Document en 2 épisodes!
le 1er épisode !
Ils relatent toute l’histoire de l’univers sur une échelle de temps qui va de la création jusqu’aux débuts de l’histoire écrite.
C’est une œuvre absolument astronomique. On ne trouve nulle part au monde ce genre de chronique et il n’existe aucun document ancien de la portée des Documents Takenouchi sur cette échelle de temps.
Hormis les documents écrits, il existe aussi des trésors sacrés et des objets qui sont conservés au temple du Koso Kotai Jingu.
Après étude de ces documents et de ces archives, on en arrive à la conclusion que l’on se trompe lourdement en pensant que l’actuelle civilisation représente le stade le plus avancé de l’histoire humaine. En réalité notre civilisation est en train de se décomposer.
L’humanité a dû faire face à de nombreux cataclysmes et à une multitude de phénomènes catastrophiques qui sont appelés Tenpenchii, dans ces documents. Ils affirment aussi que les civilisations légendaires de Mu et de l’Atlantide ont réellement existé.
Ces civilisations ont été détruites par des catastrophes naturelles.
Il y a déjà eu plus d’une centaine de Tenpenchii, clairement rapportés dans les Documents Takenouchi.
Le déluge de la Bible et l’histoire de Noé, qui font partit de l’histoire récente de la terre, font état de ces grands bouleversements.
A cette époque, la terre n’était plus habitable. Elle s’était transformée en mer de boue et l’Arche de Noé était en fait un vaisseau spatial destiné à mettre à l’abri certains habitants ainsi que certaines espèces.
L’humanité a dû faire face à de nombreux cataclysmes et à une multitude de phénomènes catastrophiques qui sont appelés Tenpenchii, dans ces documents. Ils affirment aussi que les civilisations légendaires de Mu et de l’Atlantide ont réellement existé.
Ces civilisations ont été détruites par des catastrophes naturelles.
Il y a déjà eu plus d’une centaine de Tenpenchii, clairement rapportés dans les Documents Takenouchi.
Le déluge de la Bible et l’histoire de Noé, qui font partit de l’histoire récente de la terre, font état de ces grands bouleversements.
A cette époque, la terre n’était plus habitable. Elle s’était transformée en mer de boue et l’Arche de Noé était en fait un vaisseau spatial destiné à mettre à l’abri certains habitants ainsi que certaines espèces.
Les Documents Takenouchi contiennent non seulement la véritable histoire de l’humanité, du Japon, mais aussi de la lignée des Sumera-Mikoto.
Qui sont ces Sumera-Mikoto ? Avant de répondre à cette question, il faut savoir que dans les temps anciens on vouait un culte au Kotodama, c’est-à-dire à la signification spirituelle des paroles.
Permettez-moi d’ouvrir une parenthèse pour expliquer cette conception.
L’origine du Kototama remonte à la nuit des temps.
On retrouve le principe du Kototama au sein de nombreuses traditions à travers le monde.
Cependant, l’esprit de cette pratique et les outils permettant de la faire vivre ont été cachés depuis si longtemps que les hommes en ont perdu la trace.
Dans la tradition du Shintô qui est la religion originelle du Japon et qui signifie « la Voie des Dieux » on retrouve la notion de Kototama.
Kotodama signifie « mot-âme », équivalent littéral du mot « verbe » en occident.
Selon cette tradition, en des temps anciens, le Kototama était le principe universel employé par l’homme pour communiquer. En ces temps très reculés, tous les hommes parlaient la même langue.
On retrouve cette notion dans la Bible, avant l’épisode de la tour de Babel, en ces termes : « Tout le monde se servait d’une seule langue et des mêmes mots ».
Le principe du Kototama a donc été perfectionné en des temps immémoriaux et nos lointains ancêtres saisissaient la réalité de l’univers entier sous la forme de rythmes sonores.
Les Documents Takenouchi parlent de 72 générations de Sumera Mikoto (Hommes-Dieux), qui utilisaient le Kototama.
A partir de la 73eme génération, une nouvelle ère apparue au cours de laquelle le Sumera Mikoto de l’époque prit comme titre celui de « Jimmu Tenno », qui signifie : « Empereur ».
Ce fut le commencement de notre ère actuelle. On passa alors d’un gouvernement spirituel à un gouvernement temporel.
A cette époque, la grande majorité de l’humanité commençait à s’orienter vers l’expérimentation de la matière, et les guides spirituels de l’homme comprirent que ce processus était nécessaire pour l’évolution des hommes.
Ils comprirent également que cette évolution serait considérablement retardée si le principe du Kototama restait en vigueur.
Il fut alors décidé d’occulter ce principe, afin que l’homme puisse expérimenter totalement la matière et l’incarnation.
Le principe du Kotodama, ainsi que tous les principes universels pourront de nouveau être utilisés lorsque la civilisation actuelle sera parvenue à son apogée.
Cette occultation est représentée dans la Bible par l’épisode de la Tour de Babel, épisode au cours duquel l’homme, bien qu’ayant commencé à expérimenter la matière, ne peut se résoudre à renoncer au spirituel, et continue à chercher à s’élever vers cette dimension.
C’est donc vers l’an – 2950 av. J.C, qu’il fut décidé que l’humanité devait être « coupée » pendant un certain temps de sa source pour se consacrer entièrement au développement de la civilisation matérialiste.
Avec la connaissance du principe du Kototama et des principes universels, il y aurait toujours eu des humains pour choisir le principe de la vie et résister au courant matérialiste. Il fallait donc occulter provisoirement le principe du Kototama. Le cacher pour un temps.
Au terme du développement de la civilisation scientifique, lorsqu’elle aurait la certitude que cette approche n’était pas suffisante, l’humanité devait pouvoir retrouver le principe du Kododama et les principes de vie.
Les traces du Kototama et des principes universels furent donc disséminées dans toutes les mythologies, religions et philosophie, à travers le monde.
Depuis près de trois millénaires, les fondateurs de toutes les religions, de toutes les philosophies, et les dirigeants des sociétés humaines, ont eu pour mission de voiler la vérité, en travaillant avec ardeur pour le perfectionnement de la deuxième civilisation, celle de « l’expérience sans conscience ».
Le temps est arrivé où la civilisation matérialiste a progressé jusqu’à atteindre un niveau satisfaisant.
Cependant paradoxalement, il demeure un grand vide chez les hommes civilisés d’aujourd’hui et l’humanité ne place plus toute sa confiance dans la politique, la science, la médecine et les paroles des experts.
De plus en plus d’individus émettent des doutes quant à la toute-puissance de la science et de la technologie. Dans certains cas, elles font même peur.
L’essence du Kototama est composée de 50 sons (dont deux identiques).
Dans le tableau ci-dessus, la ligne du haut représente les sons de la langue originelle et la ligne du bas, les sons hébreux. Ils sont très ressemblants.
Le Kotodama a été précieusement conservé depuis des temps immémoriaux au sein de familles japonaises très anciennes.
Le Kototama est aujourd’hui enseigné par quelques enseignants ayant reçu une transmission orale de ce principe.
Le concept du Kototama, qui est resté caché pendant 3000 ans, est de nouveau accessible au monde moderne qui a atteint l’objectif fixé par les hommes-dieux d’autrefois.
Ainsi la civilisation actuelle, ayant expérimenté le temporel va pouvoir enfin percevoir de plus en plus clairement le sens de la vraie vie, et retrouver sa véritable source.
De nos jours, l’écriture japonaise utilise deux syllabaires :
Le Hiragana qui est utilisé pour les mots japonais et le Katakana qui est utilisé pour les mots qui ne sont pas japonais. Pour écrire, par exemple son prénom.
Dans ces deux syllabaires, on retrouve les voyelles :
A, E, I, O, U, ou sons-mères et les consonnes ou rythmes-pères et les voyelles et les consonnes sont combinés.
D’autre part, dans la tradition japonaise, il est dit que les dieux (kami) inspirent l’esprit des hommes par des mots, et en prononçant ces mots inspirés par les dieux (kami), les concepts se concrétisent.
Comme nous l’avons vu, le Kotodama peut se traduire par « mots-âmes », mais aussi par « esprit des mots » ou « paroles sacrées ». Les vibrations de l’univers sont « Kotodama ».
Chacun des cinquante « sons » (syllabes) issus du Kotodama représente un dieu (kami) ayant une puissance particulière.
On peut également parlé de pouvoir magique du Verbe.
Ainsi pour conclure cette brève explication, on peut dire que dans les temps reculés, l’écriture, loin d’être un simple système de signes, était avant tout un message émanant des divinités, un moyen de communication entre les divinités et les hommes.
Avec le kotodama (pouvoir magique du Verbe) il n’y avait pas de différence entre l’écriture et la prière.
Voyons d’abord SUMERA :
SU a le sens de « courant principal de la rivière ». Ce qui est vertical, c’est-à-dire le lien avec le Ciel. Il possède aussi la puissance d’unifier.
Me représente ce qui est au centre de quelque chose, comme l’œil d’un cyclone, par exemple ou un pivot. Il a aussi une énergie de croissance comme celle qui fait pousser les plantes.
Ra a le sens de briller, de quelque chose qui saute aux yeux ou de la lumière et la brillance du Soleil. Dans l’Égypte ancienne, « ra » correspondait à « rha », la lumière du Dieu-soleil, qui à l’origine venait du Japon.
En un mot, SUMERA signifie « unifier tout ce qui est directement lié au Soleil ».
Examinons maintenant MIKOTO :
Mi fait référence à une substance importante se trouvant au centre, au corps, ou à une semence ou un fruit.
Ko représente le yang extrême, la fermeté et la robustesse.
TO signifie hito (人), l’être humain, la nature humaine, les caractéristiques humaines.
SUMERA MIKOTO est donc le représentant de Dieu sur terre et donc le gouverneur de celle-ci.
Sumera Mikoto est celui qui a pour rôle de relier le Ciel (Dieu, représenté par le Soleil) et la Terre (le peuple).
Le dessin ci-dessus est une ancienne carte conservée dans les Documents Takenouchi. Elle représente le Soleil relié à la terre, mettant ainsi en relief le rôle du Sumera Mikoto.
D’autre part, toujours d’après les Documents Takenouchi, il existait à l’époque une civilisation pacifique et ordonnée où science avancée et technologie coexistaient en harmonie avec la nature et où il n’y avait aucun conflit.
On peut donc en conclure, qu’en ces temps très reculés, il y avait une gouvernance mondiale.
Avec le temps, les rois des autres nations qui avaient été nommés par le Sumera-Mikoto, accrurent peu à peu leur puissance et commencèrent à ignorer l’harmonie et l’ordre qui existaient alors au sein de ce système théocratique.
Le gouvernement mondial, qui existait alors, commença à se fissurer et le pouvoir du Sumera-Mikoto à s’affaiblir.
Le gouvernement mondial finit par s’effondrer complètement et le Sumera-Mikoto fut écarté du pouvoir. L’histoire du monde fut réécrite par les personnes influentes de l’époque.
La nature de la civilisation changea alors complètement
Les hommes d’aujourd’hui ont du mal à croire que notre civilisation actuelle soit l’objet d’une attente de la part de nos créateurs (kamis).
Qu’est-ce que les kamis attendent des hommes ?
Tout simplement le renouveau d’une théocratie dans laquelle le monde entier sera gouverné par des âmes (Sumera Mikoto) en relation avec la puissance créatrice.
Ainsi, en faisant un retour sur le passé et en nous en inspirant, nous pourrions mieux vivre le présent et surtout préparer l’avenir.
Oui, le passé est la graine du futur !
Les Ameno-ukifune permirent aux Sumera-Mikoto de faire la tournée des nations.
Les Ameno-ukifune furent l’un des moyens qui permirent aux Sumera-Mikoto de gouverner la terre entière.
Il y avait quatre différentes formes d’Ameno-ukifune : des disques, des fusées, des navires et des jets, utilisés différemment selon le but poursuivi.
La tournée des nations durait plusieurs années et impliquait aussi de nombreux ministres qui assistaient les Sumera-Mikoto dans le gouvernement.
Les Sumera-Mikoto pouvaient voyager quasi instantanément vers chaque destination grâce aux Ameno-ukifune.
Un Ameno- ukifune de type jet était utilisé pour sa rapidité.
Au cours des tournées mondiales, différents modèles d’Ameno-ukifune étaient embarqués à bord du vaisseau-mère, prêts à l’usage.
Ces technologies sophistiquées rendaient de grands services aux Sumera-Mikoto au cours de leurs tournées mondiales.
Selon la Bible, Adam et Ève sont les tous premiers humains créés par Dieu. Ils vivaient heureux dans le Jardin d’Éden mais, tentés par le serpent, ils mangèrent le fruit de l’Arbre de la Connaissance, désobéissant ainsi à Dieu. Ils furent chassés du Jardin d’Éden.
Dans les Documents Takenouchi, Adam et Ève est le nom d’un roi des hommes rouges qui s’appelle : Adam-Eve.
Adam-Eve fut nommé roi d’une certaine région par le Sumera-Mikoto.
16 princes et princesses qui furent envoyés dans le monde entier à une certaine époque, définissant ainsi 16 régions mondiales.
Autrement-dit, ce nom d’Adam-Eve qui apparaît à partir de ce moment-là sera porté par les rois qui lui succéderont.
Les hommes du peuple rouge descendent génétiquement du roi Adam-Eve.
La Bible dit qu’Adam et Ève furent chassés du Jardin d’Éden, mais en réalité cela signifie qu’ils furent envoyés dans le monde entier à partir de la terre du Paradis, dans l’ancien Japon.
Le Sceau Impérial du Japon appelé : « Noble insigne du chrysanthème », utilisé par l’empereur du Japon et les membres de sa famille, est généralement considéré comme l’emblème national japonais, bien qu’il n’ait plus aucun statut officiel depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
Les 16 secteurs que devaient administrer les Sumera Mikoto étaient :
Les documents nous précisent que des hommes de cinq couleurs firent leur apparition en même temps sur terre.
Il s’agit des hommes jaunes, blancs, rouges, noirs et bleus.
La répartition approximative des cinq couleurs s’est faite ainsi :
JAUNES = Japonais, Chinois, Coréens, Mongols, etc.
ROUGES = Amérindiens, Juifs, Arabes, Egyptiens.
BLEUS = Scandinaves, Slaves.
BLANCS = Européens.
NOIRS = Africains, Indiens, Australiens aborigènes.
Les hommes bleus et les hommes blancs se sont mélangés et de ce fait, il n’est plus possible de retrouver de purs descendants de la race bleue.
Ce phénomène existe maintenant pour toutes les races, car en raison de la mixité inter-ethnique, les distinctions seront de plus en plus difficiles à faire.
Cependant, le peuple des hommes des cinq couleurs à un ancêtre commun et le Sumera Mikoto était à la fois son parent et son gouverneur.
Je voudrais, pour illustrer cette notion, vous parlez du temple « Heitate Jingu » qui se trouve au sud du Japon, au pied du Mont Aso dans la préfecture de Kumamoto à Kyushu. Il est considéré comme le plus ancien temple shintoïste du Japon et existe depuis 15 000 ans.
Dans ce temple sont vénérées cinq Divinités cosmiques.
Plusieurs trésors immémoriaux y sont conservés et honorés, dont des masques.
Ce sont cinq masques archaïques représentant les hommes des cinq couleurs.
Ces masques sont faits de bois de chaque continent.
Ce temple, a donc un rapport avec l’origine de l’histoire du Japon et du monde entier.
On y célèbre une fête unique dans le monde qui a une très longue tradition. Cette cérémonie est appelée : « Goshikijin-sai » ou la fête des cinq races. Celle-ci se déroule une fois par an en août dans le but de prier les Dieux des cinq races.
En s’unissant aux Dieux des cieux et en saisissant les messages divins, chaque participant peut contribuer au développement de sa patrie en rentrant dans son pays. Telle est la signification de cette fête.
Des participants du monde entier se rassemblent depuis des temps immémoriaux et jusqu’à aujourd’hui.
Ces trésors confirment que la race humaine des cinq couleurs a une origine commune.
Comme nous l’avons vu, dans ce temple sont vénérées cinq Divinités cosmiques.
Plusieurs trésors immémoriaux y sont conservés et honorés, dont des masques.
Ce sont cinq masques archaïques représentant les hommes des cinq couleurs.
Ces masques sont faits de bois de chaque continent.
Les documents précisent également que les hommes de ces temps reculés vivaient très vieux.
Ce fait comme beaucoup d’autres sont également relatés dans la Bible.
On y trouve, par exemple, l’histoire de Mathusalem qui aurait vécu 969 ans.
Après le Grand Nettoyage (le déluge) l’homme ne vivait pas au-delà de 120 ans.
Si l’on en croit les travaux récents des chercheurs Français de l’INSERM, il serait tout à fait possible de redonner à une cellule âgée de plus de 100 ans sa jeunesse d’antan. Les recherches ne sont encore qu’embryonnaires, mais dans une dizaine ou une vingtaine d’années, peut-être trouverons-nous sur le marché des thérapies géniques permettant de briser cette fameuse frontière des 120 ans.
Laurent Alexandre est une personnalité atypique dont l’expertise est écoutée.
Chirurgien urologue de formation, diplômé de l’ENA, HEC et Sciences-Po, cofondateur de Doctissimo.fr, il préside désormais la société de séquençage de génome DNA Vision.
Ce chercheur s’intéresse « aux bouleversements qu’entraîneront pour l’humanité les progrès de la science, de la techno médecine et des biotechnologies ».
Il y a consacré un essai remarqué intitulé : « La Mort de la mort », dans lequel il affirme que « l’homme qui vivra 1.000 ans est déjà né ».
Dans le texte hébreu de la Bible, le mot « Elohim » est employé pour désigner ce que les exégètes traduisent par « Dieu », au singulier. Hors, « Elohim » est le pluriel de « Eloha » qui signifie : celui qui vient du ciel, le céleste. Le mot « Elohim » peut donc se traduire par : ceux qui viennent du ciel.
Parfois le texte hébreu utilise le mot « Adonaï » et les mêmes exégètes en font un mot singulier qu’ils traduisent par « Seigneur », alors qu’il est également un mot pluriel que l’on peut traduire par « Messeigneurs ». En effet, « Adonaï » (pluriel) dérive de « Adon » (singulier). Il ne s’agit pas de pluriel de majesté, de politesse, car cette notion n’existe pas en hébreu.
Il est donc vraiment intéressant et pour le moins curieux que les hébreux, qui sont le seul peuple monothéiste de l’antiquité, aient choisi ces deux pluriels pour désigner leur Dieu unique !
Un extrait tiré des documents Takenoushi qui constituent, comme nous l’avons vu, des archives de l’extrême antiquité, nous dit :
« Au commencement naquirent les étoiles dans l’univers en pleine expansion. Des hommes semblables aux dieux descendirent sur terre. Les dieux créèrent les hommes des cinq couleurs et leur apportèrent la civilisation et la terre fut peuplée d’êtres humains… »
Nous avons appris que les Sumera-Mikoto pouvaient voyager quasi instantanément vers chaque destination grâce aux Ameno-ukifune.
En termes modernes, on désigne ces vaisseaux par les termes O.V.N.I (en français) ou U.F.O (en angalis).
Il existe des traces de leurs passages que l’on retrouve au sein de différentes cultures à travers le monde entier. Un grand nombre d’entre elles évoquent des créatures qui seraient descendues du ciel.
Nous allons découvrir quelques exemples de cette réalité à travers les traces, les dessins, les peintures, les statues et les statuettes disséminées dans le monde.
La plupart de ces représentations sont très révélatrices.
Au 7ème siècle, à Palenque (Mexique), le corps du défunt roi Maya du nom de Pacal et d’une taille supérieure à la moyenne des habitants de l’époque, fut placé dans un sarcophage autour duquel une pyramide fut érigée.
Sur la dalle recouvrant le sarcophage, on peut voir le roi assis aux commandes d’une machine volante, crachant des flammes, comme en témoignent les photos ci-dessous.
Longtemps avant Babylone, il y a 5 ou 6000 ans, une civilisation remarquable a vu le jour dans ce qui est aujourd’hui l’Iraq.
Les sumériens possédaient une culture exceptionnellement avancée. La liste de ce qu’ils ont inventé ou créé n’a rien à envier à nos sociétés modernes.
La question essentielle est de savoir d’où ils ont acquis leurs connaissances.
On trouve, dans les écrits des anciens sumériens, des récits faisant allusion au fait que leur civilisation leur avait été enseignée par des êtres descendus sur terre depuis le ciel qu’ils ont appelés : les Anounaki.
Les sumériens ont écrit leur histoire sur des tablettes d’argile. Ces textes, vieux de 6000 ans, parlent, entre autres, d’êtres venus d’une planète de notre système solaire appelée : Nibiru.
De nombreuses descriptions font état de personnages beaucoup plus grands que la moyenne des êtres humains de l’époque.
Autrement dit, il s’agissait de géants.
Ces anciens textes affirment également qu’il y a plus de 400 000 ans, ces Anounaki sont venus de l’espace et ont atterri dans la vallée du Tigre et de l’Euphrate pour y créer une colonie qu’ils ont nommée : Eden.
La plupart des anciennes traditions, y compris la Bible, la Torah et le Coran décrivent la présence d’êtres de grande taille.
Des empreintes de pas découvertes en 1908 près de Glenn Rose, au Texas, montrent des traces humanoïdes de géants mesurant 4 mètres auprès de traces de dinosaures vieux de 120 à 130 millions d’années.
Naturellement, ces découvertes sont en contradiction avec la théorie de l’évolution de Charles Darwin car les dinosaures sont censés s’être éteints il y a environ 65 millions d’années et le premier humain à marche verticale, l’Homo erectus, se serait développé, il y a seulement 2 ou 3 millions d’années. Ainsi, dinosaures et humains se seraient manqués temporellement de 60 millions d’années !
De nombreuses découvertes mettent en évidence le fait que les hommes et les dinosaures vivaient ensemble il y a au moins 65 millions d’années.
Un article de décembre 1895 du Magazine « Strand » mentionne la découverte d’un géant fossilisé mis à jour au cours d’opérations minières dans le Comté d’Antrium, en Irlande.
Les principales mesures sont :
Taille : 12 pieds, soit 3.65 mètres
Circonférence de la poitrine : 6 pieds, soit 1.82 mètres
Longueur des bras : 4 pieds, soit 1.21 mètres
Son pied droit comporte 6 orteils
Poids brut : Environs 2 Tonnes
Nous avons vu que les sumera mikoto utilisaient des machines volantes pour leurs tournées mondiales. Le phénomène n’est donc pas nouveau.
Une soucoupe volante s’est écrasée le 2 juillet 1947 à Rosewell, au Nouveau Mexique. On découvrit à l’intérieur de celle-ci quatre humanoïdes. Il y eu 92 témoins, 35 témoignages de première main (du personnel de l’Air Force).
Le 13 février, on trouva un autre vaisseau spatial dans les environs d’Aztec, au nouveau Mexique également. La deuxième chute d’un autre vaisseau dans cette région eut lieu le 25 mars 1948 dans le Heart Canyon.
Le disque avait 33 mètres de diamètre et était fabriqué avec un métal inconnu. On y trouva 16 occupants décédés qui mesuraient 1,20 mètre.
En 1949, une autre soucoupe fut découverte à Rosewell et l’un des passagers survécut. Un officier d’aviation reçut l’ordre de l’amener à Los Alamos où se trouvaient à cette époque les installations les plus sûres des forces armées des Etats-Unis.
On décrivit le passager comme un humanoïde reptilien avec certaines caractéristiques propres aux insectes.
On le nomma « EBE » (Extraterrestrial Biological Entity).
EBE relata que ceux de sa race rendaient visite à la Terre depuis 25.000 ans…
Il dit également qu’ils disposaient de bases souterraines dans différents pays de la Terre. EBE enseigna au jeune colonel qui lui tenait compagnie l’existence de la réincarnation et la survie de l’âme…
Tout fut noté et rassemblé sous le code « Yellow Book ».
On essaya de prendre contact avec la race de EBE mais sans succès. Ce projet portait le nom de SIGMA. Fin 1951, EBE tomba gravement malade … et mourut le 18 juin 1952… Le colonel qui s’occupait de lui aurait pleuré à sa mort…
Plus tard, sous le projet ROBERTSON-PANAL, on adapta cet évènement à l’écran. Le film porta le titre de « E .T » et avait pour but de familiariser le public avec cette réalité… »
Au cours des trois jours qui ont précédés le crash de Roswell, il y a eu 88 apparitions d’OVNIS dans 24 Etats.
Ci-dessus, l’une des meilleures photos représentant un OVNI prise dans l’Etat du Yucatan (au Mexique). Elle a été déclarée authentique par plusieurs scientifiques et spécialistes européens.
Selon des archives de journaux de l’époque, la photographie a été prise par un touriste allemand qui a vécu, en 1999, dans cet état situé au Sud-Est du pays.
Le photographe a ensuite emmené le cliché dans son pays natal. En effet, il souhaitait la faire analyser à plusieurs chercheurs allemands, espagnols, anglais, italiens et français.
Chacun des chercheurs de ses pays ont rendu des conclusions analogues et donc troublantes : il ne peut pas s’agir d’un montage !
Quelques chiffres peuvent démontrer l’importance du phénomène ovni dans le monde.
Selon l’ONU depuis 1947 :
Depuis 1947, plus de 3500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d’OVNIs publiquement.
Sachant que seuls 10 % des témoins contactent les autorités, on peut raisonnablement supposer que ce pourcentage est encore inférieur s’agissant des pilotes.
Depuis le 4 juillet 1974, la FOIA (Freedom Of Information Act) a permis la déclassification de plus de 30000 documents gouvernementaux US se rapportant aux OVNI.
Il s’est avéré que certains documents (émanant du FBI, CIA, etc.) étaient classifiés « TOP SECRET »
En France depuis 1947:
4 millions de témoins d’apparitions d’OVNI.
En France depuis 1954:
1000 dépositions en gendarmerie d’atterrissages d’OVNI.
A suivre dans la 2ème partie…