique prit le titre de Ra, symbole à la fois du soleil et du monarque.

    Il y ajouta le nom de la terre de Mu, si bien que le roi s’appelait Ra Mu, on Soleil Mu. Alors un nouveau nom fut conféré à la terre, qui s’appela l’Empire du Soleil.

    La fondation de l’Empire du Soleil remonte à plus de 35 000 ans. Apparemment, tandis que les diverses colonies de la Mère-patrie s’étendaient et devenaient assez puissantes pour se gouverner elles-mêmes, elles étaient transformées en empires ou en royaumes, mais toujours sous la domination de la Mère-patrie, si bien que toute la terre n’était qu’une seule famille avec un seul chef.

    Quand la colonie devenait un empire ou royaume, le premier souverain appartenait à la famille royale de Mu, ou peut-être, dans certain cas, était-il élu. Quoi qu’il en soit, le nouveau roi prenait le titre de Fils du Soleil, ce qui ne signifiait pas qu’il était le fils de l’astre céleste mais le fils du royaume de la dynastie du Soleil de l’Empire du Soleil, ou fils de Mu. L’emblème du nouveau roi demeurait le soleil, mais afin de montrer qu’il était sujet de la Mère-patrie, ou n’en était qu’une partie, l’écusson ne portait qu’un soleil levant apparaissant à l’horizon avec des rayons au-dessus…

    Le soleil levant est aujourd’hui l’emblème de diverses nations, parmi lesquelles le Japon, la Perse et certaines républiques d’Amériques Centrale… » ( Mu, le continent perdu. Ed. J’ai Lu)

    Comment être en phase avec la nouvelle conscience ?

    A propos de la nouvelle civilisation et de la théocratie :

    Au cours du développement de la civilisation matérialiste, différents modes de fonctionnement de la société ont été élaborés.

    Un de ces systèmes est la démocratie.

    Au cours de la prochaine époque, la société humaine évoluera vers un système théocratique.

     

     

    La théocratie, comme nous l’avons vu, a été le premier mode de fonctionnement des hommes. Dans les temps très anciens, les hommes vivaient en parfaite harmonie avec la nature et, de ce fait, ils bénéficiaient de tous ses bienfaits.

    On peut dire qu’à cette époque très reculée les êtres humains étaient « mi-homme, mi-dieux ».

    En réalité, ce que nous appelons préhistoire correspond à l’histoire très récente de la terre.

    La nature des êtres qui vivaient il y a longtemps sur terre était bien différente de celle des hommes d’aujourd’hui. Leur sens spirituel était très développé. En terme moderne, on peut dire qu’ils étaient des « super-hommes » et ils communiquaient très facilement avec la force créatrice.
    On peut dire que Dieu et l’homme ne faisaient réellement qu’un en ces temps reculés.

    Cependant, le plan divin (cosmique) avait prévu que sur terre, les hommes devaient développer provisoirement une civilisation matérialiste afin d’acquérir et de développer certaines aptitudes leur permettant de se réaliser pleinement en vue de créer le véritable paradis sur terre.

    A un certain moment de leur évolution, les hommes ont commencé à édifier une civilisation matérialiste et cela jusqu’à nos jours.

    Dès – 8000 avant J.C le contact avec le monde des lois spirituelles et le domaine de l’esprit ont été rompus.

    Cette rupture a conduit l’expérimentation de la matière et le développement de la civilisation matérialiste actuelle.

    Au fur et à mesure de ce développement, les hommes ont acquis toutes sortes d’aptitudes liées au mental et au physique en développant, entre autres, des techniques et en utilisant la matière et les ressources naturelles de la terre. Leurs dons spirituels se sont peu à peu amoindris. Ainsi, ceux-ci ont donné de plus en plus d’importance aux théories issues de leur intelligence. Le système démocratique est une de ces manifestations.

    On peut dire que les « fleurs du vice » se sont épanouies et ont prospéré jusqu’à aujourd’hui.

    Les êtres humains ont fait de très grands progrès dans de nombreux domaines.

    Cependant, ils sont descendus de niveau spirituel pour devenir des êtres « mi-hommes, mi-animaux ».

    Les théories actuelles insistent sur le fait que plus on remonte dans le temps, plus les êtres humains étaient sauvages. Ce qui est faux.

    Tant que l’on se basera sur la croyance en une évolution progressive de primates vers l’être humain, il sera impossible de résoudre le mystère des vestiges qui sont disséminés à travers le monde sur les cinq continents. Mais si on accepte l’idée qu’une ancienne civilisation technologiquement avancée ait pu exister dans la très haute antiquité, alors ces reliques nous livreront bien des secrets et des messages.

    La théorie de Darwin et le concept d’évolution progressive ne tiennent pas car elle ne prend pas en compte les centaines de catastrophes terrestres qui ont eu lieu sur terre.

    Dans l’avenir, les êtres humains vont mettre le progrès au service d’une nouvelle civilisation qui donnera la première place aux valeurs spirituelles.

    Ainsi naitra une société hautement civilisée résultant du croisement de deux civilisations : la civilisation spirituelle du commencement et la civilisation matérialiste actuelle.

    Il naîtra alors un gouvernement mondial avec un « leader », un Sumera Mikoto des temps modernes, chargé d’être le lien, l’intermédiaire entre « Ciel et Terre » ou « Dieu et hommes ».

    Dans l’intervalle, les frontières et les clivages vont peu à peu disparaitre ainsi que les différents systèmes de gouvernements. Les courants religieux vont également perdre de leur puissance pour laisser place à un enseignement universel transcendant les barrières de religions, de races, de nationalités, etc.

    La paix mondiale attendue depuis si longtemps s’installera progressivement et les différents conflits liés aux intérêts égocentriques des nations disparaitront. En effet, de nos jours, ce sont les pays les plus puissants qui dictent leur loi aux pays les plus faibles. Ceci a engendré bien des tragédies et des drames. Les mots tels que « nation » n’auront plus de sens.

    Cependant, dans le plan cosmique, il n’est pas prévu de créer un monde uniforme mais, bien au contraire, de croiser les coutumes et les traditions de chaque pays.

    De même que pour créer un joli tapis, on utilise et on tresse des fils de couleurs différentes.

    Aujourd’hui, la mondialisation se développe de plus en plus et cette situation est conforme avec le plan actuel de notre niveau de conscience.

    Elle a pour but de réaffirmer que :

    L’origine de la terre est unique, l’origine des nations est unique, l’origine des hommes est unique, l’origine des religions est unique, l’origine des langues est unique.

    Cependant, si au nom de l’unification du monde, chaque race perd sa nature caractéristique, alors l’humanité sera semblable à un tissu uni.

    Chaque nation a le devoir de protéger ses propres traditions et coutumes.

    L’Asie, l’Amérique, l’Afrique, l’Europe et l’Océanie avec tous les pays qui s’y rattachent doivent s’appuyer sur de solides fondations et travailler main dans la main à l’édification de la prochaine civilisation.

    Certains pensent encore que les nations et les peuples appartiennent à des mondes différents, mais il n’en est rien car sur le plan physique l’assise sur laquelle repose la terre est unique. Les différents pays du monde sont tous reliés par le fond marin.

    De plus, sur le plan invisible, il existe un réseau d’intercommunications spirituelles qui les relie entre eux.

     

     

    Les hommes, quelles que soit leur origine, sont en réalité frères et sœurs.

    La civilisation sacrée des hommes des cinq couleurs sera celle où les différentes civilisations existantes aujourd’hui se mêlent et s’enrichissent mutuellement, un brocard plein de couleurs et de contrastes.

    Dans le futur gouvernement mondial le service spirituel et le service politique seront unis. Le rôle du représentant de « Dieu sur terre » sera de guider la grande famille terrestre pour qu’elle vive en parfaite harmonie avec la nature.

    Les ressources naturelles seront alors partagées équitablement, celles-ci n’étant pas la propriété de l’homme puisqu’il n’en est pas le créateur. L’homme n’est que le locataire de la terre.

    Le service d’éducation et le service politique seront également liés.

    Ainsi, le « leader mondial » et le peuple ne feront qu’un. On peut dire également que dans ce type de société « rien n’appartient à personne et tout appartient à tous ».

    Au cours de l’histoire, la religion et l’état ont souvent été liés à des fins politiques et mercantiles.

    Par exemple, l’empire romain avait très bien compris que la foi en Jésus Christ des habitants originaires d’Europe était un très bon moyen de gouverner sans utiliser la force militaire et de réaliser ainsi l’unité autour de Rome. Autre exemple : l’Europe a colonisé de nombreuses contrées du monde en utilisant le christianisme.

    En outre, autrefois, les listes d’état civil des régions étaient consignées dans les registres des églises, des temples, etc. Aussi, lorsqu’une guerre survenait, on consultait ces listes pour le recrutement des soldats.

    La nouvelle civilisation peut être comparée à une naissance.

    Avant l’arrivée d’un nouveau-né, il y a les douleurs provoquées par l’accouchement. Nous sommes entrés à présent dans cette phase.

    Aussi, devons-nous nous préparer, jour après jour, à surmonter cette période de grandes turbulences. Cette préparation doit se faire sur le plan spirituel, mental et physique.

    En ce qui concerne le réseau d’interconnexions spirituelles qui unifie les hommes, nous pouvons constater que des pyramides existent dans le monde entier et que beaucoup d’entre elles ont une architecture semblable.

    Ce fait démontre également qu’une civilisation mondiale a réellement existé.

    Ces édifices communiquent entre eux et forment ce réseau d’intercommunication.

    Il semblerait d’ailleurs que des scientifiques ont enregistré de puissants rayonnements lumineux, émanant du sommet des pyramides en direction de l’espace.

    Qu’y a-t-il de commun entre les temples du Yucatan au Mexique, les pyramides de la vallée Xianyang en Chine, et les pyramides situées dans les Andes ?

    Ces anciens lieux de culte, construits à peu près à la même époque que les pyramides égyptiennes de Gizeh, développent depuis peu une activité sans précédent.

    Nombreux sont ceux qui, dans le ciel, ont vu d’intenses colonnes de lumière émaner des pyramides.

    Des photos et des vidéos confirment aussi ce phénomène extraordinaire. Il faut noter que les documents qui ont été présentés aux spécialistes n’ont pas été truqués et il n’y aucun doute sur le fait qu’il n’y a pas eu de falsification.

    Un rayon qui émane de la pyramide Maya de Kukulkan, au Mexique envoyant une pure colonne d’une incroyable énergie.

    La pyramide Aztèque de la Lune, au Mexique envoie un vortex d’énergie depuis son sommet. Ce phénomène a été vu et filmé par des témoins.

    En utilisant le kotodama (puissance spirituelle des sons) nous pouvons comprendre un certain nombre de points.

    PI = SOLEIL – YANG
    RA = Arriver
    MI = DIEU
    DE = DO = AUTEL

    Les pyramides qui ont été établies sur les cinq continents représentent donc : Un autel où la puissance YANG (DIEU) arrive.

    Evolution de la Conscience humaine

     

    Caractéristiques de la société actuelle :

    Les hommes d’aujourd’hui recherchent à tout prix la prospérité matérielle et cela, bien souvent, au détriment de l’élévation de conscience.

    Cependant, un nombre croissant d’individus prend aujourd’hui conscience que l’abondance matérielle ne conduit pas au bonheur (c’est-à-dire à un état de complète satisfaction et de plénitude). De plus en plus de personnes recherchent un certain épanouissement sur le plan psychique ou émotionnel. De nombreux stages sont organisés pour répondre à cette demande et bien des ouvrages sont consacrés à ce sujet.

    L’évolution de la conscience humaine comporte trois grandes étapes et peut se comparer à trois états :

    1. La dépendance qui correspond au bébé (époque de la soumission aux Sumara Mikoto – philosophie d’allégeance au Ciel).
    2. L’indépendance qui correspond à l’adolescence (civilisation actuelle).
    3. L’interdépendance qui correspond à l’adulte (prochaine civilisation – Epoque du renouveau de la théocratie).

    1ère étape : Bébé = dépendance

    Le jeune enfant est totalement dépendant de ses parents. Il a la capacité d’enregistrer un grand nombre d’informations. C’est le stade de l’apprentissage au contact de ses proches. C’est une période très importante, où, bercé par l’amour de ses parents, il va acquérir les bases qui lui seront nécessaires pour son avenir. C’est un être totalement égocentrique. A ce stade, il va acquérir des attitudes morales sans avoir la capacité d’analyse et de synthèse. C’est également la période où l’enfant adule, admire, fabule.

    2ème étape : Adolescence = indépendance

    L’enfant, ayant grandi, a le désir de voler de ses propres ailes. Alors débute une certaine socialisation avec des sentiments de justice et d’égalité. Durant cette période, il a un début d’analyse, de comparaisons, de raisonnement et de synthèse. De plus, il commence à s’interroger sur son devenir.

     

     

    3ème étape : Adulte = interdépendance

    Au cours de cette tranche d’âge, le jugement s’affine et le caractère se forme. On est capable d’analyser et de faire une synthèse. On vérifie ce que l’on a appris plus jeune par l’expérimentation et on en tire des conclusions. On acquiert une certaine sagesse qui découle de nos expériences. C’est le stade de la maturité.

    On prend conscience que tous les hommes sont interdépendants et qu’ils ont besoin les uns des autres.

    L’âme humaine, au cours de ses réincarnations successives, passe également par ces trois étapes.

    Nous allons approfondir ce que nous entendons par interdépendance à travers un exemple très simple.

    Il nous suffit de réfléchir un instant au nombre de personnes qui ont contribué à la fabrication d’une simple baguette de pain. A partir du moment où le blé a été semé et jusqu’à la vente du pain à la boulangerie, il y a des milliers de personnes qui ont participé au fait que nous puissions manger du pain. On peut dire, sans se tromper, qu’il y a une chaine de savoir-faire, de compétences, de sueur, d’amour, etc. qui s’est mise en place pour que l’on mange du pain.

    Le Moi est donc égal au Tout et le Tout est égale au Moi. Sans le Tout, le Moi n’existe pas et sans le Moi, le Tout n’existe pas, non plus.

    Ainsi, nous dépendons tous les uns des autres. Chaque Moi participe au bonheur de Tous !

    En tant que Moi, nous représentons un maillon de cette chaine.

    Nous pourrions développer ce sujet en donnant des milliers et des milliers d’exemples pour l’illustrer.

    Ce qui est important de comprendre, c’est que chacun, à son niveau, en tant qu’individualité, participe au bonheur de toute une communauté. En réalité, les êtres humains devraient se vénérer entre eux et se respecter les uns les autres.

    Dans nos sociétés modernes, l’individualité, au contraire, pourrait se traduire par le célèbre dicton : « Chacun pour soi et Dieu pour tous » alors que nous devrions utiliser la célèbre formule des mousquetaires : « Un pour tous et tous pour un » !

    Sans cette prise de conscience que nous dépendons les uns des autres et que notre bonheur ne peut se construire au détriment du malheur des autres, il sera difficile d’établir une civilisation paradisiaque.

    C’est le véritable enjeu du 21ème siècle.

    En réalité, nous devons maintenant nous considérer en tant que « bras et jambes » des kamis et de la Terre. Nous devons, pour cela, développer en nous ce que l’on pourrait appeler « l’état d’esprit de rendre service ».

    L’être humain dispose de très peu de temps pour changer son comportement.

    De l’état mental correspondant au bébé (dépendance), en passant par celui de l’adolescent (indépendance), il doit parvenir à l’état de l’adulte (interdépendance).

    Nous n’avons pas le choix : nous sommes destinés à vivre la fin « d’un monde », à changer notre mode de pensée, notre façon de vivre et à inventer « demain ».

    Nous sommes parvenus au stade où l’homme, qui détient beaucoup de connaissances nouvelles, doit choisir entre son évolution ou sa destruction.

    Il semblerait que, parmi la jeune génération, un certain nombre d’enfants (qui seront adultes demain) contestent notre civilisation, ses valeurs, ses modes de vie et de fonctionnement, ainsi que l’autoroute de la pensée unique, largement propagée par les médias. Ils sont des millions, reliés entre eux par une même nécessité de vivre autrement. Toute pensée finit par se matérialiser.

    Les êtres humains sont amenés à remettre en cause notre culture actuelle qui prône l’individualisme et fait totalement abstraction de tout principe supérieur.

    Nous devons, dans le même temps, cesser de faire confiance à certains « pseudo-experts » qui régissent nos libertés et nos droits fondamentaux et faire le tri entre la véritable information et le lavage de cerveau auquel nous sommes soumis à longueur de journée. Il est temps de retrouver le bon sens et de coopérer avec la nature et les autres pour que s’établisse sur terre une civilisation paradisiaque.

    Le commandant Jacques-Yves Cousteau s’exprime en ces termes :

    « Nous sommes le cancer de la Terre. La population de l’espèce humaine est responsable d’une pollution ingérable par la nature. Cela est tellement évident qu’on se demande de quel aveuglement sont frappés nos dirigeants. La nature, dans sa grande sagesse, essaie de nous aider ; les cas de stérilité sans cause apparente s’accroissent – comme d’ailleurs s’accroissent les orphelins et les enfants abandonnés ou maltraités !

    Mais la « science » veille et essaie de trouver la parade, comme toujours d’ailleurs pour permettre aux humains de continuer à vivre dans la plus totale inconscience et irresponsabilité ! »

    A propos du calendrier maya :

    Certains ont prétendu que le calendrier Maya s’arrêterait le 21 décembre 2012, et qu’il évoque la fin du monde. Contrairement à ce que l’on peut entendre sur le sujet, les Mayas ne parlent pas de fin du monde.

    Aucune stèle, aucune inscription n’évoque la fin de l’humanité, ou même la fin de notre civilisation. Les stèles parlent d’aboutissement, ou plutôt d’une conjonction des manifestations de 9 forces cosmiques.

    Aucune inscription Maya n’évoque la fin de l’humanité, ou même la fin de notre civilisation.

    Le calendrier des Mayas est unique en son genre. Il est complètement différent des calendriers classiques, qui eux, sont basés entièrement sur des calculs de cycles astronomiques.

    Le calendrier Maya, quant à lui, est basé sur les changements d’énergie cosmiques qui influencent notre conscience.

    Il est impossible de prédire l’éclosion d’une fleur à une date et à une heure précise, un an à l’avance. On sait qu’elle s’épanouira au printemps, on en est presque sûr. Mais tout dépendra des nutriments de sa terre, des perturbations météorologiques et de millions d’autres phénomènes complètements inconnus et indétectables, mais qui pourtant accumulés, à un instant précis, provoqueront instantanément et inévitablement, l’ouverture de ses pétales.

    De la même façon, nul ne peut connaître le moment exact de l’éclosion du nouveau monde qui arrive.

    Le calendrier Maya nous donne, en quelque sorte, les conditions qui provoqueront les changements, qui comme la fleur, suivent un plan ou un cycle précis et inévitable.

    La pyramide Maya est une métaphore des 9 ondes d’énergie venant du cosmos que les Mayas nommaient Inframonde dans le calendrier.

    Ses 9 étages correspondent aux 9 niveaux de conscience qui se construisent étape par étape, en s’appuyant sur les bénéfices du précédent.

    Chaque Inframonde est divisé en 13 étapes ou changements, correspondant à 7 jours et 6 nuits.

    Le passage d’un Inframonde à l’autre occasionne une accélération sur l’inframonde suivante, qui est en fait 20 fois plus rapide que le précédent, pour aboutir à son objectif.

    D’après la légende, un homme ou un dieu nommé Itzamma serait venu vers les Mayas et leurs aurait transmis les connaissances du langage, de l’écriture, des mathématiques et du calendrier.

    En fait, le calendrier Maya n’a jamais été un calendrier, c’est un plan ou plutôt un planning de construction pour atteindre un objectif de création, mais pas de destruction.

    En décortiquant les différentes étapes de ce gigantesque projet, on se rend compte, selon certains chercheurs, qu’il s’agit d’une structure très élaborée de constitution de la conscience universelle.

    La plupart des grands évènements de l’apprentissage de l’humanité sont inscrits sur ce planning, y compris celui qui se passe de nos jours. Alors pas de panique !

    Nous faisons probablement partie d’un grand projet parfaitement maîtrisé dont l’objectif n’est certainement pas le chaos, mais l’épanouissement et l’illumination du commencement d’une nouvelle conscience.

    D’après certaines études, le calendrier Maya comporte neuf niveaux d’évolution, selon la stèle de Coba.

    Chaque niveau de création, est constitué de 7 jours et de 6 nuits. L’évolution est très lente au début. Le 1er niveau représente 1,26 milliard d’année. Le 2ème niveau a duré 63,4 millions d’années. Il est donc 20 fois plus rapide.

    Nos parents prenaient leur temps. Les conflits de génération sont issus de ces niveaux de conscience différents.

    A notre époque, il y a autant de changements qui se produisent en 360 jours qu’auparavant en 20 ans.

    Chacun des différents niveaux d’évolution de conscience, est divisée en parties égales de 13 périodes de temps.

    1- Le cycle cellulaire

    Le premier niveau a commencé il y a 16,4 milliards d’années avec le big-bang. Une forme particulière de conscience s’est alors développée.
    Cette conscience de base est appelée : ACTION / REACTION et concerne toutes les lois physiques.

    2- Le cycle des mammifères

    Puis, il y a 820 millions d’années, un autre cycle a commencé en suivant le même processus. Le type de conscience qui s’est alors développé à cette époque est appelé : STIMULI / REPONSE. La différence avec le cycle précédent, c’est qu’il y a une conscience plus élevée. Tous ces degrés de conscience se sont solidifiées étape par étape jusqu’à l’apparition de la vie et la création de la première cellule vivante.

    La vie animée a commencé alors à s’organiser en niveaux de plus en plus élevés, pour finalement atteindre le stade de mammifère, y a 63,4millions d’années,

     

     

    Cela a commencé avec des organismes multicellulaires. Ensuite, les plantes sont apparues, puis les mollusques, puis les poissons, puis les insectes, puis les oiseaux.

    Cette création n’est certainement pas due au hasard et a des concours de circonstance. On peut même dire que toute la création évolue au sein d’un programme à la fois minutieux et merveilleux.

    3- Le cycle familial

    Le cycle suivant a débuté il y a 41 millions d’années, ce qui correspond à l’apparition des singes. Ils ont développé un nouveau type de conscience appelé : STIMULI / REPONSE INDIVIDUELLE.

    La vie des mammifères, s’est alors organisée en nids, en essaims, en troupeau, etc.

    4- Le cycle tribal

    Au cours de ce cycle, une nouvelle conscience apparaît. C’est la conscience familiale.

    La différence entre un troupeau et une famille est la reconnaissance des individus : c’est une grande différence. Ce cycle de 41 millions d’années nous a permis de développer des moyens toujours plus élaborés de communiquer.

    Il a débuté il y a 2 millions d’années. C’est à cette période qu’est apparu le premier australopithèque.

    L’étape suivante a permis une nouvelle forme de conscience appelée : SIMILARITE / DIFFERENCE.

     

     

    Durant des millions d’années l’évolution du mental s’est faite petit à petit.

    Lors du cycle des mammifères, le cerveau s’est développé, lors du cycle familial, son volume a augmenté. Lors du cycle tribal, le mental s’est développé de façon à voir les similarités et les différences et de prendre des décisions au lieu de juste réagir.

    Apparition de l’homme, à cette époque ? On peut se poser la question (faire référence à la Genèse, de la Bible).

    5- Le cycle culturel (régional)

    Il y a 120000 ans le langage est apparu au tout début de ce cycle. Au cours de celui-ci l’évolution a développé une nouvelle conscience appelée :

    « LA RAISON » et donc le raisonnement à propos ce qui nous entoure. Au cycle tribal, nous étions capables de prendre des décisions. Au cycle culturel, nous avons commencé à émettre des raisonnements. Il y a 8000 ans l’agriculture est apparue, alors l’humanité s’est plus ou moins sédentarisée, abandonnant le nomadisme.

    6- Le cycle national

    En 3155 avant J.C, le cycle national a démarré. Il est appelé aussi « le grand cycle » par les Mayas.

    Cette période est celle de l’apprentissage de l’écriture. C’est en fait en 3110 av. JC que l’écriture est apparue. L’évolution est de plus en plus rapide.

    Ce cycle a duré 5000 ans et a permis de développer une nouvelle conscience, appelée : « LA LOI ». Actuellement, il existe près de 16 millions de lois et vous vous devez de les connaître toutes car nul n’est censé ignorer la loi !

    7- Le cycle planétaire

    La conscience planétaire a débuté en 1775 de notre ère et a coïncidé avec le début de l’ère industrielle. Ce cycle a concerné la production et la consolidation du « POUVOIR ».

    On peut en conclure que l’organisation mondiale du commerce, par exemple, est simplement la manifestation de la conscience destinée à consolider le pouvoir. Les personnes qui détiennent autant de pouvoirs ignorent sans doute qu’elles travaillent au nom de l’évolution de la conscience. Elles ne pensent certainement qu’à s’enrichir de plus en plus. Mais en fait, elles œuvrent dans le sens de l’élévation de la conscience.

    8- La conscience galactique

    La conscience galactique qui a démarrée le 5 janvier 1999 concerne le développement et la diffusion de la conscience de « l’ETHIQUE ».

    9- La conscience universelle

    Le dernier cycle de ce calendrier Maya est appelé : Le cycle de la conscience universelle. Il a commencé le 10 février 2011.

    Tout ce cycle de conscience est consacré à la « CO-CREATION CONSCIENTE ».

    Nous sommes alors associés à la création en tant que créateurs disposant de plus en plus de connaissances.

    Les possibilités actuelles sont de plus en plus nombreuses. Un seul exemple : appeler les Etats-Unis depuis son portable est possible maintenant. Cela ne l’était pas avant 1999.

    Les évènements vont donc s’accélérer de plus en plus et les possibilités seront de plus en plus nombreuses. Nous nous devons de participer consciemment à cet élan.

    De grands évènements apparaissent le 5ème jour et la 5ème nuit dans chaque cycle.

    Prenons quelques exemples :
    – Lors du 1er cycle (cellulaire), le système solaire s’est développé.
    – Lors du 2ème (mammifère) la vie est sortie de l’eau.
    – Lors du 3ème cycle (familial), la vision en couleur est apparue.
    – Lors du 4ème cycle (tribal), le feu a été découvert.
    – Lors du 5ème cycle, (culturel), l’art est apparu.
    – Lors du 6ème cycle (national), le message de Jésus s’est répandu dans le monde.
    – Lors du 7ème cycle (planétaire), de 1913 à 1932, la théorie E=MC2 est apparue.

    Durant les nuits, toutes sortes de choses se passent.

    Par exemple, il y a 250 millions d’années, il y a eu des bombardements de météorites pendant le 1er cycle. Les déchets de la formation du système solaire ont heurté les planètes et les lunes. Notre lune en a toujours les cicatrices.

    Lors de la 5ème nuit des mammifères, 97% de la vie a été anéantie, pendant la période du jurassique.

    Il y a 680000 ans, (5ème nuit du cycle tribal), l’âge de glace est apparu mais nous avions alors découvert le feu ! Ainsi l’évolution de la conscience nous fournit tous les outils dont nous avions besoin pour passer à l’étape suivante.

    L’inquiétude et la peur quant à notre futur n’a pas lieu d’être, car la conscience a un plan, et nous en faisons partie.

    Lors du 5ème jour du cycle national, le message du Christ s’est répandu, si bouleversant que 415 ans plus tard, Rome chutait. Rome n’a pas péri par l’Epée, elle a chuté parce que la conscience a changé. C’est en train de se produire sous nos yeux, la conscience change même au sein de nos gouvernements.

    Nous sommes actuellement dans le cycle de la co-création consciente et des changements s’opèrent tous les 20 jours ! A chaque étape s’installe une nouvelle conscience selon un plan qui se déroule de plus en plus rapidement. Nous avons l’impression que le temps s’accélère. En réalité, c’est la création qui s’accélère. Il y a plus d’événements dans un laps de temps plus court. L’évolution de la conscience se poursuit depuis16 milliard d’années.

    Revenons en 1775 date à laquelle la révolution industrielle a débuté et a permis une ère de production et de consolidation du pouvoir.

    Depuis 200 ans, la conscience planétaire a été presque exclusivement concentrée sur le POUVOIR et de nos jours, nous en sommes arrivés au stade où de plus en plus de pouvoirs sont concentrés dans les mains d’une petite minorité.

    Nous sommes déjà entrés dans une nouvelle ère qui va permettre l’émergence d’une nouvelle conscience. Cette nouvelle étape a pour but de promouvoir l’éthique.

    J’ouvre une petite parenthèse :

    L’ETHIQUE et la MORALE sont, à mon sens, deux notions complètement différentes.

    L’ETHIQUE est la manifestation de ce que nous avons au fond de notre cœur. C’est en quelque sorte notre capacité innée de discernement.

    La MORALE, quant à elle, est une manifestation de la RAISON. La MORALE est un ensemble de règles qui sont acceptées par toute une communauté.
    Elle peut donc varier selon les cultures.

    La MORALE vient de l’EXTERIEUR et nous recouvre comme un vêtement.

    L’ETHIQUE vient de l’INTERIEUR de notre cœur et se répand dans le monde à l’image du soleil qui répand sa chaleur à tous, sans exception, sans aucune discrimination, sans barrière ni frontière.

    La morale peut justifier, par exemple, l’intervention d’une puissance étrangère dans un pays pour l’occuper. Les exemples en géopolitique sont nombreux pour illustrer cette thèse. Ces actes sont justifiés par la MORALE (par exemple : Les USA qui combattent l’axe du mal). Cette attitude n’est donc pas basée sur l’ETHIQUE.

    La morale peut donc être liée au pouvoir.

    Nous sommes entrés dans le cycle de l’ETHIQUE et chacun peut constater que ce terme (et ce qu’il sous-entend) est de plus en plus employé.

    L’opinion publique souhaite ardemment que l’ETHIQUE soit un critère indispensable au sein de toutes les institutions.

    L’ETHIQUE est alors synonyme d’INTEGRITE.

    Dans notre relation avec les autres, cette ETHIQUE prend de plus en plus de place, ainsi que dans le cadre religieux, politique, économique, scientifique, etc.

    On peut dire que la conscience du POUVOIR va laisser progressivement la place à la conscience de l’ETHIQUE.

    Cela entraîne d’ailleurs toutes sortes de scandales et de remise en question.

    Le dernier en date : La liaison de notre président avec une actrice. Ceux-ci touchent tous les domaines, y compris celui du couple et de la famille. C’est l’époque où les masques tombent !

    La nouvelle conscience de l’ETHIQUE a progressivement pris le pas sur la conscience du POUVOIR. Cependant, il faut bien comprendre que l’étape du POUVOIR était indispensable pour que l’étape de l’ETHIQUE puisse voir le jour.

    La MORALE, n’a été là que pour consolider les pouvoirs en place. La plupart des règles de morale ont été enseignées par les religions.

    Religion et Etat ont longtemps été intimement liés et les intérêts des deux entités étaient communs.

    Auparavant, la conscience du POUVOIR avait pris le pas sur la conscience de la LOI, étape indispensable pour que le POUVOIR s’installe.

    L’ETHIQUE a pu se mettre en place car il y a eu auparavant l’installation du POUVOIR.

    En effet, lorsque l’on vit uniquement préoccupé par sa survie, l’ETHIQUE est un élément secondaire.

    On pense avant tout à POSSEDER et à installer un cadre sécurisé.

    Le cycle qui est en train de prendre le pas sur l’ETHIQUE est le cycle de la CONSCIENCE UNIVERSELLE.

    Durant le cycle de la CO-CREATION CONSCIENTE la DUALITE n’aura plus court. YANG et YIN vont se croiser harmonieusement.

    Quand l’humanité aura intégrer pleinement ce stade d’évolution, la boucle sera bouclée et les intentions de la FORCE CREATRICE auront été atteintes.

    L’homme fera alors UN avec SON CREATEUR (la force créatrice) et réalisera l’UNITE avec son environnement (son entourage).

    L’HARMONIE issue de cette unité, de cette synthèse, de cette non-dualité ouvrira les portes d’un monde paradisiaque.

    Nous sommes actuellement à une époque charnière entre l’ETHIQUE et la CO-CREATION consciente.

    Plus on remonte dans le temps et plus l’évolution était lente. Les changements prenaient énormément de temps pour s’opérer.

    De nos jours, l’évolution est très rapide et nous devons sans cesse faire preuve d’ADAPTABILITE.

    Tout évolue à la vitesse grand « V ».

    Ce n’est pas le temps qui s’accélère, mais le rythme imposé par la création.

    Il y a plus de changements dans un laps de temps très réduit. Cet état de fait a donné naissance à ce que nous avons appelé : le stress.

    Je veux ouvrir encore une parenthèse :

    La « Flicker Frency » (fréquence de papillonnement lumineux) nous permet de mieux comprendre le phénomène du stress.

    En simplifiant au maximum mon propos, on peut dire que le mental est un outil que la conscience utilise pour distinguer les similarités et les différences entre les choses. C’est un outil au même titre qu’un marteau ou une scie.

    Un charpentier ne s’identifie pas à son marteau ou à sa scie.

    Certaines personnes pensent que leur mental et eux ne font qu’un.

    Nous ne sommes pas notre mental ni nos pensées, bien qu’influencés par eux.

    La « Flicker Frency » (fréquence de papillonnement lumineux) nous permet de mieux comprendre le phénomène du stress et dépasser la seule notion de « surmenage ». Il est probable que La « Flicker Frency » soit utilisée entre autre par la publicité subliminale.

    Pour faire bref, le cerveau fonctionne en série d’images.

    La « Flicker Frency » est de 24 images par seconde. C’est la vitesse maximale du fonctionnement de notre cerveau. Celui-ci a donc une vitesse limitée.

    En d’autres termes, le cerveau émet 24 images par seconde.

    Il fonctionne par « bande » de 24 images/seconde pour identifier les similarités et les différences. On peut dire que c’est l’essentiel de son boulot. Et cela pour pouvoir prendre des décisions essentielles à notre survie. Le cerveau a donc un mécanisme d’auto-préservation.

    La conscience, quant à elle, n’est pas limitée comme le fonctionnement de notre cerveau.

    Quand le cerveau comprend qu’il ne peut faire un travail, quand il comprend qu’il ne peut prendre de bonnes décisions, il y a un système intégré de coupure qui intervient par étape.

    La première étape est la manifestation du stress. Le cerveau a besoin de certitudes et lorsque celles-ci lui font défaut, il envoie un signal au corps qu’on a baptisé « le stress ».

    Nous nous sommes donc adaptés au stress.

    Dans notre société, le stress est une façon de nous évaluer. « Combien de stress pouvons-nous supporter » pour tel ou tel travail, pour tel ou tel poste ? Plus vous pouvez supporter de stress et plus vous gravissez les échelons. On appelle cela « l’ascension sociale » !

    On admet, à présent que 80% des disfonctionnements du corps humain sont liés au stress. Le stress est devenu une épidémie et beaucoup en sont victimes.

    Certains ordinateurs peuvent traiter 4 à 5 milliards d’informations à la seconde. Le cerveau ne peut en prendre que 24 à la seconde !

    Dans le passé, les hommes ont fabriqués la plupart des objets dont ils avaient besoin pour vivre. Ils possédaient un certain savoir qui se transmettait de génération en génération et ont tout fait de leurs propres mains.

    De nos jours, comment faire pour fabriquer une simple ampoule électrique ?

    Il y a de plus en plus d’informations que le cerveau a du mal à traiter car cela dépasse ses capacités. Sa principale caractéristique étant, je le rappelle de détecter les similarités ou les différences. Actuellement chacun peut se rendre compte qu’on est soumis à une accélération qui touche tous les domaines. Nous avons du mal à suivre ce rythme. On a l’impression que le temps s’accélère !

    De plus en plus de personnes ne parviennent plus à supporter le stress. Le mental entre alors en lutte ou il « décroche » en prenant la fuite. A ce moment-là le système logique est suspendu. Il n’est plus question alors de similarités et de différences. Il y a juste un apport d’adrénaline dans notre système.

    Le corps est alors censé fuir ou lutter pour s’en sortir. Et cela pour préserver l’idée de survie.

    Cette pensée « fuir ou s’évader » engendre la fureur, qui engendre la violence présente partout dans nos sociétés modernes.

    Que se passe-t-il alors si nous ne pouvons ni fuir, ni nous évader ?

    En cédant à la violence à travers les propos et les actes, on peut finir en prison.

    Si nous ne pouvons ni fuir ni nous évader, il reste une dernière solution pour notre mental : l’inconscience. Par exemple, lorsque nous sommes attaqués par une bête féroce, pour nous en sortir, nous simulons la mort.

    Nous faisons « le mort ».

    Beaucoup d’animaux utilisent cette technique lorsqu’ils sont attaqués par un prédateur. C’est une tactique qu’ils mettent en œuvre avec leur état d’esprit de survie.

    Chez l’homme, c’est aussi la mère de toutes les dépendances et le père de tous les suicides.

    L’inconscience est pour nous une façon de refuser les expériences de la vie.

    Toutes les addictions sont donc des méthodes pour rester inconscient, et pour nous permettre de rester à l’abri pour rester en vie. Drogues, alcool, travail, jeux, shopping, séries télévisées, ne sont que des instruments utilisés par « certains » pour nous maintenir dans l’inconscience.

    Il y a de plus en plus d’individus, et de plus en plus d’adolescents, qui se réfugient dans ces palliatifs.

    Il y a 400 ans, les hommes avaient le temps de réfléchir sur toutes sortes de sujets. Il y avait alors de nombreux « 24 par seconde » pour réfléchir.

    De nos jours, les choses ont changées, tout s’accélère, telle une course folle. C’est la raison pour laquelle, des pans entiers de « certitudes » volent en éclats. Les repères du passé ont disparu. Notre cerveau n’est pas adapté à cette vitesse.

    Essayer de maintenir l’activité du cerveau en vitesse accélérée, c’est comme faire suivre à un âne, une voiture qui roule à 120 km/h !

    Ce phénomène va encore s’accélérer dans le futur.

    Sachons donc faire la distinction entre le mental et nous. Nous ne sommes pas notre mental.

    Pour ne pas être détruit par le stress, et conserver en toutes circonstances une attitude « zen », il va nous falloir puiser dans notre sub-conscient (capable de gérer des milliards d’informations à la seconde) l’intuition nécessaire pour surmonter cette période d’accélération et d’apport de milliards d’informations que le cerveau n’est pas à même de comprendre et de gérer.

    Nous entrons à présent dans une nouvelle ère qui s’accompagnera de restrictions dans tous les domaines. Il ne s’agit aucunement d’une crise passagère, mais plutôt d’une crise systémique destinée à nous permettre d’atteindre le niveau supérieur dans l’échelle de l’évolution des consciences.

    Pour être en phase avec l’évolution de la conscience universelle, il devient indispensable de cultiver la modération et le respect des bonnes manières qui constituent un véritable entraînement spirituel.

    Dans un grand nombre de domaines, et depuis assez longtemps déjà, l’être humain vivant au sein des sociétés dites « civilisées » a perdu tout sens de la modération.

    Faire preuve de modération signifie le respect de certaines limites.

    Ceci s’applique aussi bien dans notre manière d’utiliser les biens matériels que dans nos relations avec les autres.

    Même à l’égard d’une personne qui nous est très proche, nous ne devons pas oublier la nécessité de respecter certaines limites, sans quoi cette relation pourrait être irrémédiablement compromise.

    Cette modération n’apparait que lorsque nous observons les vertus de la bienséance et de la courtoisie.

    C’est en cultivant des relations saines avec les autres que nous pourrons devenir une personne modérée.

    En tant que pionnier de la nouvelle civilisation, nous devons faire le bien autour de nous et choisir nos amis parmi des gens ayant un mode de vie sain.

     

     

    Pour illustrer cet état d’esprit je livre à notre réflexion cette histoire, dont l’origine m’est inconnue mais que je partage avec plaisir. Elle illustre parfaitement le message que je souhaite faire passer aujourd’hui :

    « Deux hommes, tous deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital.

    Un des deux fût autorisé à s’asseoir dans son lit, pendant une heure, chaque après-midi pour aider à drainer le liquide de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre.
    L’autre devait passer ses journées couché sur le dos.
    Les hommes parlaient pendant des heures.

    Ils parlaient de leurs épouses, de leurs familles, de leurs maisons, de leurs emplois, de leurs vacances, etc.
    Chaque après-midi, quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s’asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyait par-delà la fenêtre.
    L’homme dans l’autre lit commença à vivre pour ces périodes d’une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

    La fenêtre donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l’eau tandis que les enfants jouaient avec leurs bateaux. Les amoureux marchaient bras dessus bras dessous au milieu des fleurs de toutes les couleurs.
    Comme l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails exquis, l’homme de l’autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait ces scènes pittoresques.

    Un après-midi, l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui défilait. Bien que l’autre homme ne puisse pas entendre l’orchestre, il pouvait l’imaginer dans son esprit.
    Les jours, les semaines et les mois s’écoulèrent ainsi …
    Un matin, l’infirmière arriva pour apporter de l’eau et trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

    Elle était attristée et appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps.
    L’autre homme demanda alors s’il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre.
    L’infirmière était heureuse de faire le changement et elle le laissa seul.
    Lentement, péniblement, il se redressa sur un coude pour jeter son premier regard sur le monde extérieur.

    Il s’étira pour se tourner lentement vers la fenêtre en dehors du lit. Il fit face à un mur !
    L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé avait décrit ces choses merveilleuses au-dehors.
    L’infirmière lui répondit que l’homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
    Elle ajouta : Peut-être a-t-il voulu vous encourager ! »

    La morale de cette histoire pourrait être celle-ci :

    Nous éprouvons un énorme bonheur à rendre les autres heureux, en dépit de nos propres souffrances.

    Texte de OMNIS trouvé sur Epanews


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    Document en 2 épisodes!

    le 1er épisode !

    IlArizona Wilder : révélations d'une Déesse-Mère (vostfr) - Mystères-Magie-Fictions (eklablog.net)

    Ils relatent toute l’histoire de l’univers sur une échelle de temps qui va de la création jusqu’aux débuts de l’histoire écrite.

    C’est une œuvre absolument astronomique. On ne trouve nulle part au monde ce genre de chronique et il n’existe aucun document ancien de la portée des Documents Takenouchi sur cette échelle de temps.

     

     

    Hormis les documents écrits, il existe aussi des trésors sacrés et des objets qui sont conservés au temple du Koso Kotai Jingu.

    Après étude de ces documents et de ces archives, on en arrive à la conclusion que l’on se trompe lourdement en pensant que l’actuelle civilisation représente le stade le plus avancé de l’histoire humaine. En réalité notre civilisation est en train de se décomposer.

    Le sphinx d’Egypte (tête d’homme et corps de bête) est sans doute là pour nous indiquer cet état de fait.

    L’humanité a dû faire face à de nombreux cataclysmes et à une multitude de phénomènes catastrophiques qui sont appelés Tenpenchii, dans ces documents. Ils affirment aussi que les civilisations légendaires de Mu et de l’Atlantide ont réellement existé.

    Ces civilisations ont été détruites par des catastrophes naturelles.

    Il y a déjà eu plus d’une centaine de Tenpenchii, clairement rapportés dans les Documents Takenouchi.

    Le déluge de la Bible et l’histoire de Noé, qui font partit de l’histoire récente de la terre, font état de ces grands bouleversements.

    A cette époque, la terre n’était plus habitable. Elle s’était transformée en mer de boue et l’Arche de Noé était en fait un vaisseau spatial destiné à mettre à l’abri certains habitants ainsi que certaines espèces.

    L’humanité a dû faire face à de nombreux cataclysmes et à une multitude de phénomènes catastrophiques qui sont appelés Tenpenchii, dans ces documents. Ils affirment aussi que les civilisations légendaires de Mu et de l’Atlantide ont réellement existé.

    Ces civilisations ont été détruites par des catastrophes naturelles.

    Il y a déjà eu plus d’une centaine de Tenpenchii, clairement rapportés dans les Documents Takenouchi.

    Le déluge de la Bible et l’histoire de Noé, qui font partit de l’histoire récente de la terre, font état de ces grands bouleversements.

    A cette époque, la terre n’était plus habitable. Elle s’était transformée en mer de boue et l’Arche de Noé était en fait un vaisseau spatial destiné à mettre à l’abri certains habitants ainsi que certaines espèces.

    Les Documents Takenouchi contiennent non seulement la véritable histoire de l’humanité, du Japon, mais aussi de la lignée des Sumera-Mikoto.

    Qui sont ces Sumera-Mikoto ? Avant de répondre à cette question, il faut savoir que dans les temps anciens on vouait un culte au Kotodama, c’est-à-dire à la signification spirituelle des paroles.

    Permettez-moi d’ouvrir une parenthèse pour expliquer cette conception.

    L’origine du Kototama remonte à la nuit des temps.

     

     

    On retrouve le principe du Kototama au sein de nombreuses traditions à travers le monde.

    Cependant, l’esprit de cette pratique et les outils permettant de la faire vivre ont été cachés depuis si longtemps que les hommes en ont perdu la trace.

    Dans la tradition du Shintô qui est la religion originelle du Japon et qui signifie « la Voie des Dieux » on retrouve la notion de Kototama.

    Kotodama signifie « mot-âme », équivalent littéral du mot « verbe » en occident.

    Selon cette tradition, en des temps anciens, le Kototama était le principe universel employé par l’homme pour communiquer. En ces temps très reculés, tous les hommes parlaient la même langue.

    On retrouve cette notion dans la Bible, avant l’épisode de la tour de Babel, en ces termes : « Tout le monde se servait d’une seule langue et des mêmes mots ».

    Le principe du Kototama a donc été perfectionné en des temps immémoriaux et nos lointains ancêtres saisissaient la réalité de l’univers entier sous la forme de rythmes sonores.

    Les Documents Takenouchi parlent de 72 générations de Sumera Mikoto (Hommes-Dieux), qui utilisaient le Kototama.

    A partir de la 73eme génération, une nouvelle ère apparue au cours de laquelle le Sumera Mikoto de l’époque prit comme titre celui de « Jimmu Tenno », qui signifie : « Empereur ».

    Ce fut le commencement de notre ère actuelle. On passa alors d’un gouvernement spirituel à un gouvernement temporel.

    A cette époque, la grande majorité de l’humanité commençait à s’orienter vers l’expérimentation de la matière, et les guides spirituels de l’homme comprirent que ce processus était nécessaire pour l’évolution des hommes.

    Ils comprirent également que cette évolution serait considérablement retardée si le principe du Kototama restait en vigueur.

    Il fut alors décidé d’occulter ce principe, afin que l’homme puisse expérimenter totalement la matière et l’incarnation.

    Le principe du Kotodama, ainsi que tous les principes universels pourront de nouveau être utilisés lorsque la civilisation actuelle sera parvenue à son apogée.

    Cette occultation est représentée dans la Bible par l’épisode de la Tour de Babel, épisode au cours duquel l’homme, bien qu’ayant commencé à expérimenter la matière, ne peut se résoudre à renoncer au spirituel, et continue à chercher à s’élever vers cette dimension.

    C’est donc vers l’an – 2950 av. J.C, qu’il fut décidé que l’humanité devait être « coupée » pendant un certain temps de sa source pour se consacrer entièrement au développement de la civilisation matérialiste.

    Avec la connaissance du principe du Kototama et des principes universels, il y aurait toujours eu des humains pour choisir le principe de la vie et résister au courant matérialiste. Il fallait donc occulter provisoirement le principe du Kototama. Le cacher pour un temps.

    Au terme du développement de la civilisation scientifique, lorsqu’elle aurait la certitude que cette approche n’était pas suffisante, l’humanité devait pouvoir retrouver le principe du Kododama et les principes de vie.

    Les traces du Kototama et des principes universels furent donc disséminées dans toutes les mythologies, religions et philosophie, à travers le monde.

    Depuis près de trois millénaires, les fondateurs de toutes les religions, de toutes les philosophies, et les dirigeants des sociétés humaines, ont eu pour mission de voiler la vérité, en travaillant avec ardeur pour le perfectionnement de la deuxième civilisation, celle de « l’expérience sans conscience ».

    Le temps est arrivé où la civilisation matérialiste a progressé jusqu’à atteindre un niveau satisfaisant.

    Cependant paradoxalement, il demeure un grand vide chez les hommes civilisés d’aujourd’hui et l’humanité ne place plus toute sa confiance dans la politique, la science, la médecine et les paroles des experts.

    De plus en plus d’individus émettent des doutes quant à la toute-puissance de la science et de la technologie. Dans certains cas, elles font même peur.

    L’essence du Kototama est composée de 50 sons (dont deux identiques).

    Dans le tableau ci-dessus, la ligne du haut représente les sons de la langue originelle et la ligne du bas, les sons hébreux. Ils sont très ressemblants.

    Le Kotodama a été précieusement conservé depuis des temps immémoriaux au sein de familles japonaises très anciennes.

    Le Kototama est aujourd’hui enseigné par quelques enseignants ayant reçu une transmission orale de ce principe.

    Le concept du Kototama, qui est resté caché pendant 3000 ans, est de nouveau accessible au monde moderne qui a atteint l’objectif fixé par les hommes-dieux d’autrefois.

    Ainsi la civilisation actuelle, ayant expérimenté le temporel va pouvoir enfin percevoir de plus en plus clairement le sens de la vraie vie, et retrouver sa véritable source.

    De nos jours, l’écriture japonaise utilise deux syllabaires :

     

     

    Le Hiragana qui est utilisé pour les mots japonais et le Katakana qui est utilisé pour les mots qui ne sont pas japonais. Pour écrire, par exemple son prénom.

    Dans ces deux syllabaires, on retrouve les voyelles :

    A, E, I, O, U, ou sons-mères et les consonnes ou rythmes-pères et les voyelles et les consonnes sont combinés.

    D’autre part, dans la tradition japonaise, il est dit que les dieux (kami) inspirent l’esprit des hommes par des mots, et en prononçant ces mots inspirés par les dieux (kami), les concepts se concrétisent.

    Comme nous l’avons vu, le Kotodama peut se traduire par « mots-âmes », mais aussi par « esprit des mots » ou « paroles sacrées ». Les vibrations de l’univers sont « Kotodama ».

    Chacun des cinquante « sons » (syllabes) issus du Kotodama représente un dieu (kami) ayant une puissance particulière.

    On peut également parlé de pouvoir magique du Verbe.

    Ainsi pour conclure cette brève explication, on peut dire que dans les temps reculés, l’écriture, loin d’être un simple système de signes, était avant tout un message émanant des divinités, un moyen de communication entre les divinités et les hommes.

    Avec le kotodama (pouvoir magique du Verbe) il n’y avait pas de différence entre l’écriture et la prière.

    Voyons maintenant notre explication concernant Sumera Mikoto. Le terme « sumera mikoto » est composé de deux parties : « sumera » et « mikoto ».

    Voyons d’abord SUMERA :

    SU a le sens de « courant principal de la rivière ». Ce qui est vertical, c’est-à-dire le lien avec le Ciel. Il possède aussi la puissance d’unifier.
    Me représente ce qui est au centre de quelque chose, comme l’œil d’un cyclone, par exemple ou un pivot. Il a aussi une énergie de croissance comme celle qui fait pousser les plantes.

    Ra a le sens de briller, de quelque chose qui saute aux yeux ou de la lumière et la brillance du Soleil. Dans l’Égypte ancienne, « ra » correspondait à « rha », la lumière du Dieu-soleil, qui à l’origine venait du Japon.

    En un mot, SUMERA signifie « unifier tout ce qui est directement lié au Soleil ».

    Examinons maintenant MIKOTO :

    Mi fait référence à une substance importante se trouvant au centre, au corps, ou à une semence ou un fruit.

    Ko représente le yang extrême, la fermeté et la robustesse.

    TO signifie hito (人), l’être humain, la nature humaine, les caractéristiques humaines.

    SUMERA MIKOTO est donc le représentant de Dieu sur terre et donc le gouverneur de celle-ci.

    Sumera Mikoto est celui qui a pour rôle de relier le Ciel (Dieu, représenté par le Soleil) et la Terre (le peuple).

    Le dessin ci-dessus est une ancienne carte conservée dans les Documents Takenouchi. Elle représente le Soleil relié à la terre, mettant ainsi en relief le rôle du Sumera Mikoto.

    D’autre part, toujours d’après les Documents Takenouchi, il existait à l’époque une civilisation pacifique et ordonnée où science avancée et technologie coexistaient en harmonie avec la nature et où il n’y avait aucun conflit.

    On peut donc en conclure, qu’en ces temps très reculés, il y avait une gouvernance mondiale.

    Avec le temps, les rois des autres nations qui avaient été nommés par le Sumera-Mikoto, accrurent peu à peu leur puissance et commencèrent à ignorer l’harmonie et l’ordre qui existaient alors au sein de ce système théocratique.

    Le gouvernement mondial, qui existait alors, commença à se fissurer et le pouvoir du Sumera-Mikoto à s’affaiblir.

    Le gouvernement mondial finit par s’effondrer complètement et le Sumera-Mikoto fut écarté du pouvoir. L’histoire du monde fut réécrite par les personnes influentes de l’époque.

    La nature de la civilisation changea alors complètement

    Les hommes d’aujourd’hui ont du mal à croire que notre civilisation actuelle soit l’objet d’une attente de la part de nos créateurs (kamis).

    Qu’est-ce que les kamis attendent des hommes ?

    Tout simplement le renouveau d’une théocratie dans laquelle le monde entier sera gouverné par des âmes (Sumera Mikoto) en relation avec la puissance créatrice.

    Ainsi, en faisant un retour sur le passé et en nous en inspirant, nous pourrions mieux vivre le présent et surtout préparer l’avenir.

     

     

    Oui, le passé est la graine du futur !

    Les Ameno-ukifune permirent aux Sumera-Mikoto de faire la tournée des nations.

    Les Ameno-ukifune furent l’un des moyens qui permirent aux Sumera-Mikoto de gouverner la terre entière.

    Il y avait quatre différentes formes d’Ameno-ukifune : des disques, des fusées, des navires et des jets, utilisés différemment selon le but poursuivi.

    La tournée des nations durait plusieurs années et impliquait aussi de nombreux ministres qui assistaient les Sumera-Mikoto dans le gouvernement.

    Les Sumera-Mikoto pouvaient voyager quasi instantanément vers chaque destination grâce aux Ameno-ukifune.

    Un Ameno- ukifune de type jet était utilisé pour sa rapidité.

    Au cours des tournées mondiales, différents modèles d’Ameno-ukifune étaient embarqués à bord du vaisseau-mère, prêts à l’usage.

    Ces technologies sophistiquées rendaient de grands services aux Sumera-Mikoto au cours de leurs tournées mondiales.

    Dans les archives des Documents Takenouchi apparaissent bon nombre de figures bien connues ou légendaires de l’histoire, comme les personnages d’Adam et Ève de la Genèse.

    Selon la Bible, Adam et Ève sont les tous premiers humains créés par Dieu. Ils vivaient heureux dans le Jardin d’Éden mais, tentés par le serpent, ils mangèrent le fruit de l’Arbre de la Connaissance, désobéissant ainsi à Dieu. Ils furent chassés du Jardin d’Éden.

    Dans les Documents Takenouchi, Adam et Ève est le nom d’un roi des hommes rouges qui s’appelle : Adam-Eve.

     

     

    Adam-Eve fut nommé roi d’une certaine région par le Sumera-Mikoto.

    16 princes et princesses qui furent envoyés dans le monde entier à une certaine époque, définissant ainsi 16 régions mondiales.

    Autrement-dit, ce nom d’Adam-Eve qui apparaît à partir de ce moment-là sera porté par les rois qui lui succéderont.

    Les hommes du peuple rouge descendent génétiquement du roi Adam-Eve.

    La Bible dit qu’Adam et Ève furent chassés du Jardin d’Éden, mais en réalité cela signifie qu’ils furent envoyés dans le monde entier à partir de la terre du Paradis, dans l’ancien Japon.

    Le Sceau Impérial du Japon appelé : « Noble insigne du chrysanthème », utilisé par l’empereur du Japon et les membres de sa famille, est généralement considéré comme l’emblème national japonais, bien qu’il n’ait plus aucun statut officiel depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

    Les 16 secteurs que devaient administrer les Sumera Mikoto étaient :

    • – 1 Groenland – Alaska
    • – 2 Amérique du Nord et Amérique Centrale
    • – 3 Amérique du Sud et continent MU
    • – 4 Continent MU
    • – 5 Bugasgu
    • – 6 Atlantide
    • – 7 Atlantide
    • – 8 Nouvelle-Zélande
    • – 9 Australie
    • – 10 Australie
    • – 11 Indonésie, Extrême-Orient, Afrique du Sud
    • – 12 Amérique du Nord – Chine
    • – 13 Europe du Sud – Asie Centrale
    • – 14 Europe du Nord
    • – 15 Sibérie
    • – 16 Groenland

     

    Les documents nous précisent que des hommes de cinq couleurs firent leur apparition en même temps sur terre.

    Il s’agit des hommes jaunes, blancs, rouges, noirs et bleus.

    La répartition approximative des cinq couleurs s’est faite ainsi :

    JAUNES = Japonais, Chinois, Coréens, Mongols, etc.
    ROUGES = Amérindiens, Juifs, Arabes, Egyptiens.
    BLEUS = Scandinaves, Slaves.
    BLANCS = Européens.
    NOIRS = Africains, Indiens, Australiens aborigènes.

    Les hommes bleus et les hommes blancs se sont mélangés et de ce fait, il n’est plus possible de retrouver de purs descendants de la race bleue.

    Ce phénomène existe maintenant pour toutes les races, car en raison de la mixité inter-ethnique, les distinctions seront de plus en plus difficiles à faire.

    Cependant, le peuple des hommes des cinq couleurs à un ancêtre commun et le Sumera Mikoto était à la fois son parent et son gouverneur.

    Une carte de la migration des hommes des cinq couleurs dans le monde entier.

    Je voudrais, pour illustrer cette notion, vous parlez du temple « Heitate Jingu » qui se trouve au sud du Japon, au pied du Mont Aso dans la préfecture de Kumamoto à Kyushu. Il est considéré comme le plus ancien temple shintoïste du Japon et existe depuis 15 000 ans.

    Dans ce temple sont vénérées cinq Divinités cosmiques.

    Plusieurs trésors immémoriaux y sont conservés et honorés, dont des masques.

    Ce sont cinq masques archaïques représentant les hommes des cinq couleurs.

    Ces masques sont faits de bois de chaque continent.

    Ce temple, a donc un rapport avec l’origine de l’histoire du Japon et du monde entier.

    On y célèbre une fête unique dans le monde qui a une très longue tradition. Cette cérémonie est appelée : « Goshikijin-sai » ou la fête des cinq races. Celle-ci se déroule une fois par an en août dans le but de prier les Dieux des cinq races.

    En s’unissant aux Dieux des cieux et en saisissant les messages divins, chaque participant peut contribuer au développement de sa patrie en rentrant dans son pays. Telle est la signification de cette fête.

    Des participants du monde entier se rassemblent depuis des temps immémoriaux et jusqu’à aujourd’hui.

    Ces trésors confirment que la race humaine des cinq couleurs a une origine commune.

    Comme nous l’avons vu, dans ce temple sont vénérées cinq Divinités cosmiques.

    Plusieurs trésors immémoriaux y sont conservés et honorés, dont des masques.

    Ce sont cinq masques archaïques représentant les hommes des cinq couleurs.

    Ces masques sont faits de bois de chaque continent.

    Les documents précisent également que les hommes de ces temps reculés vivaient très vieux.

    Ce fait comme beaucoup d’autres sont également relatés dans la Bible.

    On y trouve, par exemple, l’histoire de Mathusalem qui aurait vécu 969 ans.

    Après le Grand Nettoyage (le déluge) l’homme ne vivait pas au-delà de 120 ans.

    Si l’on en croit les travaux récents des chercheurs Français de l’INSERM, il serait tout à fait possible de redonner à une cellule âgée de plus de 100 ans sa jeunesse d’antan. Les recherches ne sont encore qu’embryonnaires, mais dans une dizaine ou une vingtaine d’années, peut-être trouverons-nous sur le marché des thérapies géniques permettant de briser cette fameuse frontière des 120 ans.

    Laurent Alexandre est une personnalité atypique dont l’expertise est écoutée.

    Chirurgien urologue de formation, diplômé de l’ENA, HEC et Sciences-Po, cofondateur de Doctissimo.fr, il préside désormais la société de séquençage de génome DNA Vision.

    Ce chercheur s’intéresse « aux bouleversements qu’entraîneront pour l’humanité les progrès de la science, de la techno médecine et des biotechnologies ».

    Il y a consacré un essai remarqué intitulé : « La Mort de la mort », dans lequel il affirme que « l’homme qui vivra 1.000 ans est déjà né ».

    Des « pluriels » qui sont vraiment « singuliers » !

    Dans le texte hébreu de la Bible, le mot « Elohim » est employé pour désigner ce que les exégètes traduisent par « Dieu », au singulier. Hors, « Elohim » est le pluriel de « Eloha » qui signifie : celui qui vient du ciel, le céleste. Le mot « Elohim » peut donc se traduire par : ceux qui viennent du ciel.

    Parfois le texte hébreu utilise le mot « Adonaï » et les mêmes exégètes en font un mot singulier qu’ils traduisent par « Seigneur », alors qu’il est également un mot pluriel que l’on peut traduire par « Messeigneurs ». En effet, « Adonaï » (pluriel) dérive de « Adon » (singulier). Il ne s’agit pas de pluriel de majesté, de politesse, car cette notion n’existe pas en hébreu.

    Il est donc vraiment intéressant et pour le moins curieux que les hébreux, qui sont le seul peuple monothéiste de l’antiquité, aient choisi ces deux pluriels pour désigner leur Dieu unique !

    Un extrait tiré des documents Takenoushi qui constituent, comme nous l’avons vu, des archives de l’extrême antiquité, nous dit :

    « Au commencement naquirent les étoiles dans l’univers en pleine expansion. Des hommes semblables aux dieux descendirent sur terre. Les dieux créèrent les hommes des cinq couleurs et leur apportèrent la civilisation et la terre fut peuplée d’êtres humains… »

    Nous avons appris que les Sumera-Mikoto pouvaient voyager quasi instantanément vers chaque destination grâce aux Ameno-ukifune.

    En termes modernes, on désigne ces vaisseaux par les termes O.V.N.I (en français) ou U.F.O (en angalis).

    Il existe des traces de leurs passages que l’on retrouve au sein de différentes cultures à travers le monde entier. Un grand nombre d’entre elles évoquent des créatures qui seraient descendues du ciel.

    Nous allons découvrir quelques exemples de cette réalité à travers les traces, les dessins, les peintures, les statues et les statuettes disséminées dans le monde.

    La plupart de ces représentations sont très révélatrices.

    Au 7ème siècle, à Palenque (Mexique), le corps du défunt roi Maya du nom de Pacal et d’une taille supérieure à la moyenne des habitants de l’époque, fut placé dans un sarcophage autour duquel une pyramide fut érigée.

    Sur la dalle recouvrant le sarcophage, on peut voir le roi assis aux commandes d’une machine volante, crachant des flammes, comme en témoignent les photos ci-dessous.

     

     

    A propos de la civilisation sumérienne

    Longtemps avant Babylone, il y a 5 ou 6000 ans, une civilisation remarquable a vu le jour dans ce qui est aujourd’hui l’Iraq.

    Les sumériens possédaient une culture exceptionnellement avancée. La liste de ce qu’ils ont inventé ou créé n’a rien à envier à nos sociétés modernes.

    La question essentielle est de savoir d’où ils ont acquis leurs connaissances.

    On trouve, dans les écrits des anciens sumériens, des récits faisant allusion au fait que leur civilisation leur avait été enseignée par des êtres descendus sur terre depuis le ciel qu’ils ont appelés : les Anounaki.

    Les sumériens ont écrit leur histoire sur des tablettes d’argile. Ces textes, vieux de 6000 ans, parlent, entre autres, d’êtres venus d’une planète de notre système solaire appelée : Nibiru.

    De nombreuses descriptions font état de personnages beaucoup plus grands que la moyenne des êtres humains de l’époque.

    Autrement dit, il s’agissait de géants.

    Ces anciens textes affirment également qu’il y a plus de 400 000 ans, ces Anounaki sont venus de l’espace et ont atterri dans la vallée du Tigre et de l’Euphrate pour y créer une colonie qu’ils ont nommée : Eden.

    A propos des géants

    La plupart des anciennes traditions, y compris la Bible, la Torah et le Coran décrivent la présence d’êtres de grande taille.

    Des empreintes de pas découvertes en 1908 près de Glenn Rose, au Texas, montrent des traces humanoïdes de géants mesurant 4 mètres auprès de traces de dinosaures vieux de 120 à 130 millions d’années.

    Naturellement, ces découvertes sont en contradiction avec la théorie de l’évolution de Charles Darwin car les dinosaures sont censés s’être éteints il y a environ 65 millions d’années et le premier humain à marche verticale, l’Homo erectus, se serait développé, il y a seulement 2 ou 3 millions d’années. Ainsi, dinosaures et humains se seraient manqués temporellement de 60 millions d’années !

    De nombreuses découvertes mettent en évidence le fait que les hommes et les dinosaures vivaient ensemble il y a au moins 65 millions d’années.

    Un article de décembre 1895 du Magazine « Strand » mentionne la découverte d’un géant fossilisé mis à jour au cours d’opérations minières dans le Comté d’Antrium, en Irlande.

    Les principales mesures sont :

    Taille : 12 pieds, soit 3.65 mètres
    Circonférence de la poitrine : 6 pieds, soit 1.82 mètres
    Longueur des bras : 4 pieds, soit 1.21 mètres
    Son pied droit comporte 6 orteils
    Poids brut : Environs 2 Tonnes

    A propos du phénomène O.V.N.I

    Nous avons vu que les sumera mikoto utilisaient des machines volantes pour leurs tournées mondiales. Le phénomène n’est donc pas nouveau.

    Une soucoupe volante s’est écrasée le 2 juillet 1947 à Rosewell, au Nouveau Mexique. On découvrit à l’intérieur de celle-ci quatre humanoïdes. Il y eu 92 témoins, 35 témoignages de première main (du personnel de l’Air Force).

    Le 13 février, on trouva un autre vaisseau spatial dans les environs d’Aztec, au nouveau Mexique également. La deuxième chute d’un autre vaisseau dans cette région eut lieu le 25 mars 1948 dans le Heart Canyon.

    Le disque avait 33 mètres de diamètre et était fabriqué avec un métal inconnu. On y trouva 16 occupants décédés qui mesuraient 1,20 mètre.

    En 1949, une autre soucoupe fut découverte à Rosewell et l’un des passagers survécut. Un officier d’aviation reçut l’ordre de l’amener à Los Alamos où se trouvaient à cette époque les installations les plus sûres des forces armées des Etats-Unis.

    On décrivit le passager comme un humanoïde reptilien avec certaines caractéristiques propres aux insectes.

    On le nomma « EBE » (Extraterrestrial Biological Entity).

    EBE relata que ceux de sa race rendaient visite à la Terre depuis 25.000 ans…

    Il dit également qu’ils disposaient de bases souterraines dans différents pays de la Terre. EBE enseigna au jeune colonel qui lui tenait compagnie l’existence de la réincarnation et la survie de l’âme…

    Tout fut noté et rassemblé sous le code « Yellow Book ».

    On essaya de prendre contact avec la race de EBE mais sans succès. Ce projet portait le nom de SIGMA. Fin 1951, EBE tomba gravement malade … et mourut le 18 juin 1952… Le colonel qui s’occupait de lui aurait pleuré à sa mort…

    Plus tard, sous le projet ROBERTSON-PANAL, on adapta cet évènement à l’écran. Le film porta le titre de « E .T » et avait pour but de familiariser le public avec cette réalité… »

    Au cours des trois jours qui ont précédés le crash de Roswell, il y a eu 88 apparitions d’OVNIS dans 24 Etats.

    Ci-dessus, l’une des meilleures photos représentant un OVNI prise dans l’Etat du Yucatan (au Mexique). Elle a été déclarée authentique par plusieurs scientifiques et spécialistes européens.

    Selon des archives de journaux de l’époque, la photographie a été prise par un touriste allemand qui a vécu, en 1999, dans cet état situé au Sud-Est du pays.

    Le photographe a ensuite emmené le cliché dans son pays natal. En effet, il souhaitait la faire analyser à plusieurs chercheurs allemands, espagnols, anglais, italiens et français.

    Chacun des chercheurs de ses pays ont rendu des conclusions analogues et donc troublantes : il ne peut pas s’agir d’un montage !

    Quelques chiffres peuvent démontrer l’importance du phénomène ovni dans le monde.

    Selon l’ONU depuis 1947 :

    • 150 millions de témoins d’apparitions d’ovnis ont été recensés dans le monde.
    • 120000 témoignages ont été étudiés.
    • 20000 relatent des atterrissages d’OVNI.
    • 3500 photos d’ovnis sont répertoriées.
    • 4000 traces au sol d’activités OVNI ont été répertoriées. La majorité d’entre elles étant associées à des effets sur la végétation.

    Depuis 1947, plus de 3500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d’OVNIs publiquement.

    Sachant que seuls 10 % des témoins contactent les autorités, on peut raisonnablement supposer que ce pourcentage est encore inférieur s’agissant des pilotes.

    Depuis le 4 juillet 1974, la FOIA (Freedom Of Information Act) a permis la déclassification de plus de 30000 documents gouvernementaux US se rapportant aux OVNI.
    Il s’est avéré que certains documents (émanant du FBI, CIA, etc.) étaient classifiés « TOP SECRET »

     

     

    En France depuis 1947:
    4 millions de témoins d’apparitions d’OVNI.

    En France depuis 1954:
    1000 dépositions en gendarmerie d’atterrissages d’OVNI.

    A suivre dans la 2ème partie


     


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