L’amiral Richard E. Byrd fut le premier homme à survoler le Pôle Nord en avion (en 1926), puis le Pôle Sud (en 1929). Lors de nouveaux vols, en 1947 et 1956, il lui fut donné de découvrir l'entrée de la Terre Creuse, où il fut accueilli par des émissaires du Pontife de l'Agartha. À son retour aux États-Unis, il décrivit les êtres qu'il avait rencontrés comme issus d'une civilisation très en avance sur la nôtre, et bien plus évolués que nous. Il demanda au gouvernement américain l'autorisation de diffuser les révélations extraordinaires qui lui avaient été transmises. Mais on lui opposa un veto. Et le dossier est resté classé top secret jusqu'à ce jour.
Pourtant, certaines de ces informations commencent aujourd'hui à filtrer et à circuler, non seulement à propos de l’Agartha mais au sujet d’autres civilisations intra-planétaires dispersées à travers notre galaxie.
Voici l’essentiel de ces informations...
Nos ancêtres, les anciens Lémuriens et les Atlantes n’étaient pas originaires de la Terre. Les premiers habitants de la Terre furent des colons galactiques. Ils venaient des Pléiades, du Centaure et de la Lyre, mais aussi du Bouvier, du Cygne, d'Orion, de la Licorne, de Cassiopée, et d'autres systèmes habités de notre galaxie.
La Terre fut à l’origine conçue pour être une planète expérimentale, un laboratoire de vie universel. Il y a 500 000 ans, la conscience des Elohim, qui furent les premiers êtres à venir s’y installer, était une conscience interstellaire, une conscience collective multidimensionnelle. Et ce que nous étions à l’origine, nous le sommes restés : des âmes en expérimentation dans le laboratoire de la 3D à la recherche de leur identité spirituelle, de leur super-conscience originelle.
La Terre est la seule planète expérimentale de notre système solaire. Le Peuple du Serpent, dont l’homme contemporain tire ses origines symbolisées dans l’Arbre de Vie par le Caducée, s’est réfugié dans l’Intra-Terre à la chute de son continent, il y a plus de 10 000 ans.
L’existence d’une civilisation intraterrestre n’a encore été consignée dans aucun manuel scolaire, alors que la Terre Creuse abrite des communautés d’êtres évolués depuis des millions d’années. L’Agartha ou l’Abzu, que nos textes sacrés désignent sous l’expression "d’Abysses souterraines", était à l’origine peuplée de descendants de la race aryenne de l’Étoile rouge d’Aldébaran auxquels se joignirent par la suite des descendants de Lémuriens, d’Atlantes, de Mayas et de plusieurs autres peuples qui avaient échappé au déluge et à d’autres cataclysmes. Tous tirent leurs origines de différents endroits de notre galaxie qui compte des millions de planètes creuses habitées.
Contrairement à ce que continuent de croire une majorité de scientifiques, qui s’imaginent que l’intérieur des planètes solides n’est constitué que de magma en fusion, toutes les planètes de notre galaxie sont creuses, et il y a généralement bien plus de vie à l’intérieur qu’à l’extérieur ! Les étoiles sont creuses elles aussi et même notre Soleil renferme la vie à l’intérieur !
Il faut se préparer à tout réapprendre sur notre univers, sa formation et ses colonies de peuplement ; les scientifiques seront bientôt surpris des découvertes qui les attendent !
Les planètes ne sont au départ que des amas de particules gazeuses rejetées par les étoiles. Sous l'effet combiné du refroidissement de ces gaz expulsés de leur milieu originel et de l'action de la force centrifuge, il peut se produire une sorte de condensation qui aboutit à la formation d'un corps sphérique, les rejets les plus denses se matérialisant à la périphérie de la sphère sous forme de substances liquides puis solides. Mais l'intérieur de la sphère reste creux et ses pôles ouverts.
Un tel processus conduit inexorablement à l'apparition d'une source d'énergie centrale, sorte de soleil qui, d'une certaine manière, est à la planète ce que le noyau est à l'atome. Certains voyageurs de l'astral arrivent à percevoir la teinte légèrement orangée de ces soleils internes qui irradient une lumière douce et agréable. Les noyaux solaires des planètes rayonnent sur un spectre qui recouvre toutes les fréquences compatibles avec le développement de différents niveaux de vie et de conscience, y compris dans le plan physique.
Les créatures qui habitent à l'intérieur des planètes vivent bien plus longtemps et dans des conditions bien plus faciles que celles qui restent plongées dans la dualité externe des jours et des nuits, des hivers et des étés, du chaud et du froid. Ceci s'explique d'ailleurs facilement à la lumière d'une loi élémentaire de la dynamique : lorsqu'un corps orbite autour d'un autre corps de masse plus importante, sa périphérie est naturellement soumise à une force centrifuge, génératrice d'instabilité et de turbulences, alors que sous l'effet gravitationnel inverse appelé force centripète, son centre demeure continûment en position de stabilité et d'équilibre. C'est la raison pour laquelle les êtres les plus évolués des différents systèmes planétaires de notre galaxie ont naturellement tendance à élire résidence à l'intérieur des planètes plutôt que sur leur surface externe, un peu de la même manière qu'un homme raisonnable choisira d'habiter à l'intérieur de sa maison plutôt que sur son toit.
La Terre n'échappe pas à cette règle. Hors d'atteinte de tous les scénarios catastrophes qui guettent aujourd'hui l'humanité en surface en raison du réchauffement climatique, de la dérive des continents, de la pollution physique et psychique qui empoisonne notre air, souille nos océans et épuise la vitalité de nos sols, l'intérieur de notre planète demeure un écosystème vierge et préservé, avec ses montagnes, ses rivières, ses océans et ses vastes cavités à la végétation luxuriante où se sont retrouvées différentes familles d'êtres évolués. Les niveaux de fréquence élevés auxquels ils sont soumis leur permettent d'échapper à la maladie, au vieillissement et à une grande partie des péripéties inhérentes à notre expérimentation 3 D de surface.
Il existe au centre de la Terre une sorte de mer intérieure. La faune y est abondante et la flore luxuriante.
Les premiers habitants de la Terre Creuse furent tous des colons intragalactiques. Et par la suite, les élites spirituelles des anciennes civilisations de Lémurie puis d'Atlantide y furent accueillies. Au cours des deux siècles passés, un nombre limité d'habitants de la surface ont également été invités à titre individuel à venir visiter le monde intérieur. Cependant seule une cinquantaine d'entre aux ont ainsi pu découvrir les féeriques paysages du monde souterrain. Parmi eux ont figuré le peintre Nikola Roerich, le physicien Nikola Tesla, et aussi le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov, durant sa dernière incarnation terrestre. Selon ce dernier, l'alchimiste Nicolas Flamel serait l'un des rares habitants de la surface à avoir eu la possibilité de s'y installer. Il y vivrait depuis plusieurs siècles, car l'échelle du temps y est compactée et le processus du vieillissement des cellules considérablement ralenti.
Jadis, les ouvertures et points de passage entre l'intérieur et l'extérieur de la Terre étaient multiples et facilement accessibles. En dehors des deux grandes ouvertures des pôles, il existait de nombreuses galeries permettant d'atteindre les cavités de la Terre Creuse à partir de la surface. Ainsi, la bibliothèque d'Alexandrie, fondée par Ptolémée Ier, l'un des héritiers de l'empire d'Alexandre, fut-elle à l'origine construite à l'emplacement même d'un corridor qui reliait l'Égypte à la grande Bibliothèque Akhashique de Porthologos, située sous l'actuelle mer Égée.
La bibliothèque d'Alexandrie, qui renfermait plus de 700.000 textes sacrés, fut détruite une première fois en 47 avant Jésus-Christ en raison d'un incendie déclenché par les envahisseurs romains, puis, après sa reconstruction, à nouveau ravagée par les flammes en 391 après Jésus-Christ, et encore une autre fois en 645.
Les raisons occultes de cet acharnement du destin n'ont jusqu'à présent jamais été clairement expliquées. Alexandrie était en fait une porte ouverte vers les royaumes intraterrestres, un passage utilisé par les initiés de haut grade pour atteindre les Archives Akhashiques de la Connaissance universelle. Lorsqu'il fut avéré que les érudits de la Septante cherchaient à commettre les mêmes transgressions que les anciens Mages de l'Atlantide et tentaient à nouveau de s'approprier les clés de la Connaissance universelle pour pouvoir dominer le monde, les Maîtres de Porthologos décidèrent de fermer cette porte vers la Terre intérieure et autorisèrent sa destruction. Les légions de César et, plus tard, les mercenaires de l'émir Amr Ibn al As ne firent qu'appliquer à leur insu un ordre qui provenait en réalité de régions bien plus élevées de la Conscience humaine. Il s'agissait, pour les Intraterrestres, de se protéger coûte que coûte des intrusions et des agressions de l'extérieur.
Cette politique de fermeture et de séparation a été maintenue jusqu'à aujourd'hui, et depuis l'engloutissement de l'Atlantide, ni l'Agartha ni la Catharie ni la Nouvelle-Lémurie n'ont eu à subir d'attaque extérieure ; les visiteurs des cités souterraines de la Terre Creuse sont, depuis l'époque lointaine de sa colonisation extraterrestre, des invités triés sur le volet par leurs hôtes, en fonction de leur aptitude énergétique à intégrer le très haut champ vibratoire généré par l'aura des grands Êtres qui assument leur gouvernance.
Depuis le premier incendie de la bibliothèque d'Alexandrie, tous les portails vers la Terre Creuse ont été progressivement fermés, qu'il s'agisse par exemple de celui des Pyrénées sous le Pic Bugarach, de celui de Lhassa au Tibet, où il existait un moyen d'accéder secrètement au monde intérieur depuis le Palais du Potala, de celui du Pérou, progressivement immergé par les eaux du lac Titicaca, et où se trouve aujourd'hui un sas par lequel continuent de transiter des traceurs magnétiques en provenance de différentes planètes de notre galaxie, ou encore de celui de Kimberley Range en Australie. Même les entrées des pôles, demeurées longtemps sans aucune protection, en raison du climat glacial et de l'environnement hostile qui règnent sur la banquise et qui permettaient, jusqu'à l'avènement des nouvelles technologies industrielles, de maintenir naturellement ces deux ouvertures à l'abri d'expéditions d'aventuriers ou de militaires, sont aujourd'hui soigneusement protégées par de puissants blindages électromagnétiques qui empêchent désormais les drones, avions furtifs et autres satellites espions d'identifier l'emplacement exact de ces portes.
Le monde de l’Agartha a inspiré depuis longtemps de nombreux romanciers et cinéastes. Mais cette inspiration n’est pas venue de nulle part ! Les légendes sont toujours basées sur des faits réels et avérés. Nos contes fantastiques s’appuient sur une vérité qui a été volontairement déguisée de manière à essayer de nous persuader qu’il n’y a pas de réalité en dehors de celle qu’on nous présente à la télévision et dans les médias.
Enki devint le roi de Salem, capitale de l’Intra-Terre, dès son arrivée sur notre planète. C’est lui qui est présenté par les Maîtres de la Hiérarchie comme étant Markandé, le Roi du Monde. Les textes sacrés judéo-chrétiens lui ont attribué le nom de Melchitsédek. Ce nom vient de l'hébreu ''Melek'' qui signifie roi et de ''Tsedek'' qui veut dire justice. Il est donc ''Roi de paix et de justice". Dans son Épître aux Hébreux, Saint-Paul affirme qu'il est sans père, sans mère, sans généalogie, qu'il n’a ni commencement ni fin de sa vie, et qu'il est ainsi ''rendu semblable au Fils de Dieu''. Il est le Gardien du monde souterrain, et c’est lui qui a interdit l’accès de l’Agartha à tous ceux qui n’ont pas suffisamment grandi en conscience, à commencer par nos gouvernants actuels.
Nous sommes heureusement de plus en plus nombreux aujourd’hui, non pas à vouloir réécrire l’histoire de notre planète, mais à chercher à sortir de la préhistoire. Ni les gouvernements ni les religions ne pourront retenir plus longtemps ces secrets qui nous ont été cachés depuis des siècles. Et c’est parce que nous voulons connaître la vérité au sujet de l’Empire néo-romain, du Grand Ordre Mondial, que ce monde qui nous a été imposé est en train de s’écrouler sous nos yeux.
Tout sera bientôt révélé ; plus rien ne restera caché ! La Terre a abrité de grandes civilisations il y a des milliers et même des millions d’années. Les hommes et les femmes étaient conscients du pouvoir créateur de leurs pensées. Ils ne dépendaient d’aucun gouvernement et d’aucune religion, parce qu’ils maîtrisaient leur propre pouvoir créateur et étaient leurs propres dieux. Ils savaient utiliser les énergies cosmiques, le langage de la lumière.
Mais ce ne fut pas suffisant pour éviter l’autodestruction. Il suffit parfois d’un grain de sable pour enrayer le fonctionnement d’une machine ultra-performante. Enlil et quelques autres prirent le contrôle du pouvoir et provoquèrent l’effondrement rapide de ces civilisations. Mars a subi le même processus : les survivants se sont réfugiés à l’intérieur de la planète et ils voient d’un très mauvais œil nos tentatives d’incursion dans leur monde. Ils nous considèrent comme des barbares arriérés.
D’une manière générale, les habitants les plus évolués des planètes vivent à l’intérieur et cherchent à préserver leur liberté. Les Agarthiens ne comprennent pas pourquoi nous acceptons de vivre comme des esclaves au service d’une petite caste de nantis qui oublient que l’incarnation terrestre ne dure que quelques années et qu’ils ne sont là qu’en transit. Dans la centaine de cités que compte la Terre creuse, les habitants travaillent au maximum trois heures par jour et consacrent le reste de leur temps à leur famille et à des activités spirituelles ou récréatives. Il n’y a ni industrialisation, ni pollution, ni gouvernement. Les êtres sont égaux parce qu’ils ont conscience de leur nature divine. Leur niveau d’éveil spirituel leur permet d’utiliser la télépathie, la lévitation et la téléportation. Ils ont tous accès à l’énergie libre et par conséquent gratuite.
Paysage de la Terre Creuse
L’agriculture et l’arboriculture sont également très différentes de ce qui se pratique en surface, et les Agarthiens n’hésitent pas à parler à leurs plantes. Ils savent comment accélérer et améliorer la photosynthèse par le Verbe et comment leur transmettre du magnétisme, ce qui assure à leurs fruits et leurs légumes une croissance bien plus rapide et une bien meilleure qualité que celles que l’on réussit à obtenir en recourant aux technologies que nous avons l’habitude de pratiquer. Il y a aussi de très beaux animaux en Agartha, mais les Intraterrestres ne tuent pas pour se nourrir. Ils ne connaissent pas la haine ni la violence et sont consternés par les crimes et les atrocités qui se commettent en surface.
Les enfants n’étudient que trois heures par jour et apprennent en s’amusant. À l’âge de 10 ans, ils ont tous atteint un niveau de compréhension et d’instruction bien supérieur à celui de la moyenne de nos diplômés d’universités. Toute l’éducation est basée sur une Charte universelle qui s’articule autour de quelques principes très simples : respect, partage, entraide, harmonie et fraternité en sont les maîtres-mots.
Les Agarthiens ne sont pas, comme nous, maintenus en quarantaine et coupés du reste de l’univers. Ils reçoivent régulièrement des visites de leurs frères et sœurs de l’espace et ont accès aux mêmes technologies. Ils utilisent l’énergie cyclique et fractale du temps et maîtrisent l’énergie libre des tachyons qui leur permet d’épouser ou de modifier la forme des objets qu’ils traversent avec leurs vaisseaux. Pour rentrer et sortir de la Terre creuse, ils ont pour habitude de se dissimuler à l’intérieur de gros nuages lenticulaires (Cf. vidéo ci-dessous).
NOTA : La difficulté n’est pas de savoir si les nuages lenticulaires présentés dans le petit film ci-dessus dissimulent ou non des vaisseaux, mais plutôt de savoir si ces vaisseaux sont d’origine intra ou extraterrestre, car les vaisseaux de la Fédération des Étoiles utilisent les même technologies que les vaisseaux intraterrestres. En principe, ils ont une couleur arc-en-ciel, symbole de la Famille de la Lumière, car ce sont des vaisseaux de Lumière, mais il peut leur arriver de se vêtir d’une couleur uniforme (par exemple le gris très clair) pour se fondre dans leur environnement (comme lorsqu’ils épousent une forme de nuages), et suivant la densité spatio-temporelle dans laquelle ils se situent, notamment en phase de matérialisation ou de dématérialisation.
Les astrophysiciens américains sont extrêmement fiers d'avoir envoyé des robots sur Mars et d'avoir ramené des images de bonne qualité de sa surface. Il faut cependant relativiser ce succès : les planètes de notre système solaire ne sont équipées d'aucun dispositif de protection externe. Par conséquent, ceux qui ont marché sur la Lune il y a quarante ans, pourront, sans difficulté majeure, réitérer leur exploit inutile sur Mars et même sur d'autres planètes bien plus éloignées. Car il est en réalité bien plus facile de se rendre sur la surface de la Lune, de Mars ou de n'importe quelle autre planète que de pénétrer dans la Terre Creuse. C'est toujours l'intérieur des planètes, leur centre vital que les êtres évolués qui les habitent cherchent à préserver, rarement leur enveloppe externe.
Les expéditions actuellement organisées par nos gouvernements à destination des autres planètes de notre système ne sont pas destinées à aider l'humanité ni à l'élever vers la conscience de l'universalité, mais à flatter l'ego surdimensionné de quelques personnes avides d'être reconnues et glorifiées pour leur soi-disant "intelligence".
Dans la mesure où leur survie n'est pas directement menacée, les Intraterrestres, Intralunaires et Intramartiens laissent faire ces expérimentations stériles, dont le coût exorbitant pourrait certainement être mieux utilisé à lutter contre la faim, le sida, ou à faire triompher l'idée de Fraternité sur notre planète.
Cependant l'heure de l'émergence des "Êtres de l'intérieur" semble désormais toute proche, et il faut savoir que le jour tant attendu par certains, tant redouté par d'autres de la manifestation d'envergure des extraterrestres de la Confédération, prélude à la transition de la Terre et à l'Ascension de notre humanité, sera également celui de l'apparition des Intraterrestres et de leur manifestation au grand jour.
Bien sûr, tout ceci ressemble pour certains à de la science-fiction. Il ne s'agit pourtant pas d'une élucubration, mais d'un simple calcul de probabilité effectué à partir d’une modélisation de données présentes bien réelles, même si elles échappent encore à notre approche cartésienne et objective de l'univers et de ses lois. C'est pourquoi il faut se préparer dès MAINTENANT à cette extraordinaire rencontre.
Notre technologie est incapable de sauver l'ancien monde. Seule, une acceptation sans réserve de l'idée de Fraternité peut nous ouvrir l'accès au Monde Nouveau. Et il nous reste peu de temps…
Auteur : Olivier de Rouvroy -janvier 2012
site : Ere nouvelle
Janvier 2012