« « La vie est née de l’énergie, elle est entretenue par l’énergie et elle meurt en l’absence d’énergie » telle est le sens général de la célèbre phrase du chercheur et ingénieur russe Georges Lakhovsky. Elle indique que le corps humain a besoin d’un apport constant en énergie pour vivre comme une ampoule électrique, et en l’absence de celle-ci la vie comme la lumière s’éteint immédiatement.
Les origines de l’énergie
Cette énergie arrive à l’être humain par différents canaux qui le fournissent de manière permanente :
- L’énergie ancestrale qui lui est fournie à la naissance et qui est variable d’un individu à l’autre.
- L’énergie des aliments et de l’eau consommés quotidiennement. C’est ainsi qu’une alimentation biologique a tendance à apporter de l’énergie à l’organisme, alors qu’une alimentation industrielle pompe l’énergie du corps pour être digérée.
- L’énergie de l’air respiré.
- Les énergies cosmique et tellurique qui proviennent de l’environnement proche et lointain.
La pénétration des énergies dans le corps humain :
Les énergies provenant de l’environnement (cosmique et tellurique) arrivent via les corps énergétiques. Elles sont stockées dans le corps éthérique, qui est le corps subtil le plus proche du corps physique. Ce dernier bat au même rythme que le MRP (mouvement respiratoire primaire) du liquide céphalorachidien entourant le cerveau.
A chaque dilatation il aspire les énergies cosmique et tellurique, et à chaque contraction il pousse ces énergies vers le corps physique via les chakras et des orifices situés sur la peau. Une fois arrivées dans le corps, celles-ci vont rejoindre les énergies ancestrales, alimentaires et aériennes et vont être dirigées vers différentes destinations :
- Elles vont créer l’énergie vitale. En effet, chaque chakra est en relation avec :
Un plexus nerveux qui va donner l’influx nerveux et stimuler le sympathique qui est à l’origine de l’activité des êtres humains.
Une glande hormonale qui va se trouver ainsi activée favorisant la fabrication d’hormones stimulatrices : hormones sexuelle, cortisol hormones thyroïdiennes…
-> C’est ainsi que l’énergie est transformée en force vitale sur le plan physique.
- Elles vont circuler à travers le corps, par différents canaux :
Elle relie les chakra entre eux et remonte l’énergie vers la tête.
Les méridiens d’acupuncture où l’énergie suit un circuit défini quotidiennement. Chaque méridien étant à son maximum deux heures par jour.
Les nadis qui seraient au nombre de plusieurs milliers.
Il faut comprendre que les méridiens et les nadis poursuivent leur trajet au niveau des corps subtils et ne s’arrêtent pas aux mains, pieds, tête et thorax.
Ces vaisseaux énergétiques vont alimenter les différentes parties du corps à la manière du sang artériel apportant l’oxygène.
Cette énergie est utile pour nourrir et régénérer les atomes et les molécules des organes et des tissus.
C’est par cet apport incessant énergétique que chaque atome du corps est vivifié.
Il transmet ensuite ce potentiel, aux cellules et aux organes.
Enfin, une fois que cette énergie a été utilisée, elle est devenue morte et donc inutile pour l’organisme.
Il convient de l’éliminer.
Pour cela, elle est collectée par des canaux passant de chaque côté de la colonne vertébrale depuis la tête jusqu’aux pieds où elle est éliminée.
Cette élimination se fait également, mais de manière moindre, par les chakras (surtout le chakra racine) et les mains.
Ces énergies une fois évacuées hors de l’organisme humain va suivre un vaste un circuit de régénération général à travers le cosmos avant de revenir de nouveau active et vivifiante.
La Kundalinī est un concept lié au Yoga qui désigne une puissante énergie qui se trouverait logée dans l'os sacrum.
Elle est représentée comme un serpent enroulé sur lui-même.
Par la pratique de la méditation, la Kundalinî s'éveillerait et monterait le long de la colonne vertébrale depuis l'os sacrum jusqu'à la fontanelle, progressant d'un des sept chakras à l'autre afin de les harmoniser un à un.
La Kundalini est indifféremment désignée comme "énergie vitale", "énergie sexuelle" ou "énergie divine" selon les auteurs qui l'emploient et la tradition qui l'utilise.