• World Trade Center, histoire d'une chute, un dossier douloureux

     

    Oui douloureux car il a été prémédité ,

    cette vidéo vous l'apprendra, et les auteurs ne sont pas punis !

     

    retour en arrière :

    Le 11 Septembre 2001. Ce jour-ci, chacun sait ce qu'il faisait et où il était au moment d'apprendre la triste nouvelle tant le choc fût intense. Une forte médiatisation et des images douloureuses d'une rare intensité, montrant une Amérique frappée au cœur de sa puissance symbolique. Le chaos est total, et les questions sans réponses ; l'invincible nation est apeurée.

    Les Tours Jumelles, bombardées par des avions, brûlent et menacent de s'effondrer. On peut y voir des âmes en peine désespérées, qui léchées par les flammes et menacées de fumées toxiques finissent par sauter avec le maigre espoir de survivre. Quelque temps après, les tours s'effondrent en quelques secondes seulement, faisant ainsi état du lourd bilan immédiat de près de 3000 morts.

    Cette nouvelle vidéo sur l'affaire du 11 Septembre traite ici dans un rapport objectif de l'écroulement des tours, qui malgré ce qu'il en est de la thèse terroriste, démontre que nombre de vie aurait pu être épargnées si le bâtiment en lui-même aurait répondu aux normes de sécurité en vigueur pour ce type de structure.

    Dans les jours suivant la chute des deux tours, les immenses charpentes en aciers sont récupérées, acheminées puis découpées. Elles seront vendues essentiellement à L’extrême-Orient, pour la modique somme de 130 euros la tonne. Ce derniers acte provoquera alors l'indignation des familles des victimes qui en souffrances et à la recherche de preuves, se retrouvera peiné de les voir presque toutes être exportées et effacées.

    Le peu qu'il reste des tours constitue le départ d'une enquête officielle. On y remarque alors les pires défaillances de structure jamais observée jusqu'à présent. L'ingénieur responsable de la dite solidité des celles-ci avait auparavant une vue imprenable sur les deux superbes aiguilles d'acier et de bétons. Dorénavant, c'est sur ce que l'on appelle « Ground Zero », fantôme d'architecture, que monsieur Leslie E. Robertson a des visions d'horreur. Le problème c'est qu'en réalité, les tours n'ont jamais été conçues pour recevoir un tel choc. L'ingénieur n'avait jamais imaginé la possibilité que des avions puissent percutées les immenses structures.

    Pourtant, tout semblait partir du bon pied. Les tours jumelles faisaient partie d'un projet pharaonique, révolutionnaires dans presque tous les domaines. Plus hautes qu'aucune autre, elles allaient marquer l'optimisme américain des années 60. Guy F. Tozzoli, responsable des opérations, n'imaginait même pas la possibilité que les tours puissent s'effondrer. C'est pourtant quelques décennies plus tard qu'il assistera impuissant à la chute de ses mythiques gratte-ciels. Il n’empêche qu'il était à la tête de ce que certains appelleront « le plus grand projet de construction depuis les pyramides ».

    L'architecte choisi pour mener à bien l'immense cahier des charges est Minoru Yamasaki. Dès le départ, un problème se pose, Yamasaki propose un immeuble trop petit, prétextant que s'il fait plus de 80 étages il ne serait pas assez rentable du fait du volume que prendrait les ascenseurs. Tozzoli insistera, afin qu'il trouve une solution. Le problème est résolu en traitant chaque tiers de la tour comme un immeuble individuel de 40 étages, réduisant ainsi le nombre de cage d’ascenseur. Il n'y aura alors seulement deux ascenseurs installés à être apte à monter sur toute la hauteur de la tour. Ainsi, lorsque l'on voulait se rendre à un étage élevé il fallait prendre un ascenseur, menant à un autre qui à son tours menait parfois encore à un autre. Ainsi est résolu le problème économique des tours ; en nuisant au coté pratique.

    Un autre problème se pose : les vents. Particulièrement violent à New York et d'autant plus en altitude, les deux œuvres nécessitent une fois de plus des forces d'innovations. On repense alors la structure des tours par rapport aux gratte-ciels conventionnels.

    Leur construction terminée, Petit à petit les immenses tours d'aciers trouvent des locataires et deviennent rapidement un symbole de la puissance américaine ainsi qu'un pôle d'attraction pour les touristes. On ne déplore aucun accident important durant 23 ans. 26 Février 1993, une camionnette bourrée d'explosifs et de bouteilles d'hydrogène se loge dans le parking souterrain du World Trade Center. 6 personnes seront tuées, et on déplorera plus d'un millier de blesser. Faisant de cet attentat à l'époque le plus gros perpétré sur le sol américain. Les tours agissent comme un siphon, aspirant les fumées par les cages d'escaliers et les ascenseurs déjà saturée de personnes apeurées fuyant la zone. Le but était de fragiliser la tour nord afin de provoquer un effondrement sur la tour sud, mais c'était sans compter l'excellente résistance de la forme tubulaire du squelette de la structure. 8 ans plus tard, tout sera différent.

    Depuis ce jour malheureusement mémorable qu'est le 11 Septembre 2001, les plans architecturaux des Twin Towers sont finalement analysés. À partir de ceux-ci on apprend pourquoi bon nombre de personnes n'ont pu s'échapper des tours. L'avion ayant endommagé les cages d'escaliers et détruit bon nombre d’ascenseurs, tout ceux étant au dessus de l'impact n'avaient aucun moyen de s'échapper de l'enfer les oppressant. Jake Pauls a étudié le cas de la sécurité à l'intérieur des tours du World Trade Center après l'attentat de Février 1993 et en arrivera à l'inquiétante conclusion que les escaliers sont mal positionnés. En effet, étant trop rapprochés les uns des autres, si un incident survient sur l'un, il se répercutera sur les autres.

    Le bâtiment était soi-disant conçu pour résister au choc d'un Boeing 707 perdu dans le brouillard, le plus gros avion de ligne du temps de sa construction. En comparaison, les Boeing 767 sont de tailles quasi-identiques, sauf qu'à la différence d'un avion normal, un avion détourné devient un bolide et se retrouve propulsé à sa vitesse maximum, multipliant ainsi la force de frappe de manière exponentielle. De même, l'effet du carburant contenu dans l'avion sur les piliers n'a même pas été prit en considération. Les pompiers arrivant sur place se retrouvent impuissant par la surface et la violence des flammes que les tours béantes crachent. Des test ont démontré que la combustion du kérosène ne suffit pas à faire fondre l'acier, il suffit cependant à le ramollir, rendant alors impossible sa fonction de soutient, faisant que progressivement l'effondrement n'est pas impossible.

    Les rares personnes a avoir pu analyser l'acier avant qu'il ne soit vendu arrivent à un scénario peu banal. En effet, on trouve sur des piliers d'aciers percutés directement par l'avion des traces de déformation causées par le choc mais aussi une vitrification immédiate du revêtement ignifuge de celui-ci. Il n'a alors pas toujours répondu à sa fonction, rendant l'alliage vulnérable aux flammes.

    Le professeur Eduardo Kausel remarque que le véritable point faible de la structure était les planchers. On peut remarquer que la constructions de ceux-ci est inhabituel car ils sont fait de tel sorte à être assemblés facilement et rapidement, mais dispose de treillis qui eux sont très vulnérables au feu.

    En 1995, le revêtement ignifuge des tours fut lui aussi analyser par Roger G. Morse, architecte consultant dans le cadre d'une enquête sur sa contenance en amiante. Au delà de ça, on peut y voir par endroit que le revêtement se détache en lambeaux, laissant bon nombre de parties du treillis complètements nus. Dans le noyaux central, le revêtement fut pulvérisé sur de la rouille. Ainsi lorsque celle-ci se détachait de l'acier, le revêtement partait avec.

    Telle une construction d'une époque révolue, le World Trade Center, symbole d'optimisme et de puissance américaine des années 60 jusqu'au début de notre siècle, s'en est allé. Résultant d'une suite d'erreur et d'une ténacité à s'imaginer invincible, les Etats-Unis d'Amérique ont pris en ce jour de Septembre une terrible leçon d'humilité, prétextant par la suite l'apparition du fantôme de la guerre à travers ses débris fumants.

     

    cette vidéo nous apprend que cette catastrophe était prémédité

    11 mois auparavant !

    Ce cinéaste , nous révèles ce qu'a dit l'un de ces puissants comploteurs

     

     

     

    <ceux qui ont fait ce génocide pour se permettre d'avoir du pouvoir en Syrie ,

    le beau prétexte, sont toujours en vie >

     Bon éveil à tous

     

     

     

    « le cube de MétatronLes mystères de notre climat »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Vous devez être connecté pour commenter