Comment le trafic d’enfants peut-il se perpétrer alors que nous vivons dans un monde si policé et si sécurisé… Impensable ?
Une des clés, serait la FAPE, système d’échange entre ambassades d’œuvres d’art, sans le moindre contrôle et qui s’opère dans le monde entier. Leur transporteur possède des accréditations spéciales leur permettant de contourner les contrôle. Pourquoi un système d’échange d’œuvre d’art a-t-il une autorisation pour transporter des êtres vivants…
Une autre clef serait l’ICMEC (Centre international pour enfants disparus et sexuellement exploités), voir partie deux ci-dessous…
Le trafic d’enfants est un marché lucratif qui, avec les drogues et les armes, représente l’une des activités les plus prisées des réseaux criminels en Europe.
Pour la plupart originaires d’Europe de l’Est ou d’Afrique, mais parfois également de France ou d’Allemagne, filles et garçons sont vendus comme esclaves domestiques ou sexuels, ou encore mis à la rue pour mendier ou faire les poches des passants. Mais d’où vient la demande ?
Qui sont les trafiquants ?
Comment les réseaux s’organisent-ils, et pourquoi ce sujet reste-t-il relativement tabou dans les prises de parole politiques ?